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Promotion de la culture et de la formation professionnelle : Le Centre Culturel et de Formation Bio Tchané ouvre officiellement ses portes

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Le Centre Culturel et de Formation (CCF) BIO TCHANÉ a officiellement ouvert ses portes le samedi 21 décembre 2024 à Djougou. Conçu en mémoire du feu Elhadj Moussa TCHANE, père de Son Excellence le ministre d’État Abdoulaye BIO TCHANÉ, président du parti Bloc Républicain, ce centre se positionne comme un cadre de référence pour la jeunesse. La cérémonie d’inauguration a rassemblé d’éminentes personnalités politico-administratives, dont le ministre d’État Abdoulaye BIO TCHANÉ, les honorables députés et maires des 13ᵉ et 14ᵉ circonscriptions électorales, ainsi que le secrétaire général de la préfecture et des populations.

De quoi s’agit-il : Le Centre culturel et de formation Bio Tchané, fondé par la famille Bio Tchané sous la direction du ministre d’État chargé du développement et de la coordination de l’action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, est dédié à la mémoire de leur défunt père, Elhadj Moussa Bio Tchané. Il faut noter que cette maison rénovée de l’illustre disparu Elhadj Moussa Bio Tchané servira désormais à la promotion de la culture, à la formation professionnelle et à l’épanouissement des jeunes Béninois, en particulier ceux du département de la Donga.

Qu’est-ce qui est important : Le CCF Tchané dispose d’une bibliothèque de plus de 4000 livres scientifiques, de culture générale et académiques. Il est également équipé d’une salle informatique moderne et propose un programme riche en animations diverses. Son objectif principal est de former les jeunes, qu’ils soient scolarisés ou non, âgés de 5 à 20 ans, en leur offrant des compétences pratiques et un savoir-faire essentiel pour devenir des membres actifs de la société. En plus de ses activités ludiques, le centre offre des formations professionnelles dans des domaines tels que l’informatique et le numérique, l’entrepreneuriat, l’insertion professionnelle, l’orientation académique, le leadership, le développement personnel et la prise de parole en public. Il dispose également d’un espace collaboratif, comprenant une salle de réunion et de co-working, un accès aux ressources documentaires, des travaux pratiques et un espace afterwork.

Que disent les acteurs : Lors de cette journée inaugurale, YAYA Idrissou, maire de Djougou, a, dans son mot de bienvenue, salué cet acte de grande générosité de la famille Bio Tchané, particulièrement du ministre d’État Abdoulaye Bio Tchané qui, selon lui, honore de la plus belle des manières la mémoire d’Elhadj Moussa Bio Tchané et qui contribue efficacement au développement de la localité. « Monsieur le ministre d’État, en décidant de créer le centre dont nous procédons à l’ouverture officielle ce jour, vous avez vu juste les besoins de notre département en matière d’éducation et d’apprentissage qui sont immenses », a fait savoir le maire Yaya. « Les centres de lecture sont rares et les moyens de leurs parents ne leur permettent pas de mettre à la disposition de leur enfant les ouvrages nécessaires à leur instruction à l’école », a-t-il ajouté. Pour la directrice du centre, Inès Allognon, ce centre sera un catalyseur d’innovation, d’apprentissage qui proposera des formations dans de nombreux domaines. « Le centre est un espace où la parole se libère, où l’imaginaire se nourrit et où les rêves prennent corps. Je tiens à remercier chaleureusement toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce projet », a laissé entendre la directrice Inès Allognon.

Entre les lignes : En ouvrant officiellement le centre, Mouhammadou BIO TCHANE, représentant de la famille BIO TCHANE, a souligné que le centre est un réel hommage à leur feu père Elhadj Moussa Bio Tchané, celui-là qui a consacré sa vie à l’éducation. En tant qu’enseignant, cet homme a réussi à semer les graines du savoir dans le cœur de nombreuses personnes. « En transformant ce lieu en un centre de formation comprenant une bibliothèque, un espace culturel, nous perpétuons son héritage et ses valeurs, nous faisons vivre son dévouement à l’éducation et son amour pour le partage du savoir », a-t-il déclaré. « Ne vous y trompez pas, il ne sert à rien de laisser des milliards, des immeubles, des biens matériels aux enfants, mais laissez-leur savoir et l’éducation », a laissé entendre Mouhammadou BIO TCHANE. De son côté, le ministre d’État chargé du développement et de la coordination de l’action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, a fait savoir qu’il est de leur devoir en tant que citoyens, en tant que responsables, en tant que personnes engagées, d’offrir à la jeunesse des espoirs concrets, des formations, des emplois et des perspectives, afin qu’ils puissent réaliser certaines de leurs aspirations dans la dignité, sans risquer leur existence et en restant en famille. À l’en croire, ce centre est conçu sur trois piliers. Le premier pilier s’agira de former les jeunes dans les matières scientifiques en mettant à leur disposition des livres de maths, de physique, de sciences naturelles, de la sixième jusqu’en terminale. Le deuxième pilier aura pour rôle de renforcer les capacités des adultes dans les métiers, tout en leur formant au numérique et en leur permettant d’avoir accès à des ordinateurs gratuitement dans le centre. Le troisième pilier contribuera à offrir un espace culturel pour tous et sera un carrefour où les idées, les traditions, les talents pourront s’exprimer et se transmettre, surtout aux plus jeunes. « Ces trois piliers sont au cœur de ce que le gouvernement du président Patrice Talon poursuit déjà avec l’Enseignement de la Formation Technique et Professionnelle. Parce que nous avons dit que ce n’est pas la peine d’envoyer des enfants à l’école pour avoir des licences, pour avoir des maîtrises, pour avoir des masters, de finir et d’être au chômage pendant six ans, pendant dix ans. La réponse à ça, c’est la formation professionnelle et technique », a martelé le ministre d’État avant de souligner que ce centre va permettre, à la demande du gouvernement, d’aller un peu plus loin dans la formation professionnelle et technique.

Augustin HESSOU

Annulation des épreuves pour des fonctions dans les mairies: Tolérance « zéro fraude » sous la rupture, la fermeté de Bio Tchané

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Le président du Comité de supervision Abdoulaye BIO TCHANE

La lutte contre la corruption et le favoritisme dans l’administration publique au Bénin se poursuit. C’est dans la dynamique de cette lutte engagée depuis 2016 avec l’avènement du gouvernement du président Patrice Talon, que le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané a décidé de l’annulation des différentes épreuves du samedi 19 février 2022 en vue de la constitution du fichier national des fonctions techniques et administratives des mairies. L’annonce a été faite à travers un communiqué en date du 23 février 2022, signé du président du comité de supervision de la réforme structurelle du secteur de la décentralisation, le ministre chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané. Cette décision intervient à la suite des plaintes reçues et qui font état des irrégularités dans les dossiers des candidats. « C’est en raison des plaintes enregistrées relativement à l’évaluation des dossiers des candidats aux diverses fonctions techniques et administratives des mairies », a-t-il indiqué. Le comité, renseigne le communiqué, a décidé d’annuler puis de faire reprendre les différentes épreuves, « le but de garantir les mêmes chances à tous ». A cet effet, il sera procédé à la reprise du processus d’évaluation des dossiers des postulants. « Les nouvelles dates de reprise du processus de sélection pour la mise en place du fichier national des fonctions administratives et techniques seront communiquées ultérieurement », a précisé le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané.

Alban Tchalla (Coll.)

Participation du Bénin au forum de haut niveau sur les ODD: Bio Tchané expose les gros efforts fournis par le gouvernement

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Le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané lors de la conférence de presse

Quelques heures après la participation du Bénin à l’édition 2020 du Forum Politique de Haut Niveau sur les ODD, le ministre d’Etat, chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané a tenu une conférence de presse ce jeudi 16 juillet 2020 dans les locaux de son ministère. Le numéro deux du gouvernement Talon est revenu de long en large sur les efforts fournis par le Bénin dans la mise en œuvre de l’agenda des Objectifs du Développement Durable. En effet, « depuis trois ans, le Président Patrice TALON a souhaité que le Bénin participe à cette grande rencontre mondiale afin d’assurer la transparence dans la mise en œuvre des ODD dans notre pays, et dans un esprit de partage des bonnes pratiques avec les autres pays », a rappelé le ministre d’Etat à l’entame de son mot introductif. Selon ses explications, le Bénin est aujourd’hui cités comme de bons élèves en matière d’ODD aussi bien par les Nations Unis que par les pays membres. « C’est à ce titre que le Bénin a été désigné par le FMI parmi les cinq pays dont le coût de mise en œuvre des ODD a été estimé. Nous savons aujourd’hui que pour assurer une bonne mise en œuvre des ODDs au Bénin, il nous faut au total 74 milliards de dollars de francs soit en moyenne 43% du PIB par an », a précisé le ministre d’Etat Bio Tchané. Toute chose qui va de la crédibilité et la pertinence de l’action publique régulièrement évaluées et ceci sans ménagement dans ce cercle de décideurs de haut niveau. Revenant sur les secteurs clés où des efforts ont été fournis avec des résultats probants, le ministre d’Etat a insisté sur l’accompagnement des partenaires et autres bailleurs de fonds à la mise en œuvre du programme de développement du Bénin.

L’INTEGRALITE DES ECHANGES QUESTIONS REPONSES DU MINISTRE D’ETAT AVEC LES PROFESSIONNELLES DES MEDIAS

Monsieur le Ministre d’Etat, vous avez porté la voix du Bénin à ce forum politique de Haut Niveau sur les ODD, à travers sept messages clés. Expliquer-nous ce qu’on peut retenir de ces sept messages.
Ces sept messages clés ont permis de retracer nos progrès dans la mise en œuvre des ODD. Il s’agit :

  1. Des efforts dans l’accès universel à l’eau potable,
  2. L’énergie au plus grand nombre,
  3. L’assainissement du cadre de vie.
  4. La spatialisation des cibles prioritaires des ODD,
  5. La mise en place d’une politique de « Ne laisser personne de côté », à l’estimation du coût des ODD.
  6. Les statistiques pour l’atteinte des ODD. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles, nous avons entrepris de la réforme du système statistique national ainsi que la restructuration de l’INSAE.
  7. Enfin, nous avons partagé notre expérience des tables rondes ciblées qui est sont un moyen efficace de mobilisation des ressources.
    Ces résultats sont la suite des directions dans lesquelles le Président Talon a engagé notre pays : Créer les conditions d’une croissance forte durable et inclusive. Et mettre en place des mesures sociales pour ne laisser personne au bord du chemin.

Monsieur le Ministre d’Etat, c’est l’occasion de faire un bilan d’étape de la mise en œuvre des ODD au Bénin. Que retenir ?
Les Objectifs du Développement Durable, ODD, sont au nombre de 17 et comprennent un ensemble de 169 cibles. Le Bénin a retenu 49 des 169 cibles. Celles-ci ont été arrimées à nos différents documents de planification que sont : le PAG, le PND et le PC2D. Dans notre action quotidienne au Gouvernement, nous veillons à ce que nos décisions contribuent à l’atteinte de ces objectifs.
Sur plusieurs de cibles, notre pays a réalisé des progrès significatifs.

  1. L’accès à l’eau potable, par exemple, notre pays est même en avance sur l’agenda 2030. Notre vaste programme d’accès universel à l’eau potable, va permettre d’ici fin 2021, de donner de l’eau potable à chaque Béninoise et chaque Béninois. Dans les mois à venir, les nombreuses infrastructures dans le secteur seront fonctionnelles.
  2. Il en est de même pour les ODD relatifs à l’énergie. Le Gouvernement a consenti de nombreux efforts dans ce secteur avec la construction entre autres, de la centrale électrique de Maria-Gléta, ainsi que la mise en œuvre des programmes d’électrification rurale. Aujourd’hui, notre pays produit plus de la moitié de notre consommation énergétique contre presque 00% en 2016. D’ici fin 2021, notre pays va pouvoir atteindre son autonomie énergétique.
  3. Je dois aussi préciser les efforts en cours en ce qui concerne le cadre de vie. La première phase du projet asphaltage concerne la réhabilitation, le bitumage et le pavage de 195 km de rues secondaires dans neuf communes de notre pays : Cotonou, Porto-Novo, Parakou, Abomey-Calavi, Lokossa, Natitingou, Abomey, Bohicon et Sème-Kpodji. Ce programme comprend aussi un volet éclairage public, aménagement des espaces verts et des équipements sécuritaires. Une deuxième phase est en étude.
  4. Pour ce qui concerne les ODD relatifs à la réduction de la pauvreté, et à la lutte contre la faim, 50% du chemin a été parcouru. Le programme des cantines scolaires grâce auquel plus d’un enfant sur deux a droit à un repas chaud à l’école est en cours.
  5. Le programme ARCH, dont la généralisation du volet assurance maladie est lancé, renforce nos actions sur l’ODD 3 « bonne santé et bien-être » et l’ODD relative à la mortalité néonatale et infantile. Sur ce dernier point, 65% du chemin parcouru ;
  6. J’ajouterai les actions en vue d’atteindre la cible 16.9 qui concerne l’Etat civil et la Gouvernance.
  7. Et enfin, la réduction de la pauvreté

Monsieur le Ministre d’Etat, vous l’avez dit dans vos propos introductifs. Ce forum politique de Haut Niveau intervient à un moment où le Bénin sort de la liste des pays à faible revenu pour rejoindre celle des pays à revenu intermédiaire. Quel lien peut-on faire entre les deux événements ? Et plus généralement, quelles sont les retombées et implications de ce classement de la Banque Mondiale ?
D’abord, il s’agit d’une très bonne nouvelle que nous avons accueillie au gouvernement avec fierté, responsabilité et humilité. Les actions du Gouvernement dans le PAG visant la mise en œuvre des ODD ont grandement contribué à cette performance.
Ensuite, l’entrée du Bénin dans la liste des pays à revenu intermédiaire et les autres performances sont le fruit d’une amélioration progressive de notre tissu économique. Elle est l’expression des retombées des politiques économiques et sociales mises en œuvre, des réformes structurelles engagées dans différents secteurs, et des investissements massifs dans les secteurs prioritaires comme : l’énergie, l’eau, le cadre de vie, l’agriculture, l’économie numérique et du savoir etc… Et bien sûr des réformes. Elle traduit clairement que nous sommes dans une bonne dynamique de croissance économique. Entre 2016 et 2019 nous avons eu une croissance moyenne de plus de 6% soit 2 fois la croissance démographique.
Cette classification de la Banque Mondiale s’inscrit aussi dans la continuité d’autres bonnes nouvelles du genre notées depuis de longs mois. On peut citer :
l’amélioration significative de l’Indice de Développement Humain qui place le Bénin en tête des pays de l’UEMOA devant le Sénégal et la Côte-d’Ivoire.
la présence dans le cercle envié des 10 économies les plus dynamiques dans le monde.
le seul pays de la CEDEAO à avoir mis en œuvre les principes et les règles de la libre circulation des personnes et des biens.
le premier pays francophone en matière de transparence
Je pense que nous avons des raisons d’être fier de notre action gouvernementale. Mais nous devons surtout être fier que notre pays réalise de telles performances.
Il y encore certes un certain nombre de défis à relever au niveau de notre pays. Mais cela ne doit pas nous empêcher de reconnaitre l’évolution et les changements positifs enregistrés depuis que le président Talon est à la tête de notre pays.
Les retombées directes pour nous de ce classement est le renforcement de notre crédit auprès des potentiels investisseurs et bailleurs. Plus de confiance et moins de méfiance des partenaires et par conséquence une réduction du risque pays et donc plus de financements et plus d’investissements qui avec la rigueur actuelle vont inscrire notre pays dans un cercle vertueux de développement. D’ailleurs vous avez tous suivi les notations faites par les agences de notation où dans un contexte de double crise sanitaire et économique, notre pays voit sa notation améliorée dans une situation où plusieurs pays comparables enregistrent des déclassements. Notre contrainte budgétaire va donc se trouver substantiellement desserrée, ce qui comme le disent les jeunes est tout bénef pour nous.

Monsieur le Ministre d’Etat, quel est le lien que vous faites entre ces bonnes performances et le quotidien des Béninois ?
Vous savez, pas plus tard qu’hier, nous avons reçu une autre bonne nouvelle, cette fois de l’UEMOA. Cette nouvelle dit que le Bénin dans l’UEMOA est le deuxième pays où la pauvreté est la moins élevée après le Sénégal. Au Bénin, le taux de pauvreté est en dessous de 40% alors que la plupart des pays de l’UEMOA ont un niveau de pauvreté supérieur à ce taux.
Cela montre que les efforts que le Gouvernement fait en matière de croissance économique sont de plus en plus partagés par les populations. Si la croissance économique est partagée, c’est qu’il y a moins de pauvres dans notre pays, que par le passé.
Quand vous regardez l’évolution des choses dans un certain nombre de secteurs, vous ne pouvez que vous dire qu’il y a quelque chose qui se passe dans cette économie. Prenez la production cotonnière, prenez la production agricole de façon générale. Nous sommes aujourd’hui le premier producteur de coton en Afrique de l’Ouest avec un peu plus de 850 mille tonnes. Ce sont des populations qui cultivent ce coton.
Sur le terrain de l’emploi, nous avons faits de nombreux efforts. Les chiffres sont là. Dans un contexte, comme le nôtre où on a plus de 4millions de personnes en situation de sous-emploi, même quand vous créez un million d’emplois, ce n’est pas suffisant pour combler le gap. Mais, cela signifie aussi que 25% du chemin a été parcouru. Par rapport à la période d’avant 2016, de nombreux efforts sont faits. Le sous-emploi a considérablement baissé dans notre pays. Et le Gouvernement du Président Patrice TALON est conscient des efforts supplémentaires à faire.

Monsieur le Ministre d’Etat, quel est le lien que vous faites entre ces bonnes performances et le quotidien des Béninois ?
Vous savez, pas plus tard qu’hier, nous avons reçu une autre bonne nouvelle, cette fois de l’UEMOA. Cette nouvelle dit que le Bénin dans l’UEMOA est le deuxième pays où la pauvreté est la moins élevée après le Sénégal. Au Bénin, le taux de pauvreté est en dessous de 40% alors que la plupart des pays de l’UEMOA ont un niveau de pauvreté supérieur à ce taux.
Cela montre que sur le plan macroéconomique les efforts que le Gouvernement fait en matière de croissance économique sont de plus en plus partagés par les populations. Si la croissance économique est partagée, c’est qu’il y a plus de revenus partagés et moins de pauvres dans notre pays, que par le passé.
Quand vous regardez l’évolution des choses sur le plan microéconomique dans un certain nombre de secteurs, vous ne pouvez que vous dire qu’il y a quelque chose qui se passe dans cette économie. Prenez la production cotonnière, prenez la production agricole de façon générale. Nous sommes aujourd’hui le premier producteur de coton en Afrique de l’Ouest avec un peu plus de 850 mille tonnes. Ce sont des populations qui cultivent ce coton et qui en perçoivent des revenus, ce sont des transporteurs qui bénéficient des revenus supplémentaires et ce sont des centaines de travailleurs qui perçoivent des salaires dans les usines.
Sur le terrain de l’emploi, nous avons faits de nombreux efforts. Les chiffres sont là. Dans un contexte, comme le nôtre où on a plus de 4millions de personnes en situation de sous-emploi, même quand vous créez un million d’emplois, ce n’est pas suffisant pour combler le gap. Mais, cela signifie aussi que 25% du chemin a été parcouru. Par rapport à la période d’avant 2016, de nombreux efforts sont faits. Le sous-emploi a considérablement baissé dans notre pays. Mais le Gouvernement du Président Patrice TALON est conscient des efforts supplémentaires à faire, et nous y sommes engagés.

Yannick SOMALON

Journée mondiale de la population dans un contexte du Covid-19 : Bio Tchané dévoile les dispositions prises pour protéger les couches vulnérables

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Le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané

A l’occasion de la 31ème  édition de la journée mondiale de la Population (Jmp) qui a eu lieu ce samedi 11 juillet 2020, le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané, a adressé un message à la nation. Il a évoqué les mesures prises par le gouvernement pour protéger la population notamment les couches vulnérables en cette période de la pandémie du Covid 19. En effet, à l’instar de  la communauté internationale, le Bénin a célébré samedi dernier la 31ème  édition de la journée mondiale de la Population (Jmp). Le thème cette année est : “Faire une pause dans Covid-19 : comment protéger la santé et les droits des femmes et des filles maintenant ?”. Selon le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, face à la pandémie du Covid-19, le gouvernement de Patrice Talon a élaboré un plan de riposte et de relance socioéconomique qui au-delà, va réduire le fardeau associé à la santé et intégrer les vulnérabilités des femmes et des jeunes filles.

« Une subvention d’un montant de 74,12 milliards de FCFA a été octroyée aux couches les plus démunies (couturières, coiffeuses, etc.) pour contenir les effets de la crise sanitaire et relancer l’économie », a déclaré Abdoulaye Bio Tchané. Aussi, le gouvernement a-t-il pris des mesures structurelles à travers le renforcement des programmes existants. Il s’agit entre autres de la ligne de bonification de taux d’intérêt de crédit pour faciliter le financement des Activités génératrices de revenus (Agr), le projet Swedd qui englobe la santé de la reproduction et l’autonomisation des femmes. Il y a également le projet Arch qui dans sa phase pilote met à la disposition de la population 105 000 cartes biométriques pour permettre aux pauvres extrêmes d’avoir accès aux soins de santé.

Outre ces mesures, le ministre Abdoulaye Bio Tchané a évoqué une politique holistique de protection sociale qui offre des possibilités de prise en charge des couches vulnérables. Les manifestations officielles de cette édition se déroulent dans la commune de Bohicon. Pour le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, « l’organisation de la Jmp est une occasion pour : réaffirmer l’engagement du gouvernement à sauvegarder les droits humains, prendre en compte la vulnérabilité des femmes et des filles, intensifier la sensibilisation des populations de notre pays en général sur le respect des mesures barrières (port systématique de masque, lavage de main à l’eau et au savon, respect de la distanciation, etc).

Yannick SOMALON

Insae: Bio Tchané installe le nouveau Conseil d’administration

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Le ministre d’Etat chargé du Plan et du développement Abdoulaye Bio Tchané

Le Ministre d’état chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané a procédé dans la matinée de ce jeudi 2 avril 2020 à l’installation des nouveaux membres du Conseil d’administration de l’institut national de la statistique et de l’analyse économique (Insae). Cette cérémonie   s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des décisions administratives prises par le conseil des ministres en sa session du 12 février 2020. Dans son intervention, le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané a précisé que « la restructuration du Conseil d’Administration participe à l’effort que nous avons engagé pour réformer l’Insae lui-même. L’ambition est d’en faire l’un des meilleurs instituts de l’Afrique. Nous avons aussi le conseil scientifique qui va recommencer à jouer son rôle. »

Cette cérémonie d’installation est une suite logique des décisions  contenues d’une part, dans le décret n°2020-073 portant modification des statuts de l’Insae et d’autre part, dans le décret n°2020-074 portant nomination des membres du Conseil d’Administration de l’Institut. La prise de fonction de ces nouveaux membres a été effective en présence du  Directeur Général de l’Insae, Laurent Hounsa. Le nouveau Conseil d’Administration de l’Insae comprend sept membres et est présidé par Djaoudath Alidou Dramane.

LISTE DES MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’INSAE

1-    Madame Djaoudath Alidou Dramane (Présidente), représentante du Ministère du plan et du développement

2-    Monsieur Moise Achille Houssou, représentant du de la Présidence de la République

3-    Monsieur Aristide Medenon, représentant du Ministère de l’Economie et des Finances

4-   Monsieur Dossa AGuemon, représentant du Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche

5-   Monsieur Désiré Soukpo, représentant du Ministère du Numérique et de la Digitalisation

6-   Monsieur Janvier Polycarpe Alofa, représentant du Programme des Nations-Unies pour le Développement

7-   Monsieur Didier Noukpo, représentant de la Direction Nationale de la Bceao.

Yannick SOMALON

Vulgarisation des textes du Bloc républicain: Bio Tchané galvanise les « Républicains » de l’Atacora et de la Donga

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Quelques Membre du présidium du Bloc Républicain, le ministred’Etat Abdoulaye Bio Tchané échange avec les femmes de l’Atacora Donga

Membre du présidium du parti des Républicains, le ministre d’État chargé du Plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané, à la tête d’une délégation de députés, de ministres et de maires, est allé à la rencontre des militants de première heure du Bloc républicain. C’était le samedi 05 et le dimanche 06 janvier 2019 dans les départements de l’Atacora et de la Donga. Pour sa première étape à Natitingou, la délégation conduite par Abdoulaye Bio Tchané a rencontré des militants venus de Pehunco, de Kerou, de Kouandé et de Natitingou. « Comme tout le monde n’a pas pu être au congrès de Parakou, le but de notre déplacement vers vous aujourd’hui, c’est de faire connaître notre nouveau parti, le Bloc républicain, afin que vous soyez notre relai sur le terrain », a expliqué Abdoulaye Bio Tchané. Au cours de la séance, Malick Gomina, membre du bureau politique du parti, a exposé à l’assistance les attributs du parti, son organisation et ses instances dirigeantes. Les militants dans leur ensemble ont salué la démarche et promis investir le terrain en vue des prochaines échéances électorales. Pour la journée du dimanche, les 3ème, 13ème et 14ème circonscriptions électorales ont accueilli la délégation. Aux termes de cette tournée, des registres d’inscription seront ouverts dans tous les villages afin d’enregistrer les militants.

Yannick SOMALON

Séances de prière à Parakou: Abdoulaye BIO TCHANÉ rend hommage à Mohamed NONSOU

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Lors de la prière musulmane en mémoire du défunt

Le ministre d’État, est toujours sous le choc de la brutale disparition le mercredi 13 juin 2018, de Monsieur Mohamed Nonsou, le Coordonnateur de l’Alliance ABT à Parakou,  conseiller municipal ABT de Parakou et l’un des tout premiers militants ABT de Parakou.

Quarante-huit heures  après le décès du défunt militant chevronné de l’Alliance ABT et conseiller communal de  Parakou, Mohamed NONSOU, le Ministre d’État chargé du Plan et du Développement était au domicile du défunt dans la matinée de ce  vendredi 15 juin 2018, juste après la prière de fin de Ramadan avec de la communauté musulmane à la place Titirou de Parakou. Bio tchané s’est dirigé avec le Maire de la ville de Parakou, Charles TOKO, d’abord, dans la maison familiale du défunt conseiller pour présenter ses condoléances et celles de l’Alliance à la famille de l’ex militant. Là, il a pris pris part à la prière spontanée qui a été organisée en mémoire du défunt. Ensuite, la délégation du ministre d’État s’est rendue à la résidence privée de feu Mohamed NONSOU où le Président de l’Alliance ABT a échangé avec la veuve et les enfants du défunt. Il leur a exprimé sa solidarité et sa compassion en ces moments difficiles. Une prière  a été organisé sur place, dans le salon de feu Nonsou, pour prier Allah d’apporter sa miséricorde sur la famille du défunt militant et veiller sur eux tous.

Poursuivant dans la série des hommages, la coordination de l’Alliance ABT a organisé dans la matinée de ce samedi 16 juin, une prière à son siège à Parakou.  En présence de son charismatique leader Abdoulaye BIO TCHANÉ, ministre d’État, les militants réunis  au siège de l’Alliance, ainsi que les camarades du défunt ont invoqué Allah. “Nous Unissons nos prières pour accompagner Mohamed dans la demeure céleste et qu’Allah accueille notre frère dans son paradis”, a expliqué le leader de l’Alliance, Bio TCHANÉ.

La famille de l’illustre disparu a pris part également a cette prière d’ intention et a saisi l’occasion, pour exprimer ses reconnaissances aux organisateurs. Les parents du défunt ont notamment salué la disponibilité, la démarche du Ministre d’État, ses gestes d’attention et  son soutien depuis le décès de leurs fils, feu Mohamed NONSOU.

Gérard AGOGNON

Le ministre d’Etat Bio Tchané, à l’ouverture de la 11ème conférence annuelle de l’ACA: « Le Bénin est disposé à faire du cajou, une filière performante »

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Adoulaye Bio Tchané lors de sa déclaration ACA

Golden Tulip le Diplomate Hôtel de Cotonou abrite depuis lundi dernier, la 11ème Conférence annuelle de l’Alliance Africaine du Cajou. Les travaux ont été officiellement lancés par le ministre d’Etat, en charge du développement, Abdoulaye Bio Tchané selon qui le Bénin reste disposé pour en faire une filière performante.

« Une nouvelle vision pour des partenariats et des investissements ». C’est le thème de la 11ème conférence annuelle de l’Alliance Africaine du Cajou qui se déroule depuis lundi au Golden Tulip le Diplomate Hôtel de Cotonou. Elle réunit près de 130 entreprises membres issues de près de 33 pays du monde entier, dont 16 pays africains, provenant de toute la chaine de valeur. La cérémonie officielle d’ouverture a été présidée par le ministre d’Etat en charge du développement, Abdoulaye Bio Tchané qui a affirmé que le Bénin sera honoré des résultats des travaux de cette conférence qui est d’une grande utilité pour l’ensemble des acteurs du secteur. Il a aussi rassuré de ce que le Bénin reste disposé à jouer sa partition pour faire du cajou, une filière importante. L’autorité ministérielle a aussi indiqué que le cajou figure en bonne place sur la liste des filières d’opportunité pour le développement socio-économique durable de toutes les nations africaines. Raison pour laquelle, cette filière, à en croire Bio Tchané, reste une priorité pour le Programme d’action du gouvernement.
En remerciant le Président Talon pour avoir autorisé et accompagner la tenue de ces assises, le président de l’Interprofession de la filière anacarde au Bénin, Aténi Atchadé, a rappelé ses avantages qui sont d’ordre écologique, socio-économique et financier.
Selon, Frorentino Nanque, le président de l’ACA, au cours de la conférence de cette année, une initiative clé consistera à élaborer et à examiner des stratégies adaptables aux exigences du secteur en évolution et de convenir d’une vision commune de l’industrie. Plusieurs personnalités telles que : l’Ambassadrice des Etats-Unis près le Bénin, le chargée des affaires à l’Ambassade d’Allemagne au Bénin, Madame Franziska Jebens, l’Ambassadrice du Ghana en Belgique et chef de mission auprès de l’Union Européenne, Novisi ABAIDOO ont également participé à l’ouverture des travaux.
« Une nouvelle vision pour l’industrie africaine du cajou », « Organisation du secteur-Partenariat pour de nouveaux investissements : le rôle du secteur public », « Investir dans la production de noix de cajou : facteurs clés pour le succès », « Informations de marchés : le marché de l’anacarde en 2017 et l’évaluation des ressources d’informations ». Ce sont entre autres communications qui seront présentées au cours de cette conférence annuelle de l’ACA dont les travaux s’achèvent demain jeudi.
Il faut rappeler que l’Alliance Africaine du Cajou a été créée en 2016 sous forme d’une association d’entreprises d’affaires africaine et internationales portant sur l’intérêts mutuel de la promotion d’un avantage concurrentiel mondial de l’industrie africaine du cajou. Elle a pour missions, la création d’une plateforme visant à accélérer la croissance et les investissements dans l’industrie africaine du cajou à travers les partenariats, le plaidoyer, l’appui technique et le réseautage mondial et vise une industrie africaine du cajou durable fournissant des produits compétitifs et à valeur ajoutée à l’échelle mondiale et garantit une rentabilité pour tous les acteurs. L’ACA vise aussi plusieurs objectifs tels que : faciliter le réseautage entre les membres et offrir des informations opportunes sur le secteur du cajou ; plaider pour l’amélioration du secteur et le partenariat ; faciliter les normes de salubrité des aliments ; augmenter le traitement en Afrique grâce à des services de promotion et de soutien technique en matière d’investissement.

Constance ODJO-FAVI (Stag.)