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Le triomphe de la vérité

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Métaphysique: Les révélations de Maitre Rahimi sur la perception de la femme dans l’Islam


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L’islam et la femme
Quelle est la position de l’islam en ce qui concerne le statut de la femme ? Le Statut de la femme dans la société n’est en tout cas ni un nouveau problème ni un problème totalement résolu. Dans les écritures saintes Hindou, la femme modèle est décrite comme suit : ‘’ Une femme dont l’esprit, le langage, le corps restent entièrement soumis, acquiert une grande renommée dans ce monde et dans l’autre ; elle sera dans le même domicile que son mari. Dans la loi de Moïse, la femme était promise en mariage. Et nous lisons dans l’Encyclopedia Biblica ce qui suit : ‘’Se fiancer avec une femme, signifiait simplement, s’approprier d’elle en payant le prix d’achat, la fiancée est celle pour qui le prix d’achat a été payé. La même encyclopedia Biblica indique que ‘’La femme étant la propriété de l’homme, son droit de divorcer suit tout naturellement. Le droit de divorcer ne revient qu’à l’homme. Dans la loi de Moïse, le divorce n’était que le privilège de l’homme.
Le Coran dit : ‘’C’est lui (Allah) qui vous forma d’un seul être et lui tira son épouse afin qu’il put trouver son repos auprès d’elle ‘’ (Coran, 7 : 189). ‘’ Créateur des cieux et de la terre, Allah vous donne des épouses issues de vous-mêmes…’’ (Coran, 42 :11). Voici la position de l’islam en ce qui concerne le statut de la femme dans la société dans les aspects spirituels, sociaux, économiques et politiques.

I) L’aspect Spirituel
Le coran fournit une évidence claire que la femme, aux yeux d’Allah est entièrement égale à l’homme en ce qui concerne les droits et responsabilités. Et le coran dit :
‘’Toute âme assurera le poids de ses œuvres ‘’ (74 :38). Il souligne encore : ‘’Le seigneur à exhaussé leur prière : je ne laisse perdre l’œuvre d’aucun bienfaiteur parmi vous, hommes ou femmes, vous dérivez les uns des autres ‘’ (3 :195) selon le Coran, la femme n’a pas été blâmée pour la première erreur d’Adam. Tous deux ont péché pour avoir désobéi à Allah ; tous deux se sont repentis et ont été pardonnés. (Coran 2 :36, 7 :20-24). En ce qui concerne les obligations religieuses telles que le jeûne, le Zakaat et le pèlerinage, la femme n’est pas différente de l’homme. Dans certains cas même, la femme est exemptée des prières quotidiennes et du jeûne lorsqu’elle est en périodes menstruelles et quarante jours après qu’elle ait accouchée. La femme est exemptée du jeûne lorsqu’elle est enceinte, durant l’allaitement du Bébé s’il y a danger pour sa santé ou celle du Bébé. Si le paiement des jours non jeûnes est obligatoire pour les hommes durant le mois de Ramadan, la femme quant à elle peut les payer au moment voulu et elle n’est pas tenues de payer les prières non faites durant les périodes ci-dessus mentionnées. Leur présence à la prière du vendredi est facultative mais obligatoire à l’homme.

II) Aspect social

Le coran interdit l’infanticide, le considère comme un meurtre et l’illustre à travers le vers et suivant : dès qu’on annonce à l’un d’eux la naissance d’une fille, son visage s’assombrit tandis qu’il refoule son chagrin. Il se cache par honte de cette mauvaise nouvelle : doit-il garder cette chose avilissante ou va-t-il l’enterrer (vivante) ? Combien est mauvaise leur façon de juger ! ‘’ (Coran 16 : 58-59). Un des conseils du prophète à l’égard de cette injustice et inégalité est le suivant : ‘’Quiconque ayant une fille ne l’a pas enterrée vivante, ne l’insulte pas et ne la considère pas inferieure à son fils, Allah le mettra au Paradis.’’ Le Prophète ajoute ‘’Quiconque ayant supporté deux filles jusqu’à leur maturité, lui et moi se verront le jour du jugement comme ça (et il ajusta ses deux doigts).’’Un autre hadith similaire parle de la même manière de la personne qui supporte ses deux sœurs. Le Coran est clair :’’le droit des femmes à conquérir le savoir n’est pas différent de celui des hommes.’’ Le prophète Muhammad (paix et salut soit sur lui) ne disait-il pas :’’ la recherche du savoir est une obligation pour tout musulman’’. Le coran précise que le mariage est un partage entre les deux moitiés de la société et qu’en plus du fait de perpétuer la vie humaine, le mariage implique le bien-être émotif, l’harmonie spirituelle et que ses fondements sont l’amour et la miséricorde comme le témoigne si bien le verset suivant : ‘’Et parmi ces signes est qu’il vous a créé à partir de vous-même des épouses afin que vous trouviez auprès d’elles le calme et le gîte et qu’il a établi entre vous des liens de tendresse et de miséricorde’’. (Coran 30 :21). Ce qui est certain, selon la loi islamique, les femmes ne doivent pas être forcées à se marier sans leur consentement ; les règles de la vie conjugale en islam sont claires et en parfaite harmonie et conformité avec la nature de l’homme : en considérant la forme physiologique et psychologique de l’homme et de la femme, tous deux peuvent exiger un traitement d’égalité excepté une seule responsabilité, la direction de la famille. Celle-ci revient à l’homme par nature et le coran dit : ‘’On leur doit tout ce qu’elles doivent elles-mêmes, selon la bonne coutume et les hommes leur sont supérieurs d’un degré. Allah est puissant et sage’’ (coran 2 :228). Ceci est en rapport avec la différence naturelle de sexes qui donne droit de protection au sexe faible et ceci n’implique ni une supériorité ni un avantage devant la loi. Et le rôle de chef de famille ne signifie nullement la dictature. L’islam met l’accent sur la concertation, l’accord mutuel en ce qui concerne les décisions de famille et le coran précise :’’si d’un commun accord, les parents décident de sevrer leur enfant, ils ne courront de ce fait aucun blâme (coran 2 : 233). Le coran ajoute ‘’vivez avec elles avec gentillesse et si vous éprouvez pour elles quelque aversion, il se peut que vous détestiez quelque chose et que Allah y fasse pour vous un grand bien’’ (coran 4 : 19). Le prophète Muhammad (paix et salut soit sur lui) ne disait-il pas :’’le meilleur d’entre vous est le meilleur envers sa famille et je suis le meilleur parmi vous envers ma famille ‘’. Ce qui est certain :’’les plus grands croyants sont les meilleurs en conduite et les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs à l’égard de leurs femmes’’. Et considérant la nature relativement plus émotive des femmes, une bonne raison doit être exigée devant le juge pour demander le divorce. Aussi, l’islam préconise pour l’instauration de la stabilité de la famille et de sa protection contre les décisions précipitées prises sous l’effet temporaire d’un stress d’émotion que certaines étapes et périodes d’attente soient observées par l’homme et la femme qui demande le divorce. Et comme l’homme, la femme aussi peut divorcer sans recourir au tribunal si le contrat nuptial le permet. Et le coran précise :’’une fois que vous avez répudié les femmes et qu’elles ont atteint leur délai, gardez-les avec gentillesse ou libérez-les avec gentillesse et ne les retenez pas par malveillance pour leur faire du tort’’. (Coran 2 :231)
L’islam considère le respect des parents comme étant une partie de la vénération d’Allah ainsi qui suit :’’Nous avons recommandé à l’homme ses deux géniteurs. Sa mère l’a porté en allant d’affaiblissement en affaiblissement. Son sevrage se fait au bout de deux ans. Rends grâce à tes deux géniteurs !’’(Coran 31 :14,46 :15,29 :8). Et le Coran ajoute :’’Ton seigneur en a décidé ainsi : que vous n’adoriez que lui et de traiter les deux géniteurs (père et mère) avec bienveillance.’’(Coran 17 :23). Le prophète Muhammad (paix et salut soit sur lui) n’a-t-il pas répondu à cet homme qui est venu lui demander ce qui suit en ces termes : ‘’O Messager d’Allah, qui parmi les gens mérite le plus de mon bon compagnon ? Et le prophète lui répondit :’’Ta mère’’ ‘’L’homme demanda la même question une deuxième fois ; à qui le prophète répondit : ‘’Ta mère’’. L’homme demanda ensuite qui d’autre et ce n’est qu’à ce moment que le prophète répondit : ‘’ Ton père’’ N’est-ce pas qu’un des célèbres dictons du prophète dit ce qui suit :’’Le paradis est sous les pieds des mères’’. Ce qui est certain’’, c’est l’homme généreux (en caractère) qui est bon avec les femmes, et ce sont les méchants et ignorants qui les insultent

III) ’ASPECT ECONOMIQUE

Selon la loi islamique, le droit de la femme de gérer son argent, son domaine et d’autres propriétés est entièrement reconnu qu’elle soit célibataire ou mariée et elle possède de plein droit d’acheter, de vendre, d’hypothéquer ou de donner en bail n’importe lequel de ses biens ; il n’est suggéré nulle part dans la loi islamique, qu’une femme soit secondaire parce qu’elle est du sexe féminin. En ce qui concerne le droit de la femme à rechercher un emploi, l’islam considère le rôle de la femme comme étant tout d’abord celui d’une mère et d’une épouse parce que ni les bonnes ni les gardes d’enfants ne peuvent prendre et remplacer la femme en tant qu’éducatrice, capable de donner une éducation correcte et soignée aux enfants. Et un pareil rôle, si noble et si vital dans la formation des futures nations émergentes ne peut être considéré comme une paresse. Cependant, il n’y a pas de décret dans l’islam, qui interdit à une femme de rechercher un emploi chaque fois que la nécessité s’impose, particulièrement pour les emplois qui cadrent avec sa nature et dans lesquels, la société a besoin d’elle tels que les professions de sage femme, d’enseignement, particulièrement pour les enfants et de médecin. De même, il n’y a aucune restriction lorsqu’il s’agit de bénéficier du talent exceptionnel de la femme dans les champs. Et l’islam rétablit la femme dans son droit à l’héritage ainsi qui suit dans le Coran (4 :7) :’’Aux héritiers même est assignée une portion déterminée de ce qu’ont laissé leurs parents et proches, et aux femmes de même est réservée une part de la succession de leurs parents et proches, quelle qu’en soit la qualité’’. Dans la plupart des cas, la part de l’héritage de la femme est égale à la moitié de celle de l’homme sans prétendre qu’elle est la moitié de celui-ci. En islam, l’homme est entièrement responsable de l’entretien de sa femme, de ses enfants, et dans certains cas, même de ceux de ses proches parents, particulièrement les femmes. Et l’homme ne peut ni abandonner cette responsabilité, ni la réduire à cause de la richesse de sa femme ou à cause de son revenu personnel lié à son travail, à une allocation, un avantage ou autres moyens légaux : les propriétés antérieures de la femme au mariage ne peuvent être transférées au mari et la femme garde même son nom de jeune fille. Et une telle femme n’est pas obligée de dépenser ses biens et lorsqu’il y a divorce, la femme bénéficie de la pension alimentaire de la part de l’ancien mari. Ainsi, l’islam accorde la justice et la compassion pour la femme.

IV) L’ASPECT POLITIQUE
Dans le coran, nous trouvons des exemples ou des femmes participant à des discussions sérieuses ou se sont défendues même devant le prophète :’’Durant le califat d’Umar Ibn al Khattab une femme a discuté avec lui, a défendu son point de vue et poussa le prophète à dire publiquement :’’La femme a raison et Umar a tort’’. Selon le coran, le chef de l’état dirige les prières, particulièrement le vendredi et les jours de fête et il est continuellement engagé dans la prise de décision relative à la sécurité et au bien-être de son peuple.

Mathieu 7-7
Nulle part, la loi islamique ne cautionne le mauvais traitement des femmes, pas plus qu’elle ne permet d’annuler, de réduire ou de dévier les droits clairement attribués aux femmes. La famille, la société sont traitées par l’islam sur des bases éthiques. La différence de sexe n’est selon la loi islamique ni un mérite, ni un désavantage. Ce qui rend la personne valable et respectable aux yeux d’Allah, le créateur de la race humaine et de l’univers n’est ni la prospérité d’une personne ni sa position, ni son intelligence, ni sa force physique ou sa beauté, mais seulement sa foi et sa croyance en Allah. La femme est la reine de la lumière réfléchie mais pourtant, la lumière de tout. Aussi, correspond-elle à Eve avant son union avec Adam, le nombre 2 qui lui est attribué est symbole de duplication, de la réflexion, de la copie de la transcription, de la reproduction et ce nombre est manifestement en relation avec la mémoire, fonction de base de la subconscience. Laquelle subconscience étant à chaque instant soumise sans discernement à la suggestion et en même temps, canal de communication télépathique et source de la plupart  de nos difficultés et c’est à cela que fait allusion l’allégorie biblique selon laquelle Eve aurait été la cause de la tentation et de la chute d’Adam ; aussi ne peut-il avoir de refondation réussie, de prospérité partagée, de succès, sans la maîtrise des réalités féminines

CROIREE– AGIR – REMERCIER

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