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Les producteurs agricoles des communes de Pèrèrè et Nikki sont récemment montés au créneau pour demander le retour au bercail de Patrice Talon, et susciter la candidature de l’homme d’affaires à la présidentielle de février 2016.
Les soutiens à la candidature de Patrice Talon à la présidentielle de février prochain ne connaissent pas de limite. Après l’engagement le week-end écoulé des populations des communes d’Akpro-Missérété, Bonou et Sèmè-Podji en faveur de Talon, les populations de la commune de Pèrèrè réunis à l’épicentre Sonon/Guinagourou sont montées au créneau pour susciter, à leur tour, la candidature de Talon, celui qu’elles considèrent désormais comme leur leader. Selon elles, Patrice Talon est le seul homme capable de leur redonner l’espoir et la joie qu’ils éprouvaient autrefois dans l’exercice de leurs activités. «Reconnaissant les qualités managériales, humaines de Talon, les producteurs agricoles de Pèrèrè prennent l’engagement de se mobiliser et de mobiliser d’autres acteurs à travers les villages et hameaux à prendre leur destin en main en suscitant la candidature de Talon pour la présidentielle de 2016. Il est le seul capable de nous aider à endiguer les différents dysfonctionnements enregistrés ces dernières années dans la gestion du pays », ont déclaré les producteurs agricoles par la voix de leur porte-parole, tandis que le porte-voix des jeunes de la commune a appelé l’homme d’affaires à les « secourir » dans leurs différentes activités. A Nikki, et plus précisément à l’Ucp Nikki où ils se sont réunis, les producteurs agricoles ont dénoncé la gestion actuelle des filières agricoles par les structures étatiques et décidé de porter leur choix sur Patrice Talon, seul capable d’impacter positivement leurs activités. Salifou Arouna, leur représentant a vu en Talon « la solution à partir d’avril 2016 ». Ibrahim Madougou, gérant UCP Nikki, a partagé les bons souvenirs de Talon, encore vivaces dans leur esprit. «Lorsque les équipes de Patrice Talon étaient là, les producteurs recevaient à temps les intrants, de bonne et suffisante qualité. Mieux, les productions étaient évacuées à temps. Le paiement se faisait dans le déroulement des décades», a-t-il déclaré avant de poursuivre en ces termes : « (…) maintenant ce n’est plus çà. Si bien que le producteur n’arrive plus à gérer correctement son revenu afin de subvenir à ses besoins. L’avenir du producteur est en doute aujourd’hui ». Pour lui, l’antidote à cette situation est Talon, d’où son appel à l’homme d’affaires à s’engager dans la course à la présidentielle.
Flore NOBIME
