Archives de catégorie : Société

3e édition de ‘‘La fête de Noël aux enfants de Togba’’: Les leaders BR font des joyeux dans les 11 villages de l’arrondissement

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La remise symbolique des gadgets à une fillette par les Conseillers Dèclounon et Adonon

«Nul ne doit être heureux tout seul». Cette assertion, les leaders du parti Bloc Républicain (BR) de l’arrondissement de Togba l’ont bien compris. C’est pourquoi, dans un même élan, ils ont fait tenir la 3e édition de leur initiative “La fête de Noël aux enfants de Togba”. En effet, ces responsables avec l’appui du maire honoraire d’Abomey-Calavi, Patrice Hounsou Guèdè et autres ont organisé cette cérémonie, le mardi 24 décembre 2024. Pour cette édition, c’est au quartier Fifonsi village de Houèto qu’ils ont convié les enfants de tous les villages de l’arrondissement. Au total 300 enfants ont été gratifiés pour l’occasion.  Et ce sont les conseillers Marcellin Dèclounon et Brice Adonon qui ont présidé cette séance destinée à hisser encore plus le parti BR dans les cœurs des habitants de Togba. A l’entame, c’est le jeune leader BR, Président du comité d’Organisation, Arsène Chicohossou, qui a ouvert le bal des allocutions. Après avoir présenté le contexte de la tenue de cette opération marquée par des prestations artistiques, il a été succédé par la représentante des femmes, Olive Ahodi, le CQ de Houèto, Paul Wadé, le représentant de Togba 3, Nestor Mignawadé, et les Conseillers municipaux Marcellin Dèclounon et Brice Adonon. Selon eux, cette opération de distribution de 300 jouets qui est à sa 3e édition, témoigne de l’engagement du Bloc Républicain (BR) en faveur du bien-être des populations. Très joyeux, les bénéficiaires satisfaits ont remercié en chœur les leaders BR apparus à eux en père noël.

Ils ont dit

Marcellin Dèclounon, 1er Conseiller municipal de Togba: « Nous sommes en train de planter des arbres »

« Chers responsables du Bloc Républicain de Togba. Je passe par ce canal pour vous dire merci d’avoir pensé à l’avenir à travers nos enfants puisque nous ne sommes pas éternels sur cette terre. Et ce que nous faisons aujourd’hui, c’est comme si nous sommes en train de planter des arbres qui vont donner de fruits demain et ces fruits serviront au développement de notre localité. C’est pourquoi je suis très content de la réussite de cet évènement. Nous avons l’habitude de le réaliser. Mais cette fois-ci, c’est un peu spécial. J’ai vu nos enfants en joie. C’est qu’ils sont satisfaits de nous leurs parents et je compte sur eux pour la pérennité de cette idée que nous avons émise. Au nom   des responsables hiérarchique du parti, je dis félicitations aux enfants et merci au comité d’organisation. Cette réussite de l’organisation est à l’actif de notre parti. Chers enfants, je vous prie de transmettre à papa et à maman que ces cadeaux sont le partage de la prospérité avec vous. C’est pour vous faire comprendre que celui qui a, doit partager avec celui qui n’a pas. Et qu’au moment opportun, ils veuillent partager avec le parti. »

Henri Soglo, membre de la BR Togba: « nous avons constaté cette joie-là sur le visage des enfants »

« Nous sommes à la veille de la fête de Noël et nous qui sommes parents, devons partager cette joie avec nos enfants. Parce que ce moment est spécial pour eux. C’est ce qui nous a motivé à décider d’offrir de cadeaux aux enfants de nos différents villages. Je voudrais remercier les camarades BR qui ont soutenu cet événement qui permet à nos enfants qui, par la faute de leurs parents, n’ont pas pu vraiment avoir la joie, d’être heureux. Et nous avons constaté cette joie-là sur le visage des enfants. Nous sommes à notre troisième édition et comme vous le savez, chaque année, nous essayons de faire mieux. Après cette édition, nous allons rééditer l’année prochaine de sorte à permettre au Bloc Républicain de s’enraciner correctement dans Togba. Aujourd’hui, ils sont 300 enfants à bénéficier de ces cadeaux. Ces enfants proviennent 11 villages de compte notre arrondissement. On ne dira pas que c’est beaucoup, mais ce n’est pas rien. Et je voudrais saluer les SE de chaque village pour la mobilisation. Je voudrais également saluer le comité d’organisation qui a su coordonner les choses pour que la cérémonie puisse bien se dérouler Ce n’est pas facile de réunir 300 enfants et que tout se passe comme nous l’avons vu ».

Brice Adonon, 2e Conseiller municipal: «Donner la joie aux enfants est devenu une obligation pour nous »

« Ça a toujours été un plaisir de partager des cadeaux aux enfants, pour une raison, parce que nul n’a le droit d’être heureux tout seul. Et nous avons constaté qu’à Togba, il y a beaucoup d’enfants qui passent la fête de noël sans avoir de cadeaux ou qui manquent de vivre ce plaisir d’avoir un jouet pour s’amuser avec pendant cette période festive. C’est pour ça que le Bloc Républicain de Togba et tous les dirigeants du Bloc Républicain ont pris l’initiative de rendre heureux les enfants dans cette période. Au terme de cette cérémonie de remise, je peux vous dire que notre objectif de cette année est atteint. Après cette édition, on aura certainement la quatrième édition, parce que ce n’est pas de notre volonté, c’est devenu une obligation pour nous. Nous allons le faire jusqu’à ce que les enfants aussi grandissent et prennent la relève. Nous avons profité de cette remise pour rappeler aux enfants qu’ils doivent respecter les ainés, respecter papas et mamans, être sages, studieux et travailler à l’école, puisque nous ne serons pas là indéfiniment. Nous sommes peut-être des autorités communales aujourd’hui, mais il faut aussi la relève pour faire ce que nous sommes en train de faire. C’est pour ça que nous demandons aux parents aussi de soutenir le Bloc républicain pour que le parti puisse grandir et aller de l’avant. »

Arsène Chicohossou, porte-parole du comité d’organisation: « Cette activité au-delà des 300 enfants permet à plusieurs familles de connaitre la joie de noël »

« Par ma voix, le comité d’organisation de cette cérémonie de remise de cadeaux dans le cadre de notre activité annuelle ‘‘La noël aux enfants’’, souhaite à tous la bienvenue. Il voudrait saluer la clairvoyance de la coordination du Bloc Républicain Togba pour avoir pris cette initiative depuis 3 ans. A travers celle-ci, elle permet à 300 enfants et à travers eux, plusieurs familles de connaitre la joie de noël. Soyez-en remercier. Et je voudrais profiter de cette tribune pour dire mes sincères félicitations aux membres du comité d’organisation de cette fête qui ont prouvé une fois encore leur dynamisme. En effet, ‘‘La noël aux enfants’’, organisée par la coordination BR TOGBA, est une activité de prise de connaissance entre les enfants, les parents, les cellules de base de chaque village administratif et la coordination du BR TOGBA pour l’enracinement du parti dans l’arrondissement de TOGBA. Cette activité se faisait individuellement dans certains villages mais depuis près de trois ans la coordination a décidé de réunir tous ces acteurs pour en faire une seule activité. A cette troisième édition, le comité d’organisation par ma voix souhaite à tous ceux qui sont présents en ce lieu une bonne fête de Noël. Vive le Bénin, vive la commune d’Abomey-Calavi, vive l’arrondissement de TOGBA. Bloc républicain. Plus unis, plus fort pour construire le Bénin. »

Anselme HOUENOUKPO

TD gratuit pour les candidats au BEPC et BAC: Amadou Moukaila finance la réussite scolaire de 4 CEG dans les Collines

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Dans un élan de détermination et d’engagement pour l’éducation, Moukaïla Amadou, professionnel du Développement, a organisé une tournée le vendredi 20 décembre 2024 dans les arrondissements de Kilibo et d’Ikemon. Cette initiative vise à soutenir les élèves en classe d’examens et à maintenir les performances exceptionnelles observées lors des examens de l’année scolaire précédente.

Au cours de cette tournée, Moukaïla Amadou a remis une enveloppe de 1 million 500 mille francs CFA aux directeurs des Collèges d’Enseignement Général (CEG) des deux arrondissements. Ce financement est destiné à organiser des travaux dirigés pour les élèves préparant le Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC) et le baccalauréat. Moukaïla Amadou a exprimé sa satisfaction face aux résultats obtenus par les étudiants. « Ce qui a permis, après comparaison sur les deux dernières années, de voir les grands progrès qui ont été réalisés. À Kilibo, l’année passée, nous avons eu un taux de réussite au baccalauréat qui était de plus de 57%, au-dessus de la moyenne nationale, nous avons eu des séries qui ont enregistré plus de 96%, comme la série C, et il y a des séries qui ont donné 96% », a-t-il déclaré. Cette réussite est le fruit d’un effort collectif qui mérite d’être salué. Il faut noter que l’objectif de cette tournée est de remercier les candidats qui ont fourni des efforts considérables l’année dernière et de renouveler l’engagement envers leur réussite académique. En effet, ces travaux dirigés sont conçus pour renforcer les capacités des élèves et leur offrir un soutien supplémentaire dans leur préparation. Amadou a également souligné l’importance d’étendre cette initiative à Ikemon afin que tous les élèves bénéficient du même niveau de soutien. « Au vu de ces résultats, il était important de venir non seulement remercier ces élèves qui ont travaillé, grâce à qui Kilibo s’est inscrit parmi les meilleurs établissements au niveau national, mais aussi d’étendre ses efforts d’accompagnement au niveau d’autres écoles de la commune, notamment à l’arrondissement d’Ikemon », a-t-il ajouté. Alain Ablou, directeur du CEG 1 Kilibo, a salué cette initiative comme une première à Ouèssè, promettant des résultats ambitieux. « Au BEPC, nous lui promettons 100% ; au BAC, nous lui promettons au moins 90% pour les résultats de fin d’année », a-t-il affirmé. « À l’endroit des candidats, c’est travailler sans relâche, ne laisser nulle place où la main ne passe et repasse », a-t-il ajouté. En contrepartie, les élèves concernés prennent l’engagement d’assurer la relève tout en lui promettant des bons résultats aux différents examens. Fortuné Balogoun, élève au CEG 1 Kilibo, a, au nom des élèves, remercié le fonctionnaire international Moukaïla Amadou pour toutes ses actions en leur faveur. « Nous lui promettons un bon résultat scolaire à la fin de l’année, d’être disciplinés et également de cultiver entre nous l’amour, le travail et le développement. Nous lui promettons de donner 100% au BEPC 2025 », s’est-il engagé. Il est important de noter que cette démarche proactive de Moukaïla Amadou témoigne d’un engagement sincère envers l’éducation dans la région, offrant aux élèves non seulement des ressources financières, mais aussi une motivation essentielle pour exceller. L’année scolaire 2024-2025 s’annonce prometteuse pour les établissements scolaires concernés, avec des attentes élevées en matière de résultats. 

Augustin HESSOU
 

Promotion de la culture et de la formation professionnelle : Le Centre Culturel et de Formation Bio Tchané ouvre officiellement ses portes

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Le Centre Culturel et de Formation (CCF) BIO TCHANÉ a officiellement ouvert ses portes le samedi 21 décembre 2024 à Djougou. Conçu en mémoire du feu Elhadj Moussa TCHANE, père de Son Excellence le ministre d’État Abdoulaye BIO TCHANÉ, président du parti Bloc Républicain, ce centre se positionne comme un cadre de référence pour la jeunesse. La cérémonie d’inauguration a rassemblé d’éminentes personnalités politico-administratives, dont le ministre d’État Abdoulaye BIO TCHANÉ, les honorables députés et maires des 13ᵉ et 14ᵉ circonscriptions électorales, ainsi que le secrétaire général de la préfecture et des populations.

De quoi s’agit-il : Le Centre culturel et de formation Bio Tchané, fondé par la famille Bio Tchané sous la direction du ministre d’État chargé du développement et de la coordination de l’action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, est dédié à la mémoire de leur défunt père, Elhadj Moussa Bio Tchané. Il faut noter que cette maison rénovée de l’illustre disparu Elhadj Moussa Bio Tchané servira désormais à la promotion de la culture, à la formation professionnelle et à l’épanouissement des jeunes Béninois, en particulier ceux du département de la Donga.

Qu’est-ce qui est important : Le CCF Tchané dispose d’une bibliothèque de plus de 4000 livres scientifiques, de culture générale et académiques. Il est également équipé d’une salle informatique moderne et propose un programme riche en animations diverses. Son objectif principal est de former les jeunes, qu’ils soient scolarisés ou non, âgés de 5 à 20 ans, en leur offrant des compétences pratiques et un savoir-faire essentiel pour devenir des membres actifs de la société. En plus de ses activités ludiques, le centre offre des formations professionnelles dans des domaines tels que l’informatique et le numérique, l’entrepreneuriat, l’insertion professionnelle, l’orientation académique, le leadership, le développement personnel et la prise de parole en public. Il dispose également d’un espace collaboratif, comprenant une salle de réunion et de co-working, un accès aux ressources documentaires, des travaux pratiques et un espace afterwork.

Que disent les acteurs : Lors de cette journée inaugurale, YAYA Idrissou, maire de Djougou, a, dans son mot de bienvenue, salué cet acte de grande générosité de la famille Bio Tchané, particulièrement du ministre d’État Abdoulaye Bio Tchané qui, selon lui, honore de la plus belle des manières la mémoire d’Elhadj Moussa Bio Tchané et qui contribue efficacement au développement de la localité. « Monsieur le ministre d’État, en décidant de créer le centre dont nous procédons à l’ouverture officielle ce jour, vous avez vu juste les besoins de notre département en matière d’éducation et d’apprentissage qui sont immenses », a fait savoir le maire Yaya. « Les centres de lecture sont rares et les moyens de leurs parents ne leur permettent pas de mettre à la disposition de leur enfant les ouvrages nécessaires à leur instruction à l’école », a-t-il ajouté. Pour la directrice du centre, Inès Allognon, ce centre sera un catalyseur d’innovation, d’apprentissage qui proposera des formations dans de nombreux domaines. « Le centre est un espace où la parole se libère, où l’imaginaire se nourrit et où les rêves prennent corps. Je tiens à remercier chaleureusement toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce projet », a laissé entendre la directrice Inès Allognon.

Entre les lignes : En ouvrant officiellement le centre, Mouhammadou BIO TCHANE, représentant de la famille BIO TCHANE, a souligné que le centre est un réel hommage à leur feu père Elhadj Moussa Bio Tchané, celui-là qui a consacré sa vie à l’éducation. En tant qu’enseignant, cet homme a réussi à semer les graines du savoir dans le cœur de nombreuses personnes. « En transformant ce lieu en un centre de formation comprenant une bibliothèque, un espace culturel, nous perpétuons son héritage et ses valeurs, nous faisons vivre son dévouement à l’éducation et son amour pour le partage du savoir », a-t-il déclaré. « Ne vous y trompez pas, il ne sert à rien de laisser des milliards, des immeubles, des biens matériels aux enfants, mais laissez-leur savoir et l’éducation », a laissé entendre Mouhammadou BIO TCHANE. De son côté, le ministre d’État chargé du développement et de la coordination de l’action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, a fait savoir qu’il est de leur devoir en tant que citoyens, en tant que responsables, en tant que personnes engagées, d’offrir à la jeunesse des espoirs concrets, des formations, des emplois et des perspectives, afin qu’ils puissent réaliser certaines de leurs aspirations dans la dignité, sans risquer leur existence et en restant en famille. À l’en croire, ce centre est conçu sur trois piliers. Le premier pilier s’agira de former les jeunes dans les matières scientifiques en mettant à leur disposition des livres de maths, de physique, de sciences naturelles, de la sixième jusqu’en terminale. Le deuxième pilier aura pour rôle de renforcer les capacités des adultes dans les métiers, tout en leur formant au numérique et en leur permettant d’avoir accès à des ordinateurs gratuitement dans le centre. Le troisième pilier contribuera à offrir un espace culturel pour tous et sera un carrefour où les idées, les traditions, les talents pourront s’exprimer et se transmettre, surtout aux plus jeunes. « Ces trois piliers sont au cœur de ce que le gouvernement du président Patrice Talon poursuit déjà avec l’Enseignement de la Formation Technique et Professionnelle. Parce que nous avons dit que ce n’est pas la peine d’envoyer des enfants à l’école pour avoir des licences, pour avoir des maîtrises, pour avoir des masters, de finir et d’être au chômage pendant six ans, pendant dix ans. La réponse à ça, c’est la formation professionnelle et technique », a martelé le ministre d’État avant de souligner que ce centre va permettre, à la demande du gouvernement, d’aller un peu plus loin dans la formation professionnelle et technique.

Augustin HESSOU

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Infrastructure marchande au Bénin : Le marché régional de Natitingou inauguré

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Reconstruit entièrement, le marché régional de Natitingou, le plus grand du Bénin dans sa catégorie, a été mis en service. La cérémonie de lancement des activités s’est déroulée le dimanche 22 décembre 2024, en présence des bénéficiaires fortement mobilisés. C’était en présence de quatre (04) ministres du gouvernement. Il s’agit du Ministre d’État en Charge de la Coordination de l’Action Gouvernementale, Abdoulaye BIO TCHANÉ, la Ministre de l’Industrie et du Commerce, Alimatou Shadiya ASSOUMAN, du Ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l’Emploi, Modeste KÉRÉKOU et du Ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Yves Kouaro CHABI, sans oublier le Secrétariat Général du Gouvernement, M. Edouard OUIN OURO. Arrivée dans la cité de Nanto, la délégation gouvernementale a été accueillie par le Préfet de l’Atacora, Déré Lydie CHABI NAH et le maire de la ville Taté OUINDEYAMA. La présentation du joyau laisse voir au niveau du bloc principal 179 boutiques, 26 boucheries, 15 restaurants, 618 hangars pour 1218 marchands, 02 magasins pour la poissonnerie et 27 hangars communs pour 810 marchands. Au niveau du bloc artisanat, 44 boutiques, 02 ateliers et 03 magasins sont réalisés. A souligner que le marché régional de Natitingou comme tous les autres modernes construits par le gouvernement sera géré par l’Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM).

 Anselme HOUENOUKPO

Amélioration des techniques de production et de conservation de ‘’Amonsoja’’: Une solution innovante de Dr Makosso Allavo

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Lors de l’émission “Libre Tribune” de Radio Planète, animée par Christian Sessou, du dimanche 22 décembre 2024, Dr Makosso Allavo, expert agroalimentaire et chercheur passionné, a présenté ses recherches novatrices sur l’amélioration des techniques de production et de conservation du fromage de soja, connu sous le nom de ‘’Amonsoja’’. Cette thèse, soutenue le 13 décembre 2024, jette un éclairage nouveau sur l’agriculture béninoise, la lutte contre la malnutrition et l’impact des politiques publiques sur la transformation agroalimentaire au Bénin. L’émission a permis de mettre en lumière les recherches et l’engagement du Dr Makosso Allavo, qui, avec son expertise, contribue à réinventer le paysage agroalimentaire au Bénin.

Dr Makosso Allavo

Dr Makosso Allavo se distingue par une formation académique unique qui combine expertise agroalimentaire et entrepreneuriat social. Après un diplôme en conception agroalimentaire, il a enrichi ses compétences en poursuivant un master en entrepreneuriat dans le cadre de l’économie sociale et solidaire en France. Cette approche transversale lui permet d’aborder la production agroalimentaire sous un angle holistique, alliant la qualité des produits à la durabilité économique. Il a ainsi choisi de se concentrer sur la transformation agroalimentaire au Bénin, particulièrement sur les produits à base de soja, dans le but de renforcer l’impact social et économique des agricultures locales. Au cœur de ses recherches, Dr Allavo met en avant ‘’Amonsoja’’, un fromage de soja, comme une solution alimentaire à la malnutrition au Bénin. Le soja est une légumineuse riche en protéines végétales, essentielle pour les enfants souffrant de carences nutritionnelles. ‘’Amonsoja’’, en tant qu’alternative végétarienne et saine aux fromages traditionnels, s’inscrit dans une démarche de sécurité alimentaire durable.

Selon Dr Allavo, le soja pourrait non seulement améliorer la nutrition des populations béninoises, mais aussi avoir un impact significatif sur la santé publique, en particulier dans les zones rurales. L’une de ses innovations majeures réside dans l’amélioration des techniques de production et de conservation du fromage de soja, permettant de prolonger sa durée de vie tout en préservant ses qualités nutritives.  Dans le cadre de ses recherches, Dr Allavo s’intéresse particulièrement au soja, une variété de soja particulièrement riche en protéines. Le soja, cultivé de manière biologique, est une alternative durable et écologique. Dr Allavo insiste sur l’importance de cette légumineuse pour lutter contre la malnutrition, en particulier chez les enfants. L’intégration du soja dans la chaîne de transformation pourrait également renforcer l’économie locale et répondre aux exigences croissantes des consommateurs pour des produits durables et de qualité. La valorisation du soja pour la production du ‘’Amonsoja’’constitue une réponse concrète aux défis de la sécurité alimentaire et de l’agriculture durable. En utilisant cette légumineuse dans la transformation agroalimentaire, le Bénin pourrait renforcer sa position sur le marché local et international tout en soutenant ses producteurs locaux. Dr Allavo a salué l’engagement du gouvernement béninois sous la direction de Patrice Talon, notamment à travers la mise en place de la zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Ce projet stratégique vise à promouvoir la production et la transformation du soja au Bénin. La zone industrielle offre aux producteurs locaux un environnement favorable à l’industrialisation et à l’exportation de produits agroalimentaires comme ‘’Amonsoja’’. Cet engagement gouvernemental représente un levier essentiel pour la croissance économique et la lutte contre la malnutrition. Dr Allavo a exprimé son soutien à cette initiative, soulignant que le renforcement des capacités des producteurs locaux et la valorisation des produits nationaux pourraient créer des opportunités économiques significatives tout en garantissant des produits de qualité pour le marché local et international.

À travers ses recherches et ses projets, Dr Allavo s’efforce de montrer que l’agriculture béninoise peut devenir un modèle de durabilité et d’innovation. En améliorant les techniques de production de soja et en développant des produits comme ‘’Amonsoja’’, il espère que le Bénin pourra non seulement répondre à ses besoins internes, mais aussi devenir un leader régional dans le secteur de l’agroalimentaire. La combinaison de la recherche scientifique, de la valorisation des ressources locales et du soutien institutionnel constitue une base solide pour faire du Bénin un acteur incontournable de la transformation agroalimentaire en Afrique. ‘’Amonsoja’’, ainsi que d’autres produits dérivés du soja, pourraient être la clé d’une agriculture durable et d’une alimentation plus saine pour les populations africaines. L’émission “Libre Tribune” a permis de mettre en lumière les recherches et l’engagement de Dr Makosso Allavo, qui, avec son expertise, contribue à réinventer le paysage agroalimentaire au Bénin. Ses travaux sur l’amélioration de la production et de la conservation du fromage de soja, associés aux efforts du gouvernement pour soutenir l’agriculture locale, ouvrent la voie à un avenir où la nutrition et le développement économique vont de pair. Grâce à des chercheurs comme Dr Allavo, le Bénin est bien parti pour devenir un modèle d’agriculture durable et de sécurité alimentaire en Afrique.

Anselme HOUENOUKPO

Université d’Abomey-Calavi: Les enseignants admis à la retraite sommés de libérer leurs bureaux

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A travers un communique de presse, le recteur de l’Université d’Abomey-Calavi informe les enseignants admis à faire valoir leurs droits à une pension de retraite et précédemment bénéficiaires de bureaux, de faire diligence pour retourner les clés des bureaux. Ceci au plus tard le vendredi 27 décembre 2024. Le Recteur de l’Uac, Prof. Felicien Avlessi invite les enseignants concernés à collaborer spontanément avec l’administration pour une réalisation rapide et sans désagrément de cette opération.

Reconnaissance de nationalité aux Afro-descendants: Cassandra LEWIS remercie le président Talon

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Le président Patrice TALON, a promulgué, le 2 septembre 2024, une loi qui permet aux afro-descendants de demander la nationalité béninoise. Cette mesure, attendue depuis longtemps, est une reconnaissance envers les descendants d’Africains déportés lors de la traite des Noirs et du commerce triangulaire. Selon le texte de la loi, les personnes ayant un ascendant africain déporté dans le cadre de la traite des Noirs peuvent désormais faire une demande pour devenir citoyens béninois. Cette loi historique fait écho à un passé douloureux, celui de millions d’Africains arrachés à leur terre, et leur offre une opportunité de retrouver leurs racines, leur dignité et leur identité. La loi stipule que le demandeur doit prouver son ascendance afro-descendante et avoir un parent né avant 1944. Les moyens de preuve sont divers : documents officiels, témoignages ou même tests ADN reconnus par le Bénin. Le décret d’application de cette loi, publié le 20 novembre 2024, vient compléter ce dispositif législatif et précise les conditions et modalités pratiques. Parmi les personnes directement concernées par cette loi se trouve Cassandra LEWIS, descendante de Cudjo LEWIS de son vrai nom de naissance : Oluale Kossola, témoigne de l’impact de cette loi sur sa famille. Elle dit avoir toujours exprimé le désir de revenir chez elle à Bantè au village de Banon comme le désirait aussi son grand-père. Aujourd’hui, elle a trouvé, dit-elle, l’opportunité d’être connectée à ses racines grâce à cette loi.

Dans son témoignage, Cassandra LEWIS raconte comment, à travers les récits de son père et de son ancêtre, la lutte pour retrouver le chemin du Bénin a été difficile, mais aujourd’hui accomplie grâce à cette reconnaissance officielle. « J’ai retrouvé ma voix, mes racines et j’ai la paix : la paix d’avoir pu accomplir ce devoir de mémoire », a-t-elle fait savoir. Cassandra LEWIS exprime sa profonde gratitude envers le président Patrice TALON et son gouvernement pour cette loi, qu’elle considère comme un acte de réconciliation et de fierté. Elle remercie également le Bénin pour cette reconnaissance qui permet à sa famille et à tant d’autres de revendiquer leur héritage avec dignité.

Paiements internationaux:  Le Groupe BCP signe un partenariat avec Mastercard pour renforcer les paiements transfrontaliers en Afrique

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Une étape majeure vient d’être franchie dans le domaine des paiements transfrontaliers en Afrique. Le Groupe Banque Centrale Populaire (BCP) s’associe à Mastercard pour intégrer les capacités de transfert d’argent de Mastercard Move à ses services. Ce partenariat stratégique promet de transformer les transactions transfrontalières en les rendant plus rapides, sécurisées et accessibles à une large clientèle, qu’il s’agisse de particuliers ou d’entreprises.

L’initiative répond à une ambition claire : offrir des solutions de transfert d’argent quasi instantanées, traçables et économiques, adaptées aux besoins spécifiques du continent africain. Pour le Groupe BCP, cet accord s’inscrit dans une démarche d’innovation continue visant à soutenir les consommateurs et entreprises à travers des produits adaptés aux réalités locales. Kamal Mokdad, Directeur général de la BCP et de l’International, a souligné : « Cette collaboration témoigne de notre engagement à proposer des services bancaires innovants tout en renforçant l’intégration économique dans nos pays d’opération. Elle permettra de simplifier les flux financiers internationaux et de promouvoir une croissance économique durable. »

De son côté, Dimitrios Dosis, Président pour l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Mastercard, a rappelé l’engagement de l’entreprise à bâtir un écosystème numérique inclusif : « Nous croyons fermement qu’un accès équitable aux services financiers peut catalyser le développement économique. »

Mastercard Move : un levier d’efficacité

Au cœur de ce partenariat, Mastercard Move offre un éventail de solutions allant des paiements personnels aux transactions commerciales, en couvrant plus de 180 pays et 150 devises. Grâce à cette technologie, les transferts d’argent gagnent en transparence et en flexibilité, une avancée cruciale pour un continent où les barrières aux transactions transfrontalières restent nombreuses. Le partenariat BCP-Mastercard illustre une vision partagée : créer une connectivité économique renforcée à travers l’Afrique. En facilitant les paiements internationaux, cette collaboration répond à des enjeux essentiels pour les diasporas, les entreprises exportatrices et les gouvernements.

Présent dans 32 pays, le Groupe BCP, leader au Maroc et acteur de premier plan en Afrique, trouve dans cette alliance un moyen de renforcer son rôle de facilitateur économique. Quant à Mastercard, ce partenariat s’inscrit dans sa stratégie globale de déploiement de solutions innovantes pour répondre aux besoins financiers en pleine évolution.

Une perspective prometteuse

Alors que les transferts internationaux sont souvent synonymes de lenteur et de coûts élevés, ce partenariat représente un véritable tournant. À travers des solutions accessibles et modernes, BCP et Mastercard incarnent une Afrique en marche, portée par des innovations qui renforcent l’inclusion et la connectivité. Ce rapprochement souligne un fait majeur : l’avenir des paiements transfrontaliers passe par des collaborations stratégiques qui allient expertise locale et innovation technologique globale. Une promesse de progrès pour le continent.

Olivier ALLOCHEME

Entrée officielle à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM): L’action de la LNB gagne 7,50 % dès sa première cotation

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L’entrée de la LNB à la BRVM a été couronnée de succès dès l’Offre Publique de Vente (OPV), qui avait mobilisé 43,2 milliards FCFA grâce à 9 millions d’actions proposées. Le jour de sa première cotation, l’action de la LNB a connu une hausse de 7,50 %, passant de 4 800 FCFA à 5 160 FCFA, atteignant ainsi la limite journalière supérieure fixée par la BRVM. Les investisseurs ont échangé pour 84,89 millions FCFA, représentant 11 % du volume total de la séance, évalué à 771,4 millions FCFA. Avec cette performance, la capitalisation boursière de la LNB est passée à 103,2 milliards FCFA, gagnant 7,2 milliards par rapport à sa valorisation initiale de 96 milliards FCFA. Cette introduction offre à la LNB des avantages notables, notamment une meilleure visibilité, un accès facilité au capital et un renforcement de sa gouvernance.

La séance du 13 décembre a également été favorable pour l’ensemble du marché, avec une progression de 0,46 % de l’indice BRVM Composite à 275,48 points. Les indices BRVM 30 (+0,59 %) et BRVM Prestige (+0,91 %) ont aussi affiché des gains, portés par des valeurs comme Sonatel (+1,05 %) et Société Générale CI (+1,55 %). Toutefois, certaines valeurs, telles que Sicable (-6,85 %) et Solibra (-6,47 %), ont enregistré des baisses notables, rappelant la volatilité inhérente aux marchés financiers. Les résultats remarquables de la LNB proviennent de sa bonne image en raison de la progression du chiffre d’affaires réalisé par la société dirigée depuis 2016 par Gaston Zossou. Ce chiffre d’affaires est passé de moins de 10 milliards en 2016 à plus de 100 milliards en 2024.

 Un tournant historique pour le marché financier régional

La cotation tant attendue de la Loterie Nationale du Bénin (LNB) à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a eu lieu ce vendredi 13 décembre. A cet effet, une cérémonie officielle s’est tenue à Cotonou, en présence du Ministre de l’Économie et des Finances, Romuald Wadagni, du directeur général de la BRVM, Edoh Kossi Amenounve, et de nombreuses autres personnalités. Cette introduction marque une étape décisive pour le Bénin et la région ouest-africaine. La LNB devient ainsi la deuxième entreprise béninoise à entrer à la BRVM, après la BOA-Bénin en 2000. Avec cette opération, le nombre total de sociétés cotées atteint 47, et la capitalisation du marché franchit le seuil des 100,5 milliards de FCFA.

Au-delà des chiffres, cette entrée en bourse illustre la dynamique de privatisation et de diversification économique amorcée par le gouvernement béninois sous la présidence de Patrice Talon. Elle reflète également l’importance croissante des entreprises publiques dans l’animation des marchés financiers des économies émergentes. Edoh Kossi Amenounve, directeur de la BRVM, a salué la résilience du marché malgré les crises économiques mondiales. Depuis 2021, la BRVM affiche une capitalisation des actions de plus de 15,87 milliards de dollars, avec une progression de l’indice composite de 28,06 % sur l’année écoulée. L’intégration de la LNB ouvre de nouvelles perspectives pour le marché régional. En diversifiant les secteurs représentés, la BRVM consolide son rôle de pilier du financement des économies de l’UEMOA et s’inscrit dans une dynamique continentale avec des projets tels que l’African Exchanges Linkage Project (AELP).

Youth Opportunity Days Africa 2024: La jeunesse connectée aux opportunités pour un avenir professionnel radieux

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Le Campus de l’Université d’Abomey-Calavi a accueilli, le vendredi 6 décembre 2024, le Salon des Opportunités de la Jeunesse Africaine‚ dans le cadre de l’activité ‘’Youth Opportunity Days Africa 2024’’. Organisé par un consortium d’organisations à savoir : AGRO-OPPORTUNITY, MUUJIZA Consulting, le Cabinet EurAfrik, la Fondation ITISA, et le MCLD West Africa. L’événement a rassemblé jeunes‚ étudiants et entrepreneurs dans l’amphithéâtre Jean Pliya pour une journée d’informations‚ de transformations et de partage d’expériences.

Ce que vous devriez savoir : Avoir une intelligence collective de co-construction générationnelle, briser l’effet isoloir qui dresse un ciel de vers au-dessus de la jeunesse et devenir une partie de la solution. Partant de ces conclusions lors de la 1ère édition de YOD AFRICA (Agro Opportunity Day‚ 2013) et la seconde (Opportunity Day‚ 2020)‚ le consortium qui porte l’activité entend œuvrer à connecter la jeunesse à elle-même‚ puis aux opportunités‚ du niveau local à celui global‚ tout en l’engageant à s’investir dans la création de solutions aux défis auxquels elle fait face. Pour y arriver, le ‘’Youth Opportunity Days Africa 2024’’ a réuni des entrepreneurs pour inspirer à tracer son chemin. Les participants‚ au rang desquels étaient fortement représentés les étudiants de l’Institut du Cadre de Vie (ICaV) ont eu l’opportunité de découvrir des initiatives et projets visant à favoriser leur insertion professionnelle. Ce fut une occasion unique pour eux d’explorer des secteurs d’activité variés et de découvrir des opportunités à saisir au niveau local. Le but de la démarche étant d’une part de montrer que la jeunesse doit être au centre des dynamiques d’opportunités‚ et d’autre part‚ de diffuser informations‚ formations et transformations pour garantir une égalité de chances à tous les jeunes.

Que disent les acteurs : Plusieurs orateurs comme le Professeur Euloge OGOUWALE, Cléopâtre KOUGNIAZONDE épse KOCHONI, Alban HOUNSOU, Delano KIKI, Sessi Hypolite YOBODO, Pascal DJOHOSSOU et biens d’autres ont eu des moments intenses d’échange avec les participants. Outre ces intervenants en présentiel, d’autres étaient en ligne. « L’école vous donne 20% de ce que vous avez besoin. Vous devez apprendre à payer le prix de votre succès et à aller au-delà des exigences », a affirmé Prof. Euloge OGOUWALE‚ Directeur de l’ICaV. Quant à Delano KIKI, président de la Banque Alimentaire du Bénin, il a encouragé les jeunes à voir les difficultés comme des occasions de créer des solutions. « Dans notre environnement, il existe des opportunités dans tous les domaines. Une entreprise est une solution à une difficulté. Il est essentiel de comprendre que les opportunités se trouvent souvent là où il y a des problèmes à résoudre », a-t-il expliqué.

Des étudiants satisfaits des échanges : Ayant pris part à la journée, Maxime TOGBÉDJI, responsable étudiant à l’ICAV, s’est réjoui de l’initiative.  « J’ai beaucoup appris aujourd’hui. Je sais maintenant qu’il existe plusieurs opportunités que nous pouvons saisir. C’est nous les jeunes qui devons chercher pour notre avenir », fait-il remarquer. « J’ai découvert plusieurs domaines et opportunités grâce aux expériences partagées aujourd’hui. Il est temps de ne plus rester fermé sur moi-même. Je dois intégrer des communautés pour bénéficier des opportunités », a laissé entendre Arsène AMAVIGAN, étudiant en planification et gestion des espaces ruraux. Pour Merveille Finélia SÈGNON, étudiante en 2ème année, la participation à ce salon a été d’une importance capitale. « L’éducation qu’on m’a donnée c’était d’aller à l’école et d’être recrutée. Aujourd’hui, je comprends qu’il est essentiel de partir à la quête de l’information. Je m’engage à travailler en communauté et à renforcer ma confiance en moi, car c’est avec cette confiance que je vais évoluer », a-t-elle affirmé.

Entre les lignes : Notons qu’avant le Salon des Opportunités de la Jeunesse sur le campus, une activité de solidarité communautaire a été organisée, le Jeudi 5 décembre 2024, à Tan Xwe‚ la Maison de la mémoire à Gbétagbo. Un « marché de la solidarité‚ élan de cœur » a permis aux habitants et aux jeunes de recevoir des dons de vêtements, sacs et chaussures.