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Les leaders politiques des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) sont montés au créneau hier, mardi 15 mars à l’Infosec, pour apprécier les résultats de la présidentielle. Ils en ont profité pour éclairer les uns et les autres sur les leçons à tirer de ces résultats, avant de convier les populations à se ranger en ordre de bataille pour la victoire au soir du 20 mars.
Galvanisés comme un seul homme derrière le candidat de l’Alliance républicaine, Lionel Zinsou, les membres des FCBE sont plus que jamais prêts à amorcer la dernière étape de la présidentielle avec brio. Hier, mardi 15 mars, ils étaient nombreux, ces ténors dont le coordonnateur de l’alliance, Eugène Azatassou, le conseiller chargé aux affaires politiques du chef de l’Etat, le professeur Amos Elègbè, l’honorable Grégoire Akofodji, les anciens ministres Raphael Edou et Honorine Attikpa, et bien d’autres acteurs à réitérer leur engagement à conduire Lionel Zinsou à la Marina. A travers une déclaration, le coordonnateur des FCBE, Eugène Azatassou, s’est d’abord réjoui du climat apaisé dans lequel s’est tenu le processus électoral grâce à la sérénité observée par le peuple malgré les problèmes posés par la non disponibilité des cartes d’électeurs, et remercié les populations pour avoir offert leurs suffrages au candidat Lionel Zinsou. Pour lui, ces résultats montrent le choix fait par le peuple et la direction qu’il veut prendre en matière de gestion du pouvoir d’Etat et de la bonne gouvernance, malgré la puissance de l’argent, de l’ampleur de l’intoxication et de la désinformation contre sa personne. De l’analyse de ces résultats où le peuple est convié à opter pour deux options, l’une pour Lionel Zinsou et l’autre pour la rupture, Eugène Azatassou estime que Lionel Zinsou est un candidat pétri de compétences et d’expériences avérées dont le projet de société s’appuie sur les valeurs morales, éthiques et spirituelles et vise le renforcement des acquis démocratiques, de l’unité nationale, de la paix, du progrès économique et social et du rayonnement international du Bénin. « Il est le candidat de l’avenir et non du passé comme son challenger qui rassemble autour de lui des personnalités n’ayant plus rien à prouver à notre peuple car elles ont servi tous les régimes depuis le renouveau démocratique », a-t-il avancé. Il en a ensuite appelé à l’esprit patriotique et de discernement des populations afin d’opérer le meilleur choix le 20 mars prochain pour permettre au pays d’accélérer sa croissance économique socio-culturelle dans sa marche vers le progrès.

Rastel DAN