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(Julien Minavoa en phase avec le CIO et le gouvernement)
L’AFI est l’assiette fédérale identitaire. C’est un outil mis en place par le Cnos-Ben et qui permet de renseigner convenablement sur chaque fédération nationale. Et pour mettre les responsables fédéraux béninois au pas vis à vis de cet outil de développement, le Comité national olympique et sportif béninois (CNOS-Ben) que préside Julien Minavoa, les a convié à une séance de formation. Ladite séance a eu lieu le mercredi 5 mai 2021, au Bénin Royal hôtel de Cotonou. C’est l’expert Ariel Kamoyedji qui a animé ce stage qui a renseigné sur les voies à suivre pour enregistrer les données de chaque entité fédérale à travers l’application dénommée Assiette fédérale identitaire ‘’AFI Perform’’.
A l’ouverture de ce rendez-vous, le patron du mouvement sportif béninois, Julien Minavoa, après les mots introductifs de son secrétaire général Fernando Hessou pour situer les uns et les autres dans le contexte dudit stage, a souligné qu’il s’agit de retrouver les acteurs fédéraux capables de renseigner sur leur fédération à travers l’outil qui va «servir d’instrument d’évaluation de performance d’aspect managérial des fédérations». Entièrement conçue par le CNOS-Ben, cette plateforme est destinée aux fédérations sportives béninoises.
«Avec cet outil le mouvement sportif béninois s’ouvre davantage au monde», va faire comprendre l’expert. «Il sera désormais possible après cette formation de par le monde d’avoir les informations sur les sept domaines stratégiques constituant dans l’Assiette fédérale identitaire de toutes les fédérations béninoises», a-t-il ajouté.
Et pour réussir sa mission, l’expert en informatique commis à la tâche, Ariel Kamoyédji a mis un système en place pour faciliter la compréhension aux concernés, même à ceux qui ne sont pas toujours très à l’aise dans le Tic. Présent à ce stage, le président de la fédération de volleyball, Ali Yaro, a remercié le président Minavoa et son comité qui ont su identifier une fois encore, ce besoin fondamental du mouvement sportif. Pour lui cet outil est le bienvenu. «Il nous permettra d’identifier nos forces et faiblesses chaque année afin de mieux orienter nos visions en terme du développement de nos disciplines», a-t-il fait savoir avant de préciser que cette application d’auto-évaluation rendra également les choses un peu plus faciles pour les fédérations dans la gestion des athlètes et les officiels.
A souligner qu’ils étaient plus d’une soixantaine à suivre ce stage.
Anselme HOUENOUKPO
