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Depuis quelques jours, le candidat à la présidentielle du 28 février prochain, Pascal Irénée Koupaki, est au contact des Béninois. Déjà des localités comme Tchaourou, Savè, Glazoué, Dassa, Bohicon, Abomey, Parakou, Cobly, Djougou, ont vu passer l’apôtre de la Nouvelle Conscience avec son projet de société.
Le chantre de la Nouvelle Conscience, Pascal Irénée Koupaki imprime depuis le début des tractations pour la présidentielle de 2016, les marques d’une nouvelle forme de politique. En témoigne sa démarche qui consiste à braver les montagnes et collines pour expliquer ses ambitions pour un Bénin nouveau. Au moment où certains ont opté pour des ralliements tous azimuts et que d’autres versent dans des calculs arithmétiques sur leur pourcentage des élections passées, la Nouvelle Conscience s’offre aux Béninois, les vrais du Bénin profond. Pascal Irénée Koupaki est forcément le candidat de la rupture. Lui qui avait fait ce périple au moment même où il devait préparer son projet de société, est reparti pour rendre compte de sa vision pour un changement radical et pour un véritable essor du Bénin. Ambition contenue dans son document dénommé ‘’ Bâtir ensemble, un Bénin apprenant, entreprenant et innovant’’. Dans une tournée marathon, il est actuellement dans le grand Nord pour disséquer tous les compartiments de son projet de société aux populations qui aspirent à une alternance au sommet de l’Etat. La concentration du pouvoir tue le développement et Pik en est conscient. C’est pourquoi, l’un de ses messages est de multiplier par 10, les ressources affectées chaque année aux communes par l’Etat central. Il était à Savè, à Dassa, à Tchaourou, à Glazoué, Bohicon, et Abomey les vendredis, samedi et dimanche dernier avant de remonter à Parakou, pour le grand nord. A chaque étape, il choisit et développe un pan important de son projet de société comme il l’a fait àDjougou sur le secteur de l’énergie. A ce niveau, Pascal Irénée Koupaki a fait comprendre qu’il faudra élaborer et réaliser dès 2016 un programme d’urgence de construction d’équipements de production d’énergie électrique d’origine marine. Une énergie plus propre et plus économique (US 0.10 le kilowatt/heure) afin de permettre au Bénin de devenir à l’horizon 2020 un pays exportateur d’énergie électrique d’origine marine, notamment en direction du Nigeria et des pays de l’hinterland. Après la partie septentrionale, cap sera mis sur d’autres départements où les demandes se font déjà sentir. Pascal Koupaki trace ainsi le chemin de sa victoire quoi que l’on dise, le peuple, le vrai, sait distinguer le bon grain de l’ivraie.
Yannick SOMALON