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Le triomphe de la vérité

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Le Républicain Charles Janvier SOSSOU, invité de « Sous l’arbre à Palabre », AU SIÈGE DE L’ÉVÉNEMENT PRÉCIS: « Le vote a lieu le 28 avril et le Bloc Républicain gagnera »


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Charles Janvier Sossou, membre fondateur du parti Bloc Républicain et Agent au Centre des impôts des petites et moyennes entreprises (Cipme) à Abomey-Calavi est le 120ème invité de la rubrique phare ‘’Sous l’arbre à palabre’’ du quotidien l’Evénement Précis. Très satisfait d’opiner sur l’actualité nationale, il prédit un scrutin paisible et sans incident pour les législatives du 28 avril prochain. Face aux journalistes de l’Evénement Précis ce 18 avril, Charles Janvier Sossou expose avec aisance le bien-fondé de la réforme du système partisan opérée sous le régime de la Rupture. Estimant que le projet de société du Bloc Républicain est en phase avec celui de son mouvement politique « L’Eveil Béninois » créé en 2015, Charles Janvier Sossou justifie que c’est cela qui est à l’origine de son appartenance au Bloc Républicain. C’est pourquoi il défend avec conviction les candidats en lice sur la liste bloc républicain qu’il espère sera victorieux des législatives. Appréciant le déroulement de la campagne électorale en cours dans tout le pays, l’invité de « Sous l’arbre à palabres » a justifié la non-participation des partis de l’opposition au prochain scrutin législatif par leur mauvaise foi à adhérer à la réforme du système partisan. L’un des plus importants sujets abordés par Charles Janvier Sossou au cours des échanges est la délivrance du quitus fiscal par la direction générale des impôts. Pour lui, l’institution du quitus fiscal dans le dossier de candidatures a permis à la Direction générale des impôts de renflouer les caisses de l’Etat à hauteur de trois milliards. Selon lui, le quitus fiscal n’est pas un document spécial ou extraordinaire et aucun traitement de faveur n’a été fait lors de sa délivrance comme le clament certains membres de l’opposition. Appréciant les réformes et la gouvernance du président Patrice Talon depuis avril 2016, l’invité de « Sous l’arbre à palabres » déclare que si « Patrice Talon n’était pas né, il fallait le créer pour sauver le peuple béninois.

Et si on en parlait

Membre fondateur du Bloc Républicain, comment en êtes-vous arrivé à intégrer ce regroupement ?
Je suis venu en politique un beau matin parce que j’ai eu à entendre dans un rêve que je peux beaucoup pour ce pays. Le rêve me disait « présente-toi à l’élection présidentielle parce que tu peux beaucoup pour ce pays. » C’est comme ça que j’ai rédigé mon projet de société et je me suis mis à travailler dans les 77 communes. Mais au finish, on ne s’est plus présenté pour ces élections. Voilà comment je suis entré en politique. Il faudrait rappeler que c’est sur ce chemin que j’ai mis en place le mouvement ‘’L’Eveil Béninois’’ avec beaucoup de jeunes qui ont apprécié la chose, qui y ont adhéré, qui y ont cru. Mais nous n’y sommes plus allés. On a plutôt travaillé avec l’actuel président de la République parce que son projet de société était convaincant et rejoignait le nôtre.

Nous avons constaté que vous n’êtes pas candidat aux élections législatives, qu’est-ce qui explique votre absence sur la liste des Républicains ?
J’ai toujours dit quelque chose : au-delà de ce que nous voulons, il y a le destin qui nous guide. J’ai bien voulu aller aux élections législatives, j’étais déterminé et tout le dossier était prêt. Mais il y a eu une pièce pour laquelle j’ai eu des difficultés, c’est le certificat d’individualité. C’est à cause de cette pièce que je ne me suis pas présenté aux élections. Le certificat d’individualité est une pièce qui conforme votre personnalité. Si par hasard votre nom est mal écrit ou c’est votre prénom qui est mal écrit sur un autre document, c’est un peu compliqué pour vous. A mon niveau, c’est le nom du père et celui de la mère qui ont été mal écrits et j’ai dû recourir au certificat d’individualité mais le temps de l’avoir, c’était trop tard.

Vous êtes donc victime de la nouvelle loi qui exige qu’aucune correction ne serait faite après le dépôt des dossiers ?
Absolument, c’est cette contrainte qui a fait que nous-nous sommes abstenus de créer de problèmes inutiles à notre liste.

Comment se déroule la campagne sur le terrain ?
Je crois que la campagne lancée il y a plus d’une semaine se déroule dans de bonnes conditions. Vous allez voir que dans les derniers jours ça va prendre un peu plus que ce qui se fait actuellement. Il n’y a pas trop de bruit dans la ville et je crois que ça va permettre aux électeurs de faire un choix, de choisir ce qui est bon pour eux, de choisir entre le bon grain et l’ivraie. Quand on fait référence aux législatives passées, je crois qu’on comptait jusqu’à 18 voire 22 partis politiques qui vont aux élections législatives dans ce pays. Aujourd’hui, je pense que les populations doivent savoir ce qu’elles veulent et savoir ce qui est bon pour elles. On doit pouvoir aller vers ces populations et leur expliquer comment on veut que le Bénin soit les jours à venir. Ce n’est pas d’avoir une vingtaine de partis devant soi sans savoir qui dit quoi et qui veut faire quoi ou qui dit la vérité.

Il est vrai que vous n’êtes pas candidat mais vous êtes sur le terrain avec vos candidats, que vendent-t-ils aux populations ?
On ne peut que vendre notre projet de société. Devant les électeurs, on ne peut que vendre ce qui est vendable et c’est notre vision. Le Bloc Républicain est en train de traverser les 77 communes du pays à la conquête de l’électorat. Que l’on soit candidat ou pas, on est en train tous de mettre la main à la pâte afin d’avoir le maximum de députés, le plus de députés à l’Assemblée. Et dans cette logique, vous verrez ce que nous allons drainer sur le terrain.

Qu’est-ce que ça vous dit de participer à une élection sans partis d’opposition ?
Participer à une élection sans partis d’opposition dans le contexte actuel du pays, je peux vous dire que personnellement, ça ne me dit rien. D’autant plus qu’aucun de ces partis dits de l’opposition n’a le statut de parti d’opposition. Donc pour moi, il n’y a pas de parti d’opposition au Bénin. Seuls ceux qui sont prêts et qui ont leurs documents à jour sont en lice pour ces élections et je crois que le processus est lancé pour aller jusqu’à terme.

Même si vous estimez qu’ils n’ont pas le statut de parti d’opposition, ils ont des avis contraires à ceux de la mouvance. Ce qui veut dire qu’ils ne sont pas de même obédience. Pourquoi a-t-on exclu ces partis qui ne parlent pas le même langage que le gouvernement ?
Ils ont été exclus parce qu’ils ne sont pas à jour. Si non, il y a une loi qui régit le processus électoral et qui définit les conditions pour être un parti politique en règle. Ces conditions ne sont pas remplies, les partis dont vous parlez ne sont pas en règle et ça, on n’y peut rien.

L’introduction du quitus fiscal dans les dossiers de candidature est une réalité dans le processus électoral en cours, comment en est-on arrivé là ?

L’introduction du quitus fiscal dans les dossiers pour un candidat n’est rien de spécial pour moi. Si vous êtes à jour vis-à-vis du fisc, si vous payez régulièrement vos impôts et on vous dit de brandir la pièce comme un élément constitutif de votre dossier, c’est la moindre des choses. Moi je n’en fais pas un problème.

Comment est- ce que la direction générale des impôts s’est organisée pour parvenir à gérer la délivrance des quitus fiscaux?
Je pense que c’est une première. Les premiers pas sont toujours difficiles. La direction générale des impôts a mis tout en branle depuis plusieurs mois pour satisfaire les uns et les autres. Il y avait le logiciel, le personnel, tout ce qu’il faut pour que la délivrance de cette pièce ne souffre d’aucun problème.

D’aucuns citent en termes de milliard tout ce qui a été récolté. Qu’en dites-vous?
C’est vrai. Si j’ai bonne mémoire, les journaux en ont parlé. Et je peux vous dire que la direction générale des impôts a bien recouvré de grosses sommes. Au risque de me tromper, c’est près de 3 milliards pour ce petit exercice qu’on a fait là. Cela a contribué à remplir les caisses de l’État.

Le quitus fiscal a été délivré sans problème mais certains ont payé et ne l’ont pas eu….
S’ils ne l’ont pas eu, c’est qu’ils ne sont pas allés le chercher. Parce que tous ceux qui ont payé se sont vus délivrer leur quitus. A titre d’exemple, il y a un camarade du Bloc Républicain qui m’a appelé pour m’informer qu’il n’a pas eu son document alors que son quitus était disponible à la direction générale. C’est sûr qu’ils ne sont pas allés retirer. Ou bien, s’ils n’en ont pas eu, c’est peut-être parce qu’ils ne sont pas en règle vis-à-vis du fisc. Que les gens ne vous baratinent pas. Ce n’est pas seulement le quitus fiscal qui manque aux dossiers des candidats des partis dits de l’opposition pour qu’ils ne soient pas allés aux élections législatives. Franchement, je ne pense pas. Moi je suis de la maison. Mais j’ai eu mon quitus fiscal le jour même de la clôture des dépôts de dossier. Ça veut dire qu’il n’y a pas eu deux poids deux mesures. Vous pouvez le vérifier.

Pensez-vous que tous ceux qui ont eu leur quitus fiscal ont vraiment tout payé? Ou bien il y a eu des arrangements?
Franchement, tel que nous avons procédé, je doute fort que quelqu’un n’ait pas payé et puisse se trouver en possession du quitus fiscal. Je ne pense pas qu’il y ait eu arrangement. Chers journalistes, laissez-moi vous dire que cette opération nous a prouvé que les gens ont de l’argent dans ce pays.

Quel bilan faites-vous après cet exercice au niveau de la direction générale des impôts?
A mon avis, il n’y a pas eu d’insuffisances. Je pense qu’il faut mettre l’accent sur le fait que les citoyens doivent payer régulièrement leurs impôts. Ne pas attendre le dernier moment pour se mettre à courir dans tous les sens. C’est peut-être ce qui a fait que certains ont été laissés à la traine.

Vous n’êtes pas candidat. Est ce que vous soutenez ceux de votre groupe qui le sont?
Le Bénin compte 77 communes. C’est vrai qu’en ce laps de temps, on ne peut pas les parcourir toutes, mais je pense qu’on est en train de parcourir déjà pas mal. Un parti comme je l’ai dit, il est national. Il n’est pas régional. Alors, je milite pour tous les candidats du Bloc Républicain.

«Il n’y aura pas d’élection sans l’opposition». Vous répondez quoi à ceux qui disent ça?
Je pense qu’il faudrait qu’on se prenne au sérieux. Je dis toujours, s’il faut faire du populisme et ne pas être à jour pour ses pièces et aller aux élections et commencer par dire qu’il n’y aura pas d’élection si on n’y va pas, je pense que ce n’est pas sérieux. Ils auraient mieux fait de réunir leurs documents à temps.
Moi je pense qu’il y aura bel et bien élection.

Le PRD a récemment sorti un communiqué pour demander l’annulation du processus électoral. Que pensez-vous de cette réaction de ce parti de la mouvance ?
Je crois que le PRD ne se prend pas au sérieux. Je doute fort que le PRD soit de la mouvance. Le PRD n’est pas de la mouvance. Quand on nous a demandé de former les blocs pour aller aux élections, le Bloc Républicain était prêt à recevoir le PRD mais on ne l’a plus vu. Pour moi, le PRD n’est pas de la mouvance mais de l’opposition.

Venons-en à la récente sortie télévisée du Chef de l’Etat, Patrice Talon. D’aucuns pensent qu’elle est comme un coup d’épée dans l’eau. Qu’en dites-vous ?
J’ai suivi de bout en bout le président de la République. Comme j’ai l’habitude de le dire, s’il n’était pas né, il fallait le créer. Je ne m’attendais pas à ce que j’ai entendu ce jour. Il est venu en bon père de famille. Il a mis la balle à terre. Je pense qu’il a agi en bon père de famille, après tout ce qu’il a traversé. J’ai applaudi quand je l’ai entendu.

Certains estiment qu’il a fait du forcing en maintenant sa position
Je n’ai pas trouvé qu’il a fait du forcing. Au contraire, il a été clair. Si l’assemblée avait trouvé un consensus et qu’il avait pris sa position, je dirais qu’il a fait du forcing. Je tiens à ce que les élections aient lieu le 28 avril prochain

Une élection qui met aux prises deux partis acquis à la cause du chef de l’Etat. N’est-ce pas un recul ?
Où mettez-vous le système partisan ? Les deux partis ne sont pas à la solde du président de la république. Allez sur le terrain et vous verrez comment se déroule la campagne. On ne fait pas campagne pour faire campagne. Les 83 députés qui seront élus ne diront pas la même chose, surtout que nous nous battons sur le terrain pour avoir plus de députés et qui a plus de députés mérite d’avoir le perchoir. Parmi nous, il y a déjà une lutte.

Mais cela aboutira à un parlement monocolore
Pas du tout. On sera 83 à l’Assemblée nationale mais tous ne seront pas tous acquis à sa cause. On soutient le président de la République mais on n’est pas manipulable à sa guise

Le peuple pourra-t-il comprendre ce choix ?
C’est ce que nous expliquons à la population en demandant son suffrage. Cela va permettre aux populations de savoir à quoi s’en tenir. On n’arrive pas à percevoir le nœud de ce qui se passe actuellement au Bénin. Il s’agit du progrès du pays et il faut que le Bénin avance.

Trois ans de gouvernance. Que peut-on retenir de la gestion de Talon ?
Notre projet de société rejoint celui du Chef de l’Etat. Je ne peux que taxer de bien ce qu’il fait. Nul n’est parfait et le margouillat a toujours un blanc dans ses excréments.

Que lui reprochez-vous ?
Comme j’ai l’habitude de le dire, tout n’est pas parfait. Si vous allez à une élection et que vous trouvez 100%, ne prenez pas ce pouvoir. On a eu 65%, ce qui veut dire qu’on a 35% qui ne sont pas avec nous. Nul n’est parfait. Moi je le trouve parfait mais d’autres diront qu’il est fautif quelque part.

Mais les populations sont fatiguées de serrer la ceinture, surtout qu’entre temps, elles ont été cassées, perdant pour la plupart leur petit commerce ?
Ils sont allés un peu plus vite. C’est vrai que les gens s’étaient installés anarchiquement à Cotonou par exemple. Donc il fallait y mettre de l’ordre. On pouvait trouver un mécanisme pour les accompagner. Mais pour ceux qui disent qu’il fallait desserrer la ceinture, je pense quand on n’a rien à faire on ne peut pas comprendre ce que l’autre fait. Ceux qui sont en train de faire quelque chose, ils sortent et reviennent à la maison pour quelque chose. Donc si vous restez entre vos quatre murs pour dire que le pays n’avance pas, vous ne pouvez que récolter votre production. Je puis vous dire que le train de vie actuel du Béninois est le train de vie idéal. L’argent qui circulait n’était pas l’argent d’une sueur. Dans ce pays, les gens émargeaient les bons de ticket valeur d’un million par mois. Celui-là peut donner 100 mille à un proche. Mais si je ne gagne plus un million de ticket valeur, je ne peux pas en donner autant. C’est ce qui fait que certaines personnes crient.

Quel appel avez-vous à l’endroit des opposants et des électeurs dans le cadre des législatives ?

La population elle-même est en train de comprendre la chose. Parce que dans le rang partis dits opposants, il y en a qui reviennent déjà vers nous, tant au niveau du Bloc Républicain que de l’Union Progressiste. J’appelle la population à nous soutenir. Je l’exhorte à aller prendre les cartes d’électeur et qu’ils sortent le 28 avril pour aller voter calmement et rentrer chez eux.

Ne craignez-vous pas un boycott de ces législatives ?
Qu’est-ce qui peut encore entraver la tenue de ces élections ? On ira aux élections le 28 avril calmement et tout le monde va rentrer chez lui. Permettez que je sois ferme sur ça. Il y aura élection. Il y en a qui les quittent pour venir vers nous. On aurait senti le boycott si parmi eux, certains ne viennent pas vers nous et que ça soit nous-mêmes qui tapons et dansons.

Doit-on croire que ceux-là vont vers vous par conviction ou pour les primes dites de déplacement ?
Bien sûr ! Avec deux partis, les gens vont voter avec conviction. Ils viennent par conviction et non pour des billets de banque. Au jour d’aujourd’hui, je n’ai distribué aucun sou mais je convaincs. Je peux parler d’une collation peut-être, mais prime de déplacement, partager les sous, non je ne pense pas. Chez nous, quand on fait les listes lors de nos meetings et autres, c’est pour savoir le nombre de personnes qui ont quitté telle ou telle localité. Cela nous permet de savoir à peu près le nombre des sympathisants que nous avons dans telle ou telle localité et savoir combien de voix nous pouvons espérer de ces localités. Peut-être que des gens octroient ces primes dans d’autres partis, mais moi personnellement, je n’en ai jamais fait jusqu’aujourd’hui.

Que peut-on retenir de la promotion des femmes au sein du Bloc Républicain ?
La femme est promue chez nous. Mais je me dis que ce n’est pas encore ça. On a fait un effort et c’est déjà un début. Je pense que prochainement, ça va changer. Les élections communales et municipales seront là bientôt. Donc nous ferons de notre mieux pour que les femmes soient représentées. Par contre, il y a beaucoup de jeunes candidats sur la liste du Bloc Républicain. Le parlement sera renouvelé à un pourcentage élevé.

Carte d’identité: Passionné d’informatique

Charles Janvier Sossou est avant tout un informaticien. Né le 1er janvier 1967 à Parakou, il fait ses études primaires à Bantè, et à Savalou où il décrocha son CEP. Son père étant vétérinaire allait de contrée en contrée, avec sa famille. De Parakou où le jeune Charles Janvier a fait le Lycée Mathieu Bouké, il part pour Savalou puis Cotonou. Mais très tôt, il se passionne pour l’informatique, notamment la programmation et la maintenance informatique. Avec son diplôme de Programmeur, il est d’abord recruté par l’Agence allemande de coopération au développement (GTZ) au Burkina-Faso. C’était en 1998. En fin de contrat, il est embauché par la société Colas. Contractuel de la Direction Générale des Impôts à partir de 2003, il est définitivement recruté en 2008. Charles Janvier Sossou est actuellement collaborateur au Centre des Impôts de Petites Entreprises (CIPE) 2 la DGI à Abomey-Calavi, Un parcours totalement atypique qui lui fait dire ceci : « Dans la vie, il ne faut pas craindre une personne comme nous puisqu’elle n’a pas des cornes. »

Intimité: Un homme des moyennes

Chez l’être humain, Charles Janvier Sossou aime plutôt l’honnêteté. « Quand je vous fais confiance et que je retrouve le contraire, je ne vous accepte plus. C’est mon défaut », dit-il. Marié et père d’un garçon, et trois filles, notre invité est très attaché à sa famille. A table, il préfère l’igname pilé. En termes de boissons, il n’aime pas de l’alcool et pas beaucoup de sucrerie non plus. Ancien amoureux de football, il pratique aujourd’hui la marche pour maintenir la forme.

La Rédaction

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