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Le triomphe de la vérité

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Mission du prochain président de la République du Bénin (3ème partie): Les astres désignent trois assassins à abattre


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MISSION DU PROCHAIN CHEF D’ETAT DU BENIN III :

COMBAT CONTRE LES 3 ASSASSINS DU CHRIST

La nature humaine, avec ses besoins et ses désirs, est assassinée quotidiennement par trois (3) mauvais assassins qui ont pour noms :

1. La CONVOITISE.

2. La VANITE.

3. L’ORGUEIL.

Toute notre vie, que cela soient dans nos actions comme dans nos désirs les plus profonds, est mêlée de l’ivraie de cette tendance à vouloir se réaliser soi-même et selon ces trois composantes que sont :

1. Soif de plaisir et d’argent

2. Recherche des honneurs

3. Conquête du pouvoir.

Il va falloir renoncer d’ouvrir la porte à ces 3 assassins du Christ, de Mahomet pour rechercher le Vrai Dieu et le mouvement et le moteur le plus naturel de toute vie qui est l’amour de soi débouchant sur l’amour des autres et de Dieu, bien le plus désirable à acquérir pour notre propre épanouissement. Pouvoir refuser à ces 3 assassins de pervertir cet amour, c’est tuer l’EGOISME, et donc ressusciter le Christ Interne en chacun de nous, c’est également réorienter le désir et non le tuer car ce dernier, le désir constitue, le moteur de notre vie. Sachons-le, que la perversité du désir, réside dans la volonté de se détourner de Dieu, de n’avoir pas besoin de LUI, de se suffire à soi-même, de combattre, la finitude et la mort par la possession des choses et l’appropriation de l’Univers.

Il va falloir mourir au désir orgueilleux, avide et vain, pour s’ouvrir au dynamisme vivifiant de la charité, au désir humble et désapproprié de soi, qui est en vérité, don de l’Esprit.

Pour cela, nous devons demeurer vigilants pour élucider les conditions et paramètres qui alourdissent notre combat spirituel. Aussi, il est bon et utile, de demeurer conscient de toute l’influence, de toutes les influences qui nous viennent de notre environnement et particulièrement nous garder de projeter sur les autres nos propres tendances issues de toutes les blessures et traumatismes affectifs car ces dernières troublent chez certaines personnes la vigilance et les empêchent de réorienter leurs désirs.

Il va falloir refuser tout ce qui aliène notre existence pour nous laisser recréer par la grâce car toute personne qui se sent aimée de DIEU peut vaincre toutes les pesanteurs de sa nature physique, de son être social. Cette personne avec l’aide et sous le couvert de DIEU peut assumer toutes les épreuves, les tentations, le mal, la maladie et même son péché partout où le combat contre le mal est engagé c’est-à-dire sur tous les fronts où apparaissent les conditions qui entraînent, exaltent et stimulent la désintégration de l’être personnel et la résurrection du Christ Intérieur, du Mahomet Intérieur. Il faut sans cesse dire NON à la souffrance pour la soulager, NON à la maladie pour la guérir, NON à toutes sortes de peines pour les consoler. Le combat spirituel est avant tout sur les terrains de la vie quotidienne. Aussi a-t-il un aspect médical, social, politique, éducatif. Le lien du combat spirituel est davantage dans notre propre cœur car c’est-là, dans ce cœur que se cache les racines du doute, du désespoir, de l’indifférence, de la violence ou de la haine. Et il va falloir réorienter ces énergies négatives pour trouver l’espérance et la paix. Et il va falloir apprendre à demeurer dans l’AMOUR, qui est le fruit de la grâce et d’un combat de géant.

A. La CONVOITISE

Le combat spirituel exige, que nous nous exerçons à crucifier à la suite de JESUS, les trois (3) assassins du CHRIST afin de retrouver la sagesse d’aimer. Et cela demande à ce que nous nous perdons pour gagner, que nous nous dépassons pour aimer, que nous renonçons à nous-mêmes pour aller à la rencontre de l’Autre

Le premier des 3 ASSASSINS s’appelle la CONVOITISE, véritable brèche qui fragilise tout désir sain et naturel de vivre, d’exécuter, de produire, d’engendrer….

La convoitise, c’est cette tendance perverse d’accaparer pour soi, de posséder pour soi, d’engendrer pour soi… C’est le matérialisme pratique de la personne qui n’a plus aucun goût à la prière et comme le dit la Bible, son ventre est collé à la terre. Cette personne a peur de tout effort pour sortir de soi et aller vers l’autre, les autres. Ces personnes sont comparables aux porcs cherchant sans cesse, avec son groin, la nourriture ; elles ont peur de manquer, de perdre et sont avares. Elles sont toujours à la recherche de leurs propres plaisirs, entretenant en elles-mêmes la jalousie, les envies, les ressentiments avec leur cortège de mensonges et de violences.

Il va falloir que chacun de nous réoriente le désir par l’attitude oblative. Aussi ne s’agira-t-il pas de dévaluer le plaisir ou de le condamner, mais de le convertir, de le relier à sa source, de le réorienter vers DIEU : chacun de nous doit travailler à quitter Babylone pour Jérusalem, à quitter Adam au Christ, au Mahomet…..

B. La VANITE

Et à Jean dans son évangile, à propos des pharisiens de doigter la deuxième brèche, le deuxième ASSASSIN du Christ qu’est la VANITE lorsqu’il disait : beaucoup commençaient à croire en Jésus, mais cette foi étant mêlée au désir d’être glorifié par les hommes. Cette vanité paralysait leur démarche.

Reconnaissons que, c’est dans la reconnaissance et l’amour des autres que se construit notre nature d’homme ou de femme. Chacun de nous a besoin de tout ce qui nous lie à notre famille, nos parents, notre culture, l’éducation que nous avons reçue…..etc

Aussi, il va falloir réorienter cette perverse tendance d’être reconnu et aimé à notre seul profit et surtout travailler à la convertir en relation vraie et personnelle avec l’autre, notre prochain. Nous devons tout faire pour ne pas sombrer dans ce pervers désir d’être admiré, exalté, bien vu, apprécié de notre entourage, jouir d’une vaste réputation uniquement pour notre profit personnel. Il y a un amour, une gloire, une sainteté dont nous devons avoir soif et ce n’est pas auprès des hommes que nous devons les rechercher mais uniquement auprès de Dieu afin qu’il nous GLORIFIE. Les saints, ce sont ceux ou celles qui ont travaillé pour transformer leur vanité par le désir d’être glorifié, par la Sainteté de Dieu. Ces personnes ont refusé d’être comme des paons qui font la roue, bombant le torse.

C. L’ORGUEIL

Le troisième ASSASSIN du Christ, du Mahomet interne en chacun de nous a pour nom, L’ORGUEIL : C’est la matière de toutes les autres perversions. Elle se caractérise par ce pervers désir d’être totalement autonome par rapport à tout ordre supérieur, Dieu ou les autres. Et cette tendance perverse consiste à vouloir tout dominer pour soi, par le pouvoir, la richesse ou le savoir. Nous recherchons alors à avoir beaucoup d’influence et d’audience, à garder l’initiative des évènements, des choses, des gens, de soi, tout contrôler pour soi. Et c’est le signe indicateur de tous ceux qui ont toujours raison, de tous ceux qui ont toujours le dernier mot, qui ne reconnaissent jamais leurs torts, leurs erreurs et qui ne demandent jamais pardon. Ces personnes sont comparables à l’aigle qui veut tout dominer, s’imaginant être le meilleur, croyant être la personne par qui tout doit être rapporté.

Et il va falloir réorienter également cette tendance en lui conférant d’être au service du règne de Dieu et non de notre propre empire. Il va falloir cesser d’être toujours le jouisseur, le vaniteux, le dominateur et reconnaître que dans la plupart du temps, nos actions les plus nobles comme nos désirs les plus profonds sont entachées de cette tendance à vouloir se réaliser soi-même à l’image des trois ASSASSINS du Christ, de Mahomet, de notre Christ Intérieur, de notre Mahomet Intérieur par :

1. La soif de plaisir et d’argent

2. La recherche des honneurs

3. La conquête du pouvoir

D. COMBAT SPIRITUEL

Ce qui est certain, l’orgueil et la convoitise engendrent l’ignorance, c’est-à-dire, la méconnaissance de soi et celle du créateur. Nous ne pouvons retrouver le sens de Dieu sans sa reconnaissance comme notre Créateur. Nous devons mourir au désir orgueilleux, avide et vain, pour s’ouvrir au dynamisme vivifiant de la charité, au désir humble et désapproprié de soi, qui est don de l’Esprit. Et comme l’a mentionné Saint Augustin : “Ceux qui ont la charité sont nés de Dieu”. Aussi, cette invite à ne pas tuer Dieu en nous est une œuvre de mort et de renaissance et donc de charité : ce décentrement, cette résurrection ou réorientation du désir est une Pâque.

Cette pâque est “passage de l’Amour de soi et des choses jusqu’au mépris de Dieu, à l’Amour de Dieu jusqu’au mépris de soi ”. Elle est passage de l’illusion à l’existence authentique, de l’envie de posséder Dieu à l’acceptation d’être possédé par lui.

Et pour toujours participer à cette pâque Christique, pour ne pas perdre, confiance et mener à bien notre combat spirituel ou social contre le mal. Il va nous falloir garder en mémoire 5 principes. Il s’agit de :

1. Rechercher la charité

Sachons que, lorsque, nous sommes motivés par l’amour de charité, nous ne sommes pas sous l’influence de l’esprit mauvais et de ses suggestions. Aussi, laissons-nous toujours davantage et continûment inspirer et animer par l’Esprit du Christ car là où est l’Esprit Saint, il n’y a pas l’esprit du mal.

2. Choisir ou l’Esprit de Dieu ou esprit du mal

Il n’y a aucune analogie entre l’action de l’Esprit Saint et celle de l’esprit mauvais. L’Esprit mauvais agit toujours à partir de l’extérieur et des sens, tandis que l’Esprit Saint au contraire, créateur de notre liberté, agit à partir de notre cœur profond sans jamais nous aliéner, ni même nous contraindre : son action pacifie, purifie, éclaire et construit.

3. Participer à la Rédemption

La participation à la Rédemption, nous invite à nous servir de toutes nos faiblesses, nos limites, nos erreurs, nos tentations et même de notre péché qui nous humilie, pour adhérer davantage au Christ et nous laisser réconcilier par lui, tirant ce faisant du mal un bien meilleur comme le rappelle (Rm 8, 28) : “Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu” et Saint Paul dans (2 Co 12, 10) : “Je me complais dans les faiblesses, les insultes, les contraintes, les persécutions, les angoisses pour le Christ, car lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort”.

Rappelons-nous toujours que cette force, c’est la force de Dieu en nous, qui remplace la nôtre sur laquelle, nous ne pouvons et ne devons plus compter.

4. Croître dans l’Amour

Ici, il va falloir s’oublier de tout ce que nous sommes dans la vie et pouvoir crier : “Dieu, viens à mon aide, hâte-toi de me secourir”. En vérité, ce cri intensifie peu à peu, notre amour de Dieu et le fait descendre de plus en plus profond dans notre enfer.

5. Communier

La force du démon réside dans notre éloignement, notre isolement afin que nous échouons dans l’épreuve. Or le combat spirituel est toujours solidaire, communautaire par la loi, qui voudrait que chacun de nous est en communion avec tous ceux qui subissent la même épreuve.

E. MOYENS DU COMBAT SPIRITUEL

Partageons ensemble 5 moyens afin de nous unir au Christ, au Mahomet, au Bouddha, etc.… avec toujours ce noble désir de retrouver une confiance filiale en Dieu, à Allah pour notre accomplissement dans la paix et la joie. Il s’agit de :

1. La Prière

Jésus, en nous communiquant le Notre Père, nous invite à nous décentrer de nous-mêmes et à rapporter à Dieu la Sainteté, la gloire, la puissance que nous avons tendance à rechercher pour nous-mêmes. Cette magnifique prière nous invite également à apprendre à avoir confiance à Dieu, confiance qui se contente du nécessaire pour l’aujourd’hui et le pardon pour dissoudre dans notre cœur tout ce qui est non-amour.

2. Les Sacrements

Tous les sacrements, nous plongent dans la mort et la résurrection, par le truchement de la foi vive. Aussi, par les sacrements, nous avons part au SALUT.

3. Les œuvres de charité

Le don de soi, au service des autres, sous toutes les formes possibles, favorise l’attitude oblative, la dépossession et la resurrection de soi, qui est le but du combat spirituel.

4. La contemplation

Ici, nous devons pratiquer, sans cesse l’acte d’abandon, en nous élevant vers Dieu sans retard dès que nous sentons, le premier assaut du vice par un mouvement d’amour et une élévation du cœur. Nous sommes invités, ici, à faire, une mention particulière de la recherche du discernement des esprits par l’examen méthodique, des motivations qui nous poussent à agir ou des pensées qui nous viennent à l’esprit.

5. La voie monastique

Ici, nous allons rendre hommage  à Saint Benoît, qui est né à Nurcie, à Rome vers l’an 480. Il fonda un oasis composé de praticiens, d’esclaves, de romains et de barbares, d’illettrés comme d’érudits, tous réunis autour d’un idéal commun : la Paix de l’Evangile.

Oui ! Je te rends grâce, nous te rendons grâce. Il nous communiqua pour mener le combat spirituel, la voie monastique, qui consiste en une permanente et humble vigilance à la présence de Dieu, avec l’ouverture au Père Spirituel de toutes les pensées et désirs qui naissent dans notre cœur. Cette voie nous invite à suivre le Christ plus particulièrement sur son chemin d’obéissance qui le mena par la voie de l’abaissement jusqu’à la gloire accueillie de son Père. Voie, qui bien cheminée, nous emmène à la pacification des passions désormais réorienter vers Dieu, purifiées de tout orgueil, vanité ou convoitise et soumises à l’action de l’Esprit Saint, à ses lumières, à ses motions et à ses grâces d’union.

F. MATHIEU 7-7

Tout combat spirituel, a pour résultat essentiel de nous faire retrouver une confiance filiale en Dieu, et Saint Benoît exprime cela ainsi qu’il suit : “Ecoute, ô mon fils, l’invitation du maître et incline, l’oreille de ton cœur ; recueille avec amour l’avertissement du père qui t’aime, et par tes actes achève-le ; afin de revenir par le labeur de l’obéissance à celui dont t’avait éloigné, la lâcheté de la désobéissance.

A toi donc s’adresse maintenant mon discours, qui que tu sois qui renonces à tes propres volontés pour servir sous le vrai roi Le Seigneur Jésus-Christ, le Prophète MAHOMET et prends les armes fortes et glorieuses de l’obéissance”.

Faisons sienne, qui que nous soyons et quelque soit tout ce que avons de la prière du Publicain :

Jésus-Christ, Fils de Dieu, prends pitié de moi pécheur (Lc 18, 18). Prière qu’il transforme parfois en ; Seigneur Jésus-Christ, tu es ma joie, envoie ton Esprit et sauve-moi.

A mon tour de demander :

Seigneur des Mondes

Aide-nous

Libère-nous

Et glorifie-nous en TOI

Glorifie le Benin

AMEN-AMEN-AMEN-RÂ

AMOUSSA A.R.

METAPHYSICIEN

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