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Quatre associations s’unissent pour exécuter un projet commun. Il s’agit  de l’Association des professionnels de télévision du Bénin (APTV/B) présidée par Claude Balogoun, de l’Association Belle Gazelle présidée par Bénédicte Agbotouédo, de l’Association Djigui Culture Bénin de Luc Kounouho et puis l’Association Assikpè Mèton-Mèton. Tous unis, les responsables de ces quatre associations ont formé 40 acteurs intervenant dans des domaines variés du cinéma. C’était du 07 au 09 août 2015. A la clôture de la formation au siège de Gangan Productions, Claude Balogoun a exprimé sa satisfaction quant à l’esprit d’union retrouvée qui a prévalu  pour la conduite de ce projet. Un projet commun, grâce auquel des acteurs de différents corps de métiers de l’audiovisuel ont été outillés à travers des communications, mais aussi des cas pratiques, selon les témoignages reçus sur place des stagiaires. Au total, selon le point fait par chacun des responsables des associations initiatrices de la formation, quatre différents ateliers ont été tenus. Le premier  relatif à l’amélioration de l’écriture de scénario a été assuré par Jacques Codjo. Le représentant des stagiaires, dans cet atelier, Simplice Wékpon, après avoir loué les qualités du formateur, a clairement dit : « Vous allez constater que dès notre sortie de cet atelier, les scénarii que j’écrirai seront d’une qualité irréprochable. Je vous le promets ». Le second atelier lié au maquillage et au trucage a été conduit par Bénédicte Agbotouédo, le troisième atelier relatif à la conception des costumes de scène a été animé par  le metteur en scène, Alougbine Dine puis enfin, une communication sur les métiers de l’audiovisuel et le travail en équipe a été donnée par Claude Balogoun, le formateur principal. Selon les témoignages reçus des stagiaires chacun dans son domaine, « ces ateliers permettront inévitablement d’améliorer les  prestations sur les différentes productions ». Toutefois, ils ont plaidé pour que ces initiatives de formation soient pérennisées. Une doléance qu’unanimement, les organisateurs ont acceptée. Mais ils ont, eux aussi, plaidé pour que la Direction du Fonds d’aide à la culture renforce la cagnotte du projet afin que les demandes soient satisfaites au maximum.

Donatien GBAGUIDI