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Le triomphe de la vérité

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Polémique autour de la gestion de la Société d’Egrenage et d’Industrie du Coton du Bénin: Le PDG de la SEICB réagit et lève les doutes


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Après la sortie médiatique de son épouse, sortie suivie le 24 octobre 2014 par des titres dans la presse faisant état de ‘’crise latente’’ au sein de sa société, Prince Buruji Kashamu, le président-directeur général de la Société d’égrenage et d’industrie du Coton du Bénin (SEICB)et actionnaire majoritaire de la SEICB, avec 85% des parts au capital social a tenu à faire connaitre sa part de vérité de manière à ôter toute sorte de doute ou d’ambigüités de l’esprit de tous. Selon lui, son « erreur » a été d’avoir interdit à Sabine Fourn Kashamu son épouse, « toutes relations d’affaires et tous contacts avec ceux qui voudraient délibérément l’instrumentaliser pour combattre, détruire et torpiller l’Etat béninois dans le cadre de la réforme du secteur cotonnier ». Le PDG de SEICB affirme avoir, « à plusieurs reprises », envoyé des signaux clairs à cette dernière. Une démarche plutôt vaine, cette dernière étant « demeurée imperturbable et inflexible » aux avertissements de son époux. Reconnaissant en sa femme un modèle d’ «intégrité irréprochable », le PDG de la SEICB s’est montré perplexe face à la « cécité » de cette dernière« à ne pas déceler les pièges du plan machiavélique que les nouveaux « amis » cotonniers de celle-ci s’efforcent de réaliser dans le dessein inavoué, mais planifié depuis de longues années, pour racheter aux forceps et pour une bouchée de pain la SEICB afin de l’intégrer dans leur patrimoine industriel cotonnier déjà congestionné. » Selon lui, l’existence d’un tel plan est réelle et reconnue par la plupart des actionnaires contactés. D’où la décision par lui et les autres actionnaires, de « procéder à une profonde réorganisation de la société pour lui permettre de retrouver ses lettres de noblesse. » Tenant à rétablir la vérité sur les «prétentions » de son épouse qui affirme détenir 15% des parts sociales de ladite société, le PDG de la SEICB a invité toutes les personnes intéressées par la vérité sur cette question à s’édifier en consultant le Journal Officiel pour y trouver les Statuts et les différents rapports sur la société depuis sa création. Le PDG de la SEICB a également tenu à rendre hommage au Gouvernement béninois dont les réforme sont permis de rétablir la justice et l’équité dans le secteur en offrant à chaque égreneur l’opportunité et la chance d’avoir du coton pour faire tourner son usine. Reconnaissant, Prince Buruji Kashamu a salué les efforts de l’Etat béninois à assainir le secteur cotonnier. Des efforts qui l’auront encouragé, luiPrince Buruji Kashamu alias Kasmal, à injecter de l’ « argent frais dans la SEICB qui revenait de loin pour reprendre la production cotonnière au cours des deux dernières années après huit années de descente aux enfers essentiellement due aux torpillages orchestrés par ceux qui veulent, soudainement, redevenir « amis » de la SEICB. Affirmant avec conviction que toutes les preuves  et justifications irréfutables sont disponibles et peuvent être publiées si son épouse dément et réfute tous les faits précités, le président-directeur général de la SEICB, Prince Buruji Kashamu continue de tendre,malgré tout,la main à cette dernière et l’invite à « revenir sur le droit chemin de la fidélité et de la reconnaissance pour le reste de leur existence».

Wandji A.

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1 thoughts on “Polémique autour de la gestion de la Société d’Egrenage et d’Industrie du Coton du Bénin: Le PDG de la SEICB réagit et lève les doutes

  1. Franck Agnoum

    Monsieur Kasmal veut nous faire croire que son epouse est de connivence avec avec certains acteurs de la filiere cotoniere pour saboter le plan du gouvernement. Il est utile de rappeler que la seicb a egrene sous la direction de cette dame, plus de 20 000 tonnes de coton graine. Il faudra que ce monsieur nous explique comment peut on vouloir saboter le plan du gouvernement et en meme temps participer pleinement a la sauvetage de la filere tout en preservant les interets de la seicb.

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