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Le triomphe de la vérité

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Première descente après le rejet de la révision de la constitution: Assan Seibou porté en triomphe pour sa bravoure et son engagement militant 


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L’he Assan Seibou à l’occasion de son périple sur le terrain

Le président du groupe parlementaire Bloc Républicain, l’he Assan Seibou a fait une descente de terrain à la rencontre des militants le samedi 23 mars 2024 à Porto-Novo, Kpabérou et Copargo. Le but est d’aller expliquer les tenants et aboutissants du code électoral modifié qui fait suite au rejet de la proposition de loi sur la révision de la constitution. Occasion pour les militants à la base de reconnaitre sa bravoure, sa ténacité et surtout son engagement à porter les idéaux de la rupture. En effet, le député Assan Seibou n’en démord pas malgré le rejet de la proposition de loi sur la révision de la constitution dont il a été l’initiateur. Il s’est revêtu de son  habit de militant engagé pour une cause noble en allant au contact de la troupe de son parti. Dans le 5e arrondissement de Porto-Novo aux côtés de la ministre Adidjatou Mathys, Vice-Présidente chargée de la mobilisation du Bloc Républicain, le député Assan Seibou a été appelé à entretenir les militants sur la portée du code amendé et les implications afin que ces derniers soient amés contre la désinformation. Le parlementaire a saisi cette occasion d’échanges directs avec la base pour tout dire au peuple. Contrairement à ce que l’on pouvait penser et sans langue de bois, le député Assan Seibou au cours de sa communication, a rappelé dans les moindres détails le parcours de sa proposition de révision de la constitution. Il n’a pas hésité à se présenter volontairement devant ce public qui a visiblement soif d’informations. Sa proposition, fait-il savoir, avait reçu l’assentiment de 71 députés contre 35 parmi lesquels se retrouvent les députés de son parti. L’option de débauchage des élus pour faire passer son initiative n’a pas été examinée, a confessé l’auteur de la proposition de loi qui a aussi indiqué que, confronté à des accusations, sa détermination à aller au bout de ses idées était grande. Ce qui a séduit les militants. Sa bravoure et son engagement à défendre les idéaux de la rupture et du président Talon ainsi que son chef de parti, Abdoulaye Bio Tchané en s’associant à la compréhension des militants aux lois légiférées, ont été salué par des applaudissements nourris des leaders du parti BR. Même ses collègues députés présents, Sofiath Shanou ont reconnu les mérités de l’honorable Assan Séibou qui a fait preuve d’un héroïsme. Essentiellement, le code amendé, a-t-il tenu à expliquer, vient verrouiller la transhumance. Cette approbation des capacités du député ne s’est pas arrêtée là. A Djougou où il a été de passage le weekend dernier, tout comme à Copargo, en passant Kpabérou, Dassa etc, le président du groupe parlementaire Bloc Républicain a fait l’objet de toutes les attentions et surtout d’un intérêt des populations qui ont apprécié sa capacité à tenir un discours convainquant, au point où il est sollicité de partout pour venir donner des éclaircissements sur l’actualité politique actuelle. Volontiers, l’élu parlementaire se prête à l’exercice, pour dit-il contribuer à désintoxiquer les populations et surtout désarticuler les plans mensongers de l’opposition qui parcourt monts et vallées pour dire autre chose. Par endroits, les populations n’ont pas caché leur déception des élus de la mouvance qui fait preuve de trahison en faisant un vote contre la proposition de loi de l’honorable Assan Séibou

    Voici un extrait de ses explications aux militants

« Avant pour être président, le code dit, il faut avoir 10% des parrains. Vous n’avez pas oublié que le nombre de députés à augmenter à l’Assemblée nationale. Nous sommes passés de 83 à 109. Ce qui ramène les parrains à 186. Vous devez avoir 15%. Il faut retenir que l’objectif du code, c’est de coller avec la charte des partis. On ne peut plus revenir à de petits partis. C’est la réforme pour qu’il n’y ait pas de petits partis. Nous ne voulons pas que le président sort de nulle part. Il faut mettre des critères pour que les gens soient un peu crédibles à nos yeux. On a dit 3/5 parce que si je m’arrête à Cotonou, Porto-Novo, j’aurai 10%. Or, nous voulons un président répondant à des critères des circonscriptions qui les ont élus. Même celui qui est à Malanville doit être concerné. Nous ne voulons pas des candidats régionaux. Nous avons ramené la caution à 25 millions à la demande de l’opposition. Il faut parrainer les candidats de son parti ou choisis par son parti. L’autre point important est que pour les communales, nous n’avons rien changé. Mais pour les législatives, la circonscription demeure ce que vous avez. On a 10% de l’électorat national pour être éligible au partage de siège mais 20% dans chaque circonscription. Mais, nous avons légiféré pour l’accord de gouvernance. Celui qui a le plus grand nombre, c’est lui désigne le Chef de quartier. Dans la loi, nous n’avons pas légiféré pour les conseillers locaux ».

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