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En prélude à l’examen en séance plénière d’une douzaine de propositions de loi à caractère social, politique, économique et sécuritaire, les députés de la 7ème législature, prennent part depuis ce vendredi 24 Février 2017 à JECO Hôtel de Dassa-Zoumè, à un Séminaire Parlementaire. Tous mobilisés à Dassa-Zoumè aussitôt après la clôture au Parlement de la première session extraordinaire de 2017, les Elus du peuple ont donné la preuve de leur détermination à jouer pleinement leur rôle. Une détermination qui cadre avec la vision de production législative de qualité annoncée par le président de l’institution parlementaire, Me Adrien Houngbédji, lors de son investiture en Juin 2015. Ainsi, à l’ouverture des travaux ce vendredi, il a précisé que cette rencontre participe de la nouvelle vision de l’appropriation par l’ensemble des Parlementaires des problématiques au centre de l’arsenal juridique du Bénin. Il a ajouté que la formule d’imprégnation et d’appropriation préalable répond également à la préoccupation de la gestion du temps au sein de l’institution. « … Au cours d’un tel exercice, beaucoup de notions seront clarifiées, les points d’ombre seront éclairés, des compléments éventuels seront apportés, nous allons corriger ce qui peut l’être, en un mot, le temps de plénière sera économisé pour d’autres dossiers aussi importants et pour lesquels nos populations manifestent leur impatience », a-t-il expliqué. Il a de ce fait, invité ses collègues à profiter de l’appui des experts que le gouvernement a bien voulu mettre à leur disposition puis souhaiter que ceci participe au renforcement de la synergie d’action entre le gouvernement et le parlement sur les questions touchant à la vie économique et sociale du pays. Car, ajoute-il « Ce qui à mon avis, me semble indispensable pour impulser la dynamique nécessaire à notre ambition ». Il faut souligner  que les experts entretiennent les participants au moyen d’un panel de communications sur le crédit-bail, le recueil de renseignement, les zones économiques et sociales, l’organisation du secret-défense, le registre des populations, le Code numérique, l’activité d’affacturage, l’utilisation des collaborateurs extérieurs de l’Etat, les conditions et procédures d’embauche, de placement de la main d’œuvre. Les députés reviennent sans doute, bien requinqués au terme des échanges dudit séminaire qui prend fin ce mercredi 1er mars 2016.

Germin DJIMIDO