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Le triomphe de la vérité

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Ouvrage intitulé ” Lutte contre la corruption sous la rupture : Réformes et grands procès ”: Awoudo livre le secret des exploits de la lutte contre la corruption sous la rupture


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François Awoudo

‘’ La Tribune de l’entretien ‘’ de E.Télé
François Awoudo livre le secret des exploits de la lutte contre la corruption sous la rupture Consultant en stratégie des médias et en communication, François Awoudo l’un des auteurs du livre intitulé ‘’ Lutte contre la corruption sous la rupture : Réformes et grands procès ‘’, est l’invité le dimanche 03 octobre dernier de l’émission ‘’ La Tribune de l’entretien ‘’ de la chaîne de télévision E.Télé. Au cours de cette entrevue, il a évoqué les raisons qui lui ont motivé la production de cet ouvrage lancé le 31 août 2021 et exposé le contenu dudit document qui porte sur la lutte déclenchée depuis 2016 contre la corruption, le favoritisme, les scandales financier et infrastructurels en vue de la bonne gouvernance à l’ère du nouveau départ.

Avec l’avènement du pouvoir du président Patrice Talon, la lutte implacable engagée contre la corruption sous toutes ses formes a pris une autre tournure. La rigueur du gouvernement a fait chuter considérablement les irrégularités dans la gestion et met ainsi l’économie du pays sur les rails. C’est du moins ce qu’on peut retenir des explications du journaliste François Awoudo, Consultant en stratégie des médias et en communication à propos de son ouvrage ” Lutte contre la corruption sous la rupture : Réformes et grands procès ”. Cet ouvrage, selon les clarifications données par son auteur sur l’émission ” La Tribune de l’entretien ”, renseigne sur les méfaits de la corruption et met la lumière sur les dispositions prises par le gouvernement actuel pour freiner l’impact de cette corruption dans la société. « La corruption date de plusieurs millénaires mais tout dépend de la manière dont on procède pour freiner son impact dans la société. Ce n’est pas pour la première fois qu’un président prend des engagements. Différents présidents ont décidé non pas de mettre un terme à la corruption. Cet engagement du candidat Talon en 2016 a été constant. Maintenant dans le temps, on peut noter des disparités dans les actions », a fait remarquer François Awoudo. Au nombre des engagements du candidat Patrice Talon contenus dans la première partie de cet ouvrage, l’invité de l’émission a évoqué l’élargissement de la carte judiciaire du pays, l’appui en moyens technique et financier à la justice, la spécialisation d’un certain nombre de juridictions et la rigueur observée depuis peu pour que les béninois soient égaux devant la justice. C’est pourquoi l’auteur entend que journaliste d’investigation est allé chercher ce qui a véritablement changé dans le visage que présente la corruption au Bénin afin de voir si la lutte déclenchée par le gouvernement de 2016 jusqu’à maintenant, a un impact. À la question de savoir ses réelles motivations dans la production de cet ouvrage, l’invité a fait remarquer que le journaliste par sa fonction au premier degré est quelqu’un qui fait de l’investigation. Il ne joue pas le rôle de la justice à sa place ni de la police à sa place. Mais, il voit des faits qu’il ne prétend pas corrects et cela retient son attention qu’il a envie de les révéler. « Ce n’est pas le rôle du journaliste de faire un plan pour un justicier. Il se contente de présenter les faits suite à ce que ceux qui doivent prendre le relais joue leur rôle », a-t-il précisé. Dans le cadre de ce travail, François Awoudo dit s’être appesanti sur les aspects qui ont favorisé cette orthodoxie financière sous la rupture. Il s’agit entre autres de la création de la CRIET, de l’Inspection Générale des Finances (IGF), des audits au niveau des ministères. La mise en place du Bureau d’analyse et d’investigation (BAI) qui est la cheville ouvrière de toutes les réformes en matière de justice. La création du Haut-commissariat à la corruption, la dématérialisation des services administratifs, le financement des partis politiques, la réforme sur la passation des marchés publics etc,. Toutes ces réformes a-t-il expliqué, ont permis d’assainir les finances publiques et crédibilisé le pays auprès des institutions financières internationales qui sont désormais prêtes à accompagner le Bénin dans tous ses projets. À l’en croire, le gouvernement du président Patrice Talon a tiré leçon du passé pour réaliser ces prouesses, car dit-il la priorité n’est pas aux sanctions, mais de faire en sorte que l’État puisse recouvrir les fonds détournés. C’est pourquoi le pays dispose de l’argent à suffisance et investit dans les infrastructures. « Essentiellement dans le cadre de cet travail, nous avons constaté que c’est ceux qui n’ont pas remboursé qui se retrouvent devant la justice », dit-il avant d’ajouter que l’État a réduit considérablement les dépenses. « On a réduit les contacts par la dématérialisation des services administratifs. Des efforts ont été faits au niveau des marchés publics. Le nombre de véhicules par administration a été réduit, les évacuations sanitaires de même afin de contribuer à renflouer les caisses de l’État », soutient-il. Il faut préciser que François Awoudo co-auteur de cet ouvrage avec le journaliste Michel Tchanou, a signé plusieurs autres livres dans ce même domaine. Le Visage de la corruption au Bénin en 1999, Bénin, une démocratie prisonnière de la corruption en 2008 avec Wilfried Adoun et une troisième expérience en 2015 qui couvre la période de 2006 à 2015.

Alban Tchalla (Stag.)

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