Visits: 0
Ces derniers temps, le ministre des finances fait l’objet d’une vaste campagne de destabilisation. Au-delà de sa personne et l’image de sa famille, c’est le régime de Patrice Talon que visent ces sans foi ni lois.
Ces derniers temps, il est observé des attaques tous azimuts contre le ministre des Finances, Romuald Wadagni. Les auteurs de ces attaques font des allégations pernicieuses sans apporter le moindre début de preuve. Rien que des affabulations.Mais les allégations sont assez graves et visent à nuire à la réputation du jeune ministre, autant qu’à l’image de notre pays.Les auteurs, sans doute embêtés par les réussites de plus en plus fulgurantes du président Patrice Talon, dont il ne vendait pas chère la peau, sont déboussolés. Mais ils ne baissent pas les bras. Désormais, leur arme favorite, c’est l’intoxication.Ainsi, pour décrédibiliser le régime auprès des populations et surtout auprès de la communauté internationale, ces préposés à l’intoxication veulent faire croire que Wadagni était le comptable personnel du chef de l’Etat avant d’intégrer le gouvernement. Ce qui est une pure imagination. L’actuel ministre des finances n’a jamais été employé du locataire du Palais de la Marina. Par exemple, quand le ministre est en France pour des soucis judiciaires selon eux, Wadagni est à Cotonou où on le voit participer notamment aux négociations Gouvernement/Centrales syndicales où vaquant à ses occupations gouvernementales.
D’autres imaginations purement béninoises
Ensuite, ces destructeurs le voient empêtré dans des conflits d’intérêt. Ils parlent de sa sœur employée chez Deloitte, le même cabinet où il a travaillé. Elle n’y est plus. Ils parlent de son père, ancien fonctionnaire de la BCEAO, ancien directeur de cabinet au ministère du Plan, aujourd’hui retraité et qui a créé son cabinet depuis 2014 au moins, ce cabinet n’a reçu le moindre marché de la part du fils qu’on accuse. Personne ne peut apporter des preuves tangibles dans ce dossier. D’ailleurs, il est curieux que ceux qui en parlent, s’ils avaient de la matière, ne la sortent pas pour clouer le mis en cause.On comprend donc que leur démarche vise seulement à salir le ministre et le gouvernement. Pure méchanceté au nom de la politique politicienne.
Romuald Wadagni, ministre de l’économie et des finances/Ph:DR
