.
.

Le triomphe de la vérité

.

Lancement du roman «Les Envoûtés du Golf»:Une gigantesque lumière sur la vie des religieux catholiques


Visits: 8

C’est la plage Obama Beach qui était, ce samedi 10 décembre 2011, témoin de la cérémonie de lancement de l’ouvrage Les Envoûtés du Golf. L’écrivain, âgé de 38ans et de nationalité béninoise, est journaliste, juriste. Il répond au nom de Ferdinand Abalo COCOU MEDAGBE. A travers son chef-d’œuvre il peint le monde des religieux en scrutant un sensible thème lié à ce domaine : la tentation.

Nymphéa, le personnage principal de l’œuvre, use de charme et séduction pour jauger la foi des prêtres, vicaires, curés et autres. De jeunes plûmes continuent de naître avec d’intéressants sujets. Cet ouvrage de 167 pages, subdivisé en 20 chapitres nous rapproche d’un monde inhabituel.

Son titre Les Envoutés du Golf le définit si bien. Ferdinand Abalo COCOU MEDAGBE dans son chef-d’œuvre nous plonge dans l’univers de la foi religieuse. A force de lire son roman on peut se rendre à l’évidence qu’il est en train de résoudre une question fondamentale : celle de la foi religieuse. Pour l’écrivain : « Dieu n’est pas ailleurs… le diable non plus ». Selon sa pensée « l’argent et la femme » seraient les deux éléments qui alimentent l’ébranlement de la foi.

Il va très loin pour affirmer : « qu’il n’y a pas d’arme plus redoutable que la femme pour détruire la foi d’un homme. » et que la femme constitue même « un efficace baromètre pour jauger cette foi». Vous lirez tout ceci à la quatrième page. Le seigneur Zigandaho, comme on l’appelle affectueusement dans le monde artistique, a également mis en exergue dans son roman la fréquentation des féticheurs par ces hommes de la soutane qui sont supposés avoir la foi.

Le comédien, dramaturge, poète n’a pas manqué de souffle pour nous faire vivre et découvrir l’obscure dédale de la religion catholique puisque son inspiration est partie de sa « rencontre avec un prêtre béninois résidant en Italie et un autre qui osa lui parler franchement » souligne-t-il toujours à la quatrième page.

Teddy GANDIGBE (Stag.)

Reviews

  • Total Score 0%



Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

You cannot copy content of this page