Préparatifs Championnat d’Afrique des nations de Bodybuilding ASSOUKABODY 2024 : Le comité d’organisation toujours en attente de soutien

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Le présidium lors de la conférence de presse

De quoi il s’agit : Du 14 au 17 novembre 2024, le Palais des Congrès de Cotonou sera aux couleurs du Championnat d’Afrique des nations de bodybuilding ASSOUKABODY. En effet, le Bénin, à travers la fédération béninoise de bodybuilding et fitness, a obtenu de NAC International, une organisation allemande qui s’occupe du développement du bodybuilding dans le monde tout comme la Fédération internationale de bodybuilding et fitness, le droit d’organiser cette compétition. À quelques jours de cet évènement international, le comité d’organisation a rencontré le jeudi 7 novembre 2024, au siège de la fédération, les hommes des médias. À cette occasion, des précisions importantes ont été données, notamment le nombre de pays participants, le niveau de mobilisation des ressources et de la mise en place de la logistique. « Ce championnat d’Afrique des Nations ASSOUKABODY Bénin 2024 est une occasion rêvée pour révéler notre pays, le Bénin, par le culturisme en français et le bodybuilding en anglais », a commencé le vice-président du comité d’organisation, Serge Amadou qui ajoute : « Plus de 2 000 personnes, spectateurs et supporteurs du Bénin et bien d’autres pays du continent et de l’Occident seront présents sur l’événement ».

Des délégations attendues : À ce championnat africain, 11 catégories dont 8 catégories des hommes et 3 des dames seront disputées. « Les 8 catégories qui concernent les hommes sont des catégories de juniors, classiques, bodybuilding, 17 ans à 27 ans, men physique 1m73 à 1m76, men physique 1m79 à 1m85, men classique de 1m71 à 1m75, men classique physique de 1m76 à 1m80 et plus sans oublier Body 3 (110kg à 115kg), Body 2 (20kg à 85kg) et Body 1 (90kg à 100kg et plus) », a précisé le président du comité d’organisation en même temps président de la fédération béninoise, Bienvenu Vodounou. À sa suite, le chargé de communication de l’instance, Etienne Yèmadjè a fait savoir que les délégations vont commencer par fouler le sol béninois à partir du 13 novembre. « Les dispositions sont déjà prises par rapport aux hôtels qui vont héberger les différentes délégations. Au plan sanitaire et sécuritaire, les dispositions ont été également prises », a rassuré Etienne Yèmadjè qui ajoute que la réunion technique aura lieu le 15 novembre 2024 et puis la compétition elle-même le samedi 16 novembre. Comme pays attendus, on a le Niger, le Burkina Faso, le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Nigéria, le Burkina Faso, le Togo et bien d’autres pays.

Appel pressant aux sponsors : Parlant des athlètes qui représenteront le pays, ils seront au nombre de 19 dont certains sont en préparation à l’extérieur du pays. Sur le plan des récompenses, le comité d’organisation va offrir aux cinq premiers de chaque catégorie, en dehors d’un trophée, d’une médaille et des lots en nature, des enveloppes financières allant de 1500 dollars à 300 dollars. « Pour ce qui concerne le super podium, c’est-à-dire les meilleurs de cette compétition qui vont se retrouver pour désigner le champion de cette première édition du championnat d’Afrique des Nations ASSOUKABODY 2024, le premier prix est une enveloppe financière de 2.000 dollars et une qualification pour le championnat international Mister Universal 2024 qui aura lieu en Allemagne », a déclaré Etienne Yèmadjè. Des récompenses qui nécessitent beaucoup de moyens. Et c’est d’ailleurs pour cela que Radegonde Adounkpè, responsable des Femmes au sein du comité exécutif de la fédération béninoise, implore les bonnes volontés de tous ceux qui peuvent aider à réussir l’organisation. « C’est une opportunité que la Fédération béninoise de bodybuilding et fitness offre aux annonceurs pour valoriser leurs produits et vendre l’image de leurs marques. Et donc, le championnat d’Afrique de bodybuilding et fitness vous donne une ouverture sur les opportunités nouvelles et pour projeter l’image de votre entreprise dans le monde, alors devenez partenaire et sponsor de cette compétition », invite-t-elle sans manquer de communiquer les numéros à contacter, à savoir le 40 63 95 95 et le 98 15 15 15. « C’est une aubaine à ne pas rater, surtout que les fêtes de fin d’année sont déjà proches. Alors, chers partenaires, profitez de notre événement, ce championnat international pour faire connaître vos produits et services », a-t-elle conclu, donnant rendez-vous à tous au palais des Congrès de Cotonou.

Anselme HOUENOUKPO

Éliminatoires de la CAN 2025 : Les Guépards sélectionnés par Gernot Rohr pour les 5e et 6e journées

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Le sélectionneur des Guépards, Gernot Rohr, a dévoilé la liste des 25 joueurs qu’il a retenus pour les confrontations entre le Bénin et le Nigeria d’une part et d’autre part, entre la Libye et le Bénin. Le constat, c’est qu’il n’y a pas grand changement sur ladite liste. Conscient que ces deux rencontres des 5e et 6e journées des éliminatoires CAN 2025 sont pratiquement des finales pour son équipe,le technicien Franco-allemand a préféré jouer la carte de la continuité. Mais, il a profité de l’occasion pour convoquer quatre joueurs qui n’étaient au dernier regroupement. Il s’agit du jeune Tamimou Ouorou, du gardien de but Serge Obassa, Lenny Peringuel et Ryan Adigo qui font leur retour. Toutefois, on note l’absence de Cédric Hountondji.

Voici la liste complète

Anselme HOUENOUKPO

Obsèques de l’ex-ministre: Un vibrant hommage à Me Gustave ANANI CASSA à Grand-Popo

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Décédé le 5 octobre 2024 à l’hôpital de zone d’Abomey-Calavi, Me Gustave ANANI CASSA a été enterré le samedi 26 octobre 2024 à Grand –Popo. Avocat de grande réputation et ancien ministre de la Justice, le décès de Me Gustave ANANI CASSA, le 5 octobre 2024, est une perte qui laisse un grand vide. Il a été inhumé le samedi 26 octobre 2024, à Grand-Popo. Ses obsèques ont été l’occasion pour la famille, les amis, les collègues, ainsi que de nombreuses personnalités, de rendre un hommage poignant à cet homme de conviction et de foi. Avant son enterrement à Grand-Popo, la cérémonie a débuté par une escale au domicile du défunt, à Fidjrossè. Là, ses collègues avocats, vêtus de leurs toges, se sont recueillis et ont salué la mémoire de leur confrère disparu. Le cortège s’est ensuite dirigé vers le village natal du défunt, Gbeffa-Agonninkanmey, où des membres de la famille, des proches et des amis ont rendu hommage à l’illustre disparu. À la place NONVITCHA, des discours ont été prononcés par le représentant des enfants de la famille, Hermann DJIVOEDO, le représentant de l’ONG Secret des Plantes, Boniface SEVOH et Paulin SOSSOU de l’Association NONVITCHA, à laquelle Me Gustave ANANI CASSA était particulièrement attaché. La messe d’enterrement, présidée par le père Félix HOUANDJA, à la paroisse Saint-Joseph de Grand-Popo, a réuni des parents, collègues avocats, membres du Conseil de l’Ordre, une délégation du ministère de la Justice, anciens et actuels collaborateurs, autorités politiques, administratives, ainsi que des amis et sympathisants. À l’issue de la messe, c’est Maître Robert DOSSOU, représentant la famille éplorée, qui a remercié tous ceux qui sont venus témoigner leur soutien à la famille. Il a évoqué l’affection dont jouissait Me ANANI CASSA de la part de tous ceux qui l’avaient côtoyé. Maître DOSSOU a souligné que “toutes les morts n’ont pas le même poids”, et que le départ de Me ANANI CASSA laisse un vide immense dans le cœur de tous ceux qui l’ont connu. Il a également rappelé les actes de charité et de générosité qui ont marqué la vie de l’ancien ministre, et invité les présents à s’inspirer de son exemple de dévouement et d’amour du prochain. L’ancien président de la Cour constitutionnelle a salué la vie de Me Gustave ANANI CASSA. Selon lui, son héritage et son action continueront de rayonner, non seulement dans la profession d’avocat.

Projet Corridor pour la revitalisation culturelle de Ouidah : La CCRI John Smith et l’ACCR signent un partenariat important

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Ce que vous devriez savoir : Offrir aux jeunes de Ouidah les moyens de développer leurs compétences et mettre en œuvre leurs projets professionnels, et développer les capacités logistiques du Centre culturel de rencontre international (CCRI) John Smith de Ouidah afin d’optimiser ses actions sur le territoire. Ce sont entre autres objectifs que se sont fixés les responsables du CCRI à travers le projet Corridor culturel dont le lancement officiel a eu lieu le mercredi 6 novembre 2024 à Ouidah. Conscients de la mission principale que le CCRI John Smith s’est assignée dans le développement culturel du Bénin et face aux demandes sans cesse croissantes de ses bénéficiaires, le Conseil d’administration et la direction du Centre, ont décidé de la création du Projet Corridor culturel dont la signature de la Convention de partenariat avec l’ACCR, s’est déroulée ce mercredi à Ouidah en présence des autorités en charge de la culture et des partenaires.

Ce qu’ils en disent : Au cours de la cérémonie de signature de ladite convention, le Directeur du centre, Janvier Nougloï, a souligné que le Ccri John Smith, premier Centre Culturel de Rencontre International d’Afrique subsaharienne, aspire à connecter, soutenir et former les acteurs culturels locaux, tout en élargissant leur audience et en offrant aux jeunes des occasions de rencontre avec les arts. Il s’emploie depuis son ouverture, le 15 juin 2021, à mettre en œuvre les directives de son conseil d’administration en parfaite harmonie avec les ambitions de l’État et de la municipalité de Ouidah » Il a ensuite précisé que : «trois ans après son ouverture, attirant plus de 2000 jeunes chaque année, ce qui ne représente qu’environ 2% des jeunes scolarisés de Ouidah, le centre peine à satisfaire les attentes croissantes de ses partenaires locaux, conséquence de ressources humaines et financières insuffisantes. L’espace actuellement dédié aux jeunes est devenu trop exigu. Nous avons besoin d’agrandir la bibliothèque et de créer de nouveaux espaces de coworking et de formation, afin de renforcer nos initiatives à destination de la jeunesse. … Ces enjeux justifient la naissance du projet dénommé CORRIDOR ». Un projet qui va faciliter, selon le président du conseil d’administration du centre, le maire de Ouidah Christian Houétchénou, l’accès à la culture et renforcer son offre culturelle. « CORRIDOR permettra de transformer Ouidah en un véritable pôle artistique et culturel, accessible à tous, et en particulier aux jeunes de notre ville. Ce projet a pour ambition de répondre aux besoins pressants de notre population, souvent éloignée des ressources culturelles et des opportunités de formation. Il ne se limite pas seulement à l’enrichissement de notre paysage culturel ; il vise également à soutenir l’émancipation des jeunes issus de familles défavorisées. En offrant des formations en matière d’outils numériques, de compétences artistiques et de développement personnel, nous préparons une nouvelle génération d’artistes et de citoyens engagés, capables de faire entendre leur voix sur les scènes nationale et internationale », a indiqué le PCA avant d’exprimer sa gratitude envers tous les partenaires impliqués à savoir l’Agence française de développement, le Ministère du Tourisme de la Culture et des Arts, l’Association des Centres Culturels de Rencontre, l’Association Internationale des Maire francophones, l’Association les Amis du CCRI ainsi qu’envers les équipes du CCRI, qui se sont engagées à faire de cette vision une réalité. Représentant le ministre Jean Michel Abimbola, le directeur de cabinet du ministère du tourisme, de la culture et des arts, Eric Totah a informé que le projet CCRI CORRIDOR constitue une initiative que le Ministère du tourisme, de la culture et des arts encourage et soutient fortement. C’est alors qu’il a salué l’engagement de tous les partenaires, qu’il pense être « essentiel pour faire de ce projet un véritable tremplin pour aider à transformer Ouidah en un centre culturel vivant et accueillant, où la créativité pourra s’épanouir et où chacun aura accès à l’art ».

Entre les lignes : Pour la concrétisation de ce projet, un partenariat entre le CCRI John Smith et l’ACCR a été noué. Membre de l’Association des centres culturels des rencontres (ACCR), le CCRI et son partenaire ont paraphé officiellement une convention qui précise le rôle de chaque partie. « Avec CORRIDOR CULTUREL, I’ACCR soutient directement sur le terrain la consolidation du CCRI John Smith et de ces programmes afin de renforcer son rôle de catalyseur de développement et insertion sociale et de tremplin professionnel pour les artistes béninois et de l’Afrique subsaharienne », a fait savoir la Directrice Déléguée de l’ACCR, Odile Pradem-Faure. Selon elle, les objectifs spécifiques du projet sont d’offrir aux jeunes de Ouidah les moyens de développer leurs compétences et d’en acquérir de nouvelles notamment dans la maîtrise des outils numériques ; de soutenir les jeunes artistes du Bénin et d’Afrique subsaharienne dans le développement de leurs projets professionnels en leur offrant des résidences de travail, un accompagnement professionnel et une meilleure visibilité ; de développer les capacités logistiques et de mise en œuvre des actions du CCRI sur le territoire, et développer les compétences de son équipe, dans un souci de rendre l’association autonome à l’issue de cette phase. L’ACCR assure, en coopération étroite avec le CCRI : le montage du projet, la coordination financière et administrative, le conseil technique et, pour ce qui concerne les réhabilitations d’infrastructure, en lien avec l’AIMF, la validation et le contrôle des opérations menées. Elle associe le CCRI aux activités de son réseau : mise en relation, communication, facilitation de circulation de l’information, invitation aux réunions professionnelles, mise en relation avec les artistes et professionnels de la culture. Elle accueille régulièrement au sein de son équipe à Paris le Directeur du CCRI, l’administrateur et/ou l’administrateur-adjoint chargé du suivi du dossier CORRIDOR et accompagnera le programme de développement des compétences.

Anselme HOUENOUKPO

Reddition de comptes à l’Assemblée nationale: Les députés valident le 4è rapport d’activités de Vlavonou

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Les députés de la neuvième législature ont adopté ce jeudi 7 novembre 2024 au palais des gouverneurs à Porto-Novo, le quatrième rapport d’activités du Président de l’Assemblée nationale qui couvre la période du 1er Avril au 30 Septembre 2024. C’est par un vote de 81voix pour et 28 contre du groupe parlementaire ‘’les Démocrates’’ que ce rapport a été adopté à la lumière des dispositions de l’article 21 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

Fidèle KENOU

Pour une quatrième fois, le Président de l’Assemblée nationale, Louis Gbèhounou Vlavonou sacrifie à la tradition de présentation du rapport d’activités sous la neuvième législature. Le document présenté par le premier des députés béninois s’articule autour de quatre axes à savoir : les activités menées au plan interne, les activités menées au plan externe, les activités menées par le cabinet du Président, les difficultés rencontrées et enfin les perspectives.

Sur la période du 1er avril au 30 septembre 2024, le bureau de l’Assemblée nationale que dirige le Président Louis Gbèhounou Vlavonou a tenu quatre réunions avec un taux de participation qui s’élève à 82,94% par réunion. Pour ce qui est de la conférence des Présidents, elle s’est réunie aussi quatre fois avec un taux de participation de 80% par réunion.

Au total, les représentants du peuple se sont réunis en séance plénière 19 fois sur la période du 1er Avril au 30 Septembre 2024. Il s’agit notamment des 15 séances tenues en session ordinaire et des 04 en session extraordinaire. Pendant ces 19 séances plénières, une loi organique, 12 lois ordinaires et 06 lois portant autorisation de ratification ou d’adhésion ont été examinées par les députés. Aussi, 16 décrets portant ratification de différentes conventions de financement ont-ils été examinés par les députés au cours de la période allant du 1er avril au 30 septembre 2024. Le 12 septembre 2024, les députés ont aussi adopté le budget de l’Assemblée nationale, gestion 2025.

Contrôle de l’action gouvernementale

Pour ce qui concerne le contrôle de l’action gouvernementale, on retient que les députés ont mis le paquet sous le leadership éclairé du Président Louis Gbèhounou Vlavonou. Ainsi, ont-ils examiné 02 questions d’actualité et 08 questions orales avec débat. Pour ces différentes questions, le gouvernement a, par l’intermédiaire des ministres concernés répondu à l’appel des députés.

Activités au plan externe et au niveau du cabinet

Les visites d’amitié et de travail, la participation des députés aux rencontres statutaires, la participation des députés aux rencontres virtuelles et les missions à l’extérieur ont constitué le gros lot des activités menées par l’Assemblée au plan externe du 1er avril au 30 septembre 2024.

Pour ce qui concerne les activités du cabinet du Président de l’Assemblée, elles sont essentiellement faites des audiences, des activités du groupe de sécurité de l’Assemblée nationale, des activités de la cellule de communication, des activités de la cellule juridique et des activités de la cellule du contrôle d’audit interne. Ceci, sous la supervision du Président Louis Gbèhounou Vlavonou.

Au nombre des difficultés énumérées par le Président Louis Gbèhounou Vlavonou, on peut citer l’insuffisance des locaux et le manque des outils de travail. Plusieurs services sont en effet confrontés à un manque de mobilier, d’équipements de bureau, de matériels informatiques et autres. Outre le personnel administratif, le Président de l’Assemblée nationale lui-même déplore l’exiguïté de son bureau. Ces difficultés, notamment celles liées au manque de locaux ne pourront trouver de solutions que lorsque l’Assemblée va déménager dans son nouveau bâtiment dont les travaux de construction ont connu un coup d’accélérateur. C’est du moins ce qu’a dit le Président Louis Gbèhounou Vlavonou à ses collègues députés.

En termes de perspectives, la volonté du Président Louis Gbèhounou Vlavonou de faire du Parlement béninois un Parlement moderne demeure. Elle prend en compte l’évaluation des réformes engagées, l’amélioration du processus législatif et aussi la régularité du contrôle de l’action du gouvernement.

Les  Démocrates rejettent le rapport

Contrairement à leurs collègues de la majorité parlementaire qui ont tous voté pour le rapport d’activités, les députés de l’opposition parlementaire ‘’Les Démocrates’’ ont voté à l’unanimité contre. Le Président Éric HOUNDETE et ses  pairs de la minorité parlementaire ont brandi diverses raisons pour soutenir leur rejet du rapport d’activités. Au cours du débat général comme lors de explication du vote, ils  ont dénoncé une gestion déséquilibrée des missions à l’intérieur comme à l’extérieur du pays; le faible taux d’exécution des questions d’actualité; le gèle des activités parlementaire au profit de la tournée gouvernementale; l’absence de transparence surtout la non prise en compte des points de vue de la minorité et les raisons qui sous-tendent la coupure de la retransmission des débats parlementaires à la radio et à la télévision hémicycle,

Conseil des ministres : Voici le compte-rendu de ce mercredi 06 novembre 2024

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Le Conseil des Ministres s’est réuni ce mercredi 6 novembre 2024, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République. Les décisions ci-après ont été prises:

I- Mesures normatives.

Ont été adoptés au titre de ces mesures, divers décrets d’application de textes de lois en vue de favoriser leur pleine mise en œuvre.

Ainsi, s’agissant de la loi n° 2020-37 du 03 février 2021 portant protection de la santé des personnes en République du Bénin, telle que modifiée par la loi n° 2022-17 du 19 octobre 2022, sont adoptés les décrets fixant les :

  • modalités de contrôle sanitaire aux frontières;
  • modalités et conditions de déclaration, par les maires, des évènements susceptibles de constituer une menace pour la santé des populations;
  • conditions d’ouverture d’une piscine, d’une baignade artificielle ou d’aménagement d’une baignade à usage collectif; ainsi que ceux portant:
  • modalités de mise en œuvre de la vaccination obligatoire ; modalités de constatation du décès des personnes;
  • modalités d’installation et d’exploitation des centres d’explorations diagnostiques et thérapeutiques;
  • modalités de protection, par l’État, du praticien médical ou paramédical.

En ce qui concerne la loi n° 2021-03 du 1er février 2021 portant organisation des activités pharmaceutiques en République du Bénin, neuf décrets ont été adoptés. Il s’agit des décrets fixant les :

  • conditions de création et d’exploitation des officines de pharmacie ;
  • conditions et modalités d’ouverture et d’exploitation des établissements de représentation pharmaceutique et les règles relatives à la publicité sur les médicaments et autres produits de santé et à la promotion médicale;

de même que ceux portant:

  • conditions d’installation, d’ouverture et d’exploitation des industries pharmaceutiques;
  • conditions d’installation, d’ouverture et d’exploitation des industries de fabrication des produits de santé autres que le médicament; conditions d’importation, d’exportation et de distribution en gros ou en détail des produits de santé autres que le médicament;
  • conditions d’installation, d’ouverture et d’exploitation des établissements grossistes-répartiteurs pharmaceutiques et d’exercice de l’activité de dépositaire pharmaceutique ;
  • modalités d’homologation des dispositifs médicaux;
  • modalités d’homologation des compléments nutritionnels, des aliments destinés aux nourrissons et aux enfants en bas âge et des produits diététiques et de régime;
  • adoption des lignes directrices et procédure d’autorisation et de supervision des essais cliniques.

Communications

II-1. Contractualisation pour l’étude de faisabilité technique, environnementale et sociale en vue de la création de deux zones de baignade respectivement à Fidjrossè (Cotonou) et à Avloh (Grand-Popo) sur la côte béninoise

Depuis 2016, le Gouvernement a engagé d’importants investissements pour valoriser le potentiel touristique remarquable de la façade maritime de notre pays, par divers projets structurants. Ceux-ci participent, par ailleurs de la protection de la côte, limitant ainsi les risques de sa dégradation.

Pour conforter cette dynamique en cours, il s’est avéré pertinent de créer deux zones de baignade à Fidjrossè et à Avloh, dans les communes de Cotonou et de Grand-Popo, afin d’offrir à terme au public la sécurité et les commodités requises en la matière.

Aussi, urge-t-il que les études techniques, environnementales et sociales soient réalisées, de façon à faire intégrer harmonieusement ces ouvrages aux projets touristiques et balnéaires qui sont dans une phase de conception relativement avancée sur la côte, notamment les projets du Club Med.

Le Conseil a donc marqué son accord pour la réalisation de ces études par un cabinet de grande réputation, à charge pour les ministres concernés d’accomplir les diligences y relatives.

II-2. Rappel de l’interdiction des affichages publicitaires anarchiques dans les communes du Grand Nokoué

Dans le cadre de l’assainissement et de l’embellissement de nos villes, au soutien des aménagements majeurs réalisés ou en cours, il a été adopté le décret n° 2023-453 du 13 septembre 2023 portant réglementation de l’affichage publicitaire dans les communes du Grand Nokoué.

Il interdit, en son article 2, les affichages publicitaires sur les monuments naturels, les mâts de lampadaires servant à l’éclairage public, les poteaux électriques et de télécommunication, les équipements publics concernant la circulation routière, maritime, fluviale ou aérienne, tous autres supports non agréés.

Par la suite, un communiqué du ministre chargé du Cadre de Vie, a rappelé ces interdictions et accordé un moratoire aux auteurs concernés afin qu’ils s’y conforment. Mais, force est de constater que passé le délai fixé, lesdits affichages se poursuivent, au mépris de la règlementation en vigueur.

Le Conseil invite instamment ceux-ci à les démanteler sous huitaine faute de quoi, les services compétents de l’Etat appliqueront les mesures répressives appropriées.

III- Rencontres et manifestations internationales

Sous ce chapitre, il a été autorisé l’organisation:

  • de la cérémonie de lancement officiel de la commercialisation du coton graine au titre de la campagne 2024-2025, le 14 novembre 2024 à Sinendé;
  • la tenue au Bénin, de la 43ème session ordinaire du Conseil des Ministres de l’Autorité du Bassin du Niger, le 22 novembre 2024; ainsi que
  • de l’atelier régional de validation de l’étude portant sur l’analyse des sources innovantes de financement des collectivités territoriales en Afrique de l’Ouest, du 26 au 27 novembre 2024 à Cotonou.
  •  

Il a été, par ailleurs, autorisé la participation de notre pays à la 16ème Conférence des parties (COP 16) à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification et la sécheresse, à Riyad en Arabie Saoudite, du 2 au 13 décembre 2024.

Fait à Cotonou le 6 novembre 2024

Assises de la jeunesse de la Cedeao: Les attentes socio-économiques et politiques des jeunes en débat

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La Cedeao veut redynamiser son engagement envers sa jeunesse. A cet effet, elle a initié des rencontres avec cette catégorie de citoyens de ses pays membres. Celle prévue pour être organisée au Bénin a été lancée, le lundi 4 novembre 2024, au Palais des Congrès de Cotonou. Pilotée par le Laboratoired’analyse régionale et d’expertise sociale (Lares), cette rencontre a permis aux jeunes venus nombreux pour y prendre part de faire connaitre leurs besoins, leurs attentes tant sur le plan socio-économique que sur le plan politique ainsi que les problèmes qui minent leur devenir. C’est lors des échanges qui ont eu lieu pendant les deux jours qu’ont duré ces assises. Au lancement des travaux, le directeur du Laboratoire d’analyse régionale et d’expertise sociale (Lares) chargé de l’organisation de ces assises, le professeur Alex Servais Affouda, a indiqué que ces assises organisées par la Cedeao s’inscrivent dans la dynamique de l’institution qui ambitionne une nouvelle vision sur la jeunesse. « Elleréunit toutes les catégories de jeunes de 15 à 35 ans et particulièrement les personnes handicapées qui, à tort ou à raison, ne sont pas véritablement insérées dans le tissu social et économique », a fait savoir le professeur qui insiste que ces deux jours d’assises permettront de faire un vrai diagnostic du mal qui ronge les jeunes. « Car les perspectives et les attentes des jeunes, notamment sur les défis socio-économiques et politiques, y seront recueillies et analysées », a-t-il souligné avant d’ajouter : « Ces attentes des jeunes seront ensuite présentées aux autorités béninoises et celles de la Cedeao en vue de leur considération dans la prise de décision concernant la jeunesse ». Pour sa part, le représentant résident de la Cedeao au Bénin, Amadou Diongué, a précisé qu’« il ne s’agit pas à travers ces assises de venir dire ce que nous pensons de votre présent et de votre futur, c’est à vous de le dire.

À un certain âge, on se dit que le monde est le rêve de demain, mais nous ne rêvons pas pour nous, mais pour ceux qui sont plus jeunes que nous. Et ce rêve ne doit pas être imposé, il doit être négocié parce qu’il faut écouter », a-t-il lancé à l’endroit des jeunes.

Cette initiative à travers laquelle la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest met à la disposition des jeunes des pays membres des espaces d’écoute pour comprendre éventuellement les malaises et savoir ce qu’ils ressentent et afin de se projeter sur l’avenir, ce à quoi ils aspirent, est saluée par les participants. À retenir qu’après cette rencontre, une phase de synthèse est prévue pour se tenir courant décembre prochain. Cette phase sera suivie des assises régionales au cours du premier trimestre de l’année 2025.

L’he David Camille Biokou, membre de l’UP-R: « Après 2026, le pouvoir restera dans les mains de la majorité »

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Qu’est-ce qui est important : L’ex-député de la 8ème législature, David Camille Biokou était l’invité de l’émission ‘’TOUR D’HORIZON’’ de BL TV, au cours de laquelle, il s’est prononcé sur plusieurs sujets d’actualité, notamment l’après Talon, le coup d’Etat déjoué, la sortie de l’ancien président de la Cour suprême, Ousmane Batoko et le leadership de Djogbénou à la tête de l’UPR. Il a fait savoir que le Bénin avait la chance d’avoir Patrice Talon, comme président et qu’il faillait lui donner l’opportunité de continuer ses actions au profit de tous les béninois. « Après 2026, le pouvoir restera dans les mains de la majorité parce qu’il y a un travail qui se fait. Nous sommes en train de faire un travail méthodique. Le peuple béninois est mûr aujourd’hui et saura faire la part des choses. Nous ne sommes pas un pays pétrolier et voyez ce que nous avons pu faire en 9ans. C’est peut-être la minorité télécommandée qui parle, mais soyez rassurés, nous allons  légalement sans tricher avec un travail soutenu sur le terrain, reprendre le pouvoir ». C’est en ces termes que l’he David Camille Biokou s’est exprimé sur la position de la mouvance présidentielle à propos de l’après Talon. A l’en croire, la mouvance présidentielle à laquelle, il appartient entend « garder et continuer avec le pouvoir dans la légalité et la transparence ».

Quid du leadership de Djogbénou : Même si ces derniers jours, il y a des remous au sein de son parti UP le Renouveau, il a rassuré que le président du parti Joseph Djogbénou tient le monopole et tout se passe bien. « Nous avons de petits problèmes de leadership. Le président Djogbénou est arrivé à une bonne période mais il n’a pas fait, autour de lui, un toilettage parce que des gens se croyaient très forts. Il a continué avec ces gens qui se font progressivement connaitre de façon négative. Il aurait anticipé et écouté les leaders de chaque région », a-t-il dit. Par ailleurs, il l’a apprécié. « C’est un homme bien, il n’a pas de réserve. Il est franc », fait-il savoir.

S’agissant du coup d’Etat : Dans son intervention, David Camille Biokou a regretté ce qui s’est passé au sujet de la tentative de coup d’Etat. Pour lui, Olivier Boko est très respecté. Ce qui fait qu’il ne conçoit pas qu’il soit impliqué dans de telle situation. « J’ai tourné dans tous les sens cette actualité. Si je n’avais pas écouté le procureur spécial, je n’allais pas croire. Olivier Boko n’a pas été fidèle. Il n’a pas respecté », regrette-t-il. L’invité du BL TV a démenti le fait que Talon serait l’instigateur des mouvements qui soutiennent Boko. Pour lui, Talon avait dit qu’il ne se retrouve pas dans ces mouvements. D’ailleurs, Johannes Dagnon, Wadagni ont réagi et ont pris toutes les précautions pour arrêter les acteurs. Ce que Olivier Boko n’aurait pas fait.  « Talon n’abandonne pas ses amis quand il fait confiance, c’est qu’il a fait confiance. Je ne comprends pas quelle mouche a piqué son ami à avoir cette réaction. C’est incompréhensible. Je prie Dieu que les enquêtes aillent au bout parce que les béninois ne croient pas. Vous pensez qu’un président peut faire un montage de ce genre ? Il s’est fait perdre par les hommes de Dieu. Je suis sûr qu’il est tombé dans ce piège », a-t-il expliqué. David Camille Biokou dit n’avoir pas compris l’intention de Olivier Boko et de ses soutiens. « Je vois que c’est une grosse erreur et les hommes de Dieu sont derrière cela » s’étonne-t-il.

Critique de l’ex-président Ousmane Batoko : Pour l’he David Camille Biokou, le président Batoko aurait tiré dans l’eau. « Après cette intervention, il a perdu de plumes. C’est comme Robert Dossou, ce n’est pas des gens qui peuvent sortir comme ça. Pour voir Talon, est-ce qu’il a besoin de parler sur une chaîne. Ça a laissé une mauvaise image de sa personne. Ça veut dire que le pays n’a plus de fétiche », a-t-il déploré avant de suggérer que « ces icônes du pays créent une faîtière ». Suivant ses propos « le président Batoko a fait une sortie ratée. Talon ne dira rien. Aucun discours, vous n’entendrez rien. Talon a du respect pour ses aînés. C’est dommage aussi pour le président Yayi, son activisme. Vous voyez Soglo. Il dit quand c’est bon, c’est bon », a noté l’invité de l’émission. En outre, il a salué les actions du Chef de l’Etat en faveur de la jeunesse. « Talon est en train de faire tout pour la jeunesse. Ces réformes qui se font aujourd’hui, c’est pour cette jeunesse. L’enfant de pauvre ou de riche dans le même panier. Il y a plus de jeunes autour de lui. Nous avons la chance d’avoir ce président durant ces 10ans, normalement si nous étions dans un pays où nous nous aimons, on devait ensemble lui dire ; pardon continue. Il faut lui donner la chance de continuer pour que nous en profitions tous », a-t-il laissé entendre.

Prof Théodore Holo sur l’affaire qualifiée de ‘’coup d’Etat déjoué’’: « Il y a peut-être atteinte à la sureté de l’Etat »

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« Juridiquement on ne peut pas dire qu’il y a coup d’Etat parce que les personnes citées n’ont aucune fonction qui leur servirait de fondement pour violer l’ordre constitutionnel ». C’est ce qu’a déclaré le Professeur Théodore Holo interrogé sur l’affaire qualifiée de ‘’coup d’Etat déjoué’’ impliquant l’ex-ministre Oswald Homéky et Olivier Boko. Selon ses explications, le coup d’Etat suppose la conquête du pouvoir par une autorité instituée en violation de l’ordre constitutionnel. « Quand c’est militaire, ça veut dire que c’est le Chef d’Etat-major ou le commandant d’une entité de l’armée. Quand vous prenez un président qui a prêté serment sur une constitution qui dit que son mandat est limité à deux. Il modifie la constitution pour avoir un troisième mandat, il viole également la constitution pour aller conquérir le pouvoir. Donc, il y a coup d’Etat militaire et civil », a-t-il expiqué. De son point de vue, il y a peut-être « menace sur la sécurité de l’Etat, atteinte à la sureté de l’Etat, volonté de rompre l’ordre constitutionnel, mais juridiquement on ne peut pas dire qu’il y a coup d’Etat ». Profitant de cette occasion, l’ancien président de la Cour constitutionnelle a précisé qu’il faut arriver au pouvoir par les urnes. « Le pouvoir ne peut pas être au bout du fusil ou le résultat de la violence »,  a-t-il ajouté.

Assemblée nationale: Les députés s’imprègnent du contenu du Projet de loi de finances, gestion 2025

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 Le Palais des Gouverneurs à Porto-Novo a abrité ce mardi 05 novembre un atelier d’imprégnation et d’appropriation du contenu du Projet de loi de finances, gestion 2025 grâce à l’appui financier du PNUD via le PARCPOGE. Il a été organisé par l’Unité d’analyse, de contrôle et d’évaluation du budget de l’Etat (UNACEB)  

         A l’ouverture des travaux, l’he Gérard GBÉNONCHI, président de la Commission des finances et des échanges a exprimé sa profonde gratitude au Président de l’Assemblée nationale, Louis Gbèhounou VLAVONOU, pour avoir autorisé la tenue de cet atelier. « Votre leadership et votre engagement continu à renforcer la qualité des travaux parlementaires témoignent de votre détermination à soutenir un processus législatif éclairé et rigoureux » a-t-il dit, saluant aussi le rôle central joué par l’Unité d’Analyse, de Contrôle et d’Évaluation du Budget de l’État (UNACEB) dans l’organisation de cet événement. Il a également exprimé toute sa reconnaissance au Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) pour son appui financier, à travers le Projet d’Appui au Renforcement des Capacités du Parlement et des Organes chargés de la Gestion des Élections (PARCPOGE). 《Cet atelier est une étape cruciale qui nous permettra de nous approprier pleinement le contenu du projet de loi de finances, gestion 2025. L’objectif est de renforcer notre capacité d’analyse et notre aptitude à faire des choix judicieux pour le bien-être de nos concitoyens. Le budget de l’État est, en effet, l’expression la plus concrète des priorités nationales et des ambitions de développement que nous portons pour le Bénin. C’est un instrument de planification stratégique et un levier de mise en œuvre des politiques publiques qui doivent répondre aux attentes et aux besoins de la population. » a laissé entendre Gérard GBNONCHI. « Notre mission, au sein de l’Assemblée nationale, consiste à examiner de manière approfondie ce projet de loi afin d’assurer sa conformité aux principes de transparence, d’efficacité et d’équité. C’est en maîtrisant le contenu et en analysant les implications des choix budgétaires que nous serons à même de formuler des recommandations éclairées et de prendre des décisions qui renforcent notre trajectoire de croissance et de prospérité » a-t-il souligné par ailleurs.

Le projet de budget 2025 soumis au Parlement s’établit à 3.551.005 milliards de FCFA, donc en hausse de 11% par rapport à 2024. Cet atelier d’imprégnation et d’appropriation vise à mettre à la disposition des députés les éléments d’analyse du projet de loi de finances, gestion 2025 qui leur permettront de mieux contribuer aux débats budgétaires en commission et en plénière. De façon spécifique, il vise à renforcer les capacités des députés pour une meilleure compréhension des documents de programmation budgétaire pluriannuelle ;accroitre les connaissances des députés en finances publiques et surtout les questions relatives aux financements des secteurs sociaux ; attirer l’attention des députés sur les enjeux économiques et sociopolitiques contenus dans le projet de loi de finances, gestion 2025 ; améliorer le niveau de connaissance des députés en matière de lecture et d’examen du projet de loi de finances, gestion 2025.  Huit (08) communications étaient au menu de cet atelier. A savoir : 《 Analyse et appréciation du point d’exécution du budget, gestion 2024. 》;  《 Cadrage macro-économique et orientations du projet de loi de finances, gestion 2025.》;  《 Analyse et appréciation des prévisions budgétaires contenues dans le projet de loi de finances, gestion 2O25.》;   《Analyse des prévisions des dépenses de projet de loi de finances, gestion 2025 dans l’optique de la budgétisation sensible au genre》;  《 Analyse des prévisions des dépenses de projet de loi de finances, gestion 2024 dans l’optique de la budgétisation sensible aux droits des enfants.》;  《 Identification, analyse et appréciation des mesures fiscales contenues dans le projet de loi de finances, gestion 2025.》 ;《 Identification, analyse et appréciation des mesures douanières contenues dans le projet de loi de finances, gestion 2025.》et enfin la huitième communication :《 Stratégie annuelle d’endettement de l’Etat pour le compte de la gestion 2025.》