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Le triomphe de la vérité

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MISSION DU PROCHAIN CHEF DE L’ETAT DU BENIN (2ème partie): Les astres recommandent une révolution des consciences


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On peut se servir de la dynamique des nombres pour s’orienter sur le chemin initiatique, pour prendre des décisions de toute nature, pour nous connaître nous mêmes, ou pour la divination des mystères de la nature et de l’avenir. Nous pouvons nous mirer et nous examiner dans les diverses faces des nombres pour déceler les forces en action dans notre vie et percevoir l’attitude et les moyens que nous devons adopter pour changer notre niveau d’être, notre degré de conscience.

 En réalité, la clé de notre destin se trouve à l’intérieur de nous et nulle part ailleurs : si nous changeons, notre existence changera aussi, car nous portons en nous les causes de tout ce qui nous arrive. Il est important de nous prendre en mains, de faire en nous la « Révolution psychologique », la « grande rébellion » contre les forces intérieures mécaniques et aliénantes, si nous voulons parvenir à la plénitude et la conscience universelle du véritable homme solaire qu’est le véritable homme du changement. Les lois de l’évolution et de l’innovation travaillent de manière harmonieuse et coordonnée dans toute la nature. C’est ainsi que nous avons jours et nuits, croissance et décroissance, naissance et mort … .L’heure est venue de comprendre que ni l’évolution, ni l’innovation ne pourront nous amener à notre auto- réalisation. Si nous voulons véritablement nous libérer, si nous désirons le véritable changement authentique, nous devons d’urgence et sans retard nous engager sur le chemin de la révolution de la conscience. Nous ne devons pas condamner ni critiquer ceux qui, dans le passé, ont travaillé d’une certaine façon, ils ont fait ce qu’ils ont pu ; c’est à nous, génération présente, d’élucider et d’expliquer. Le triangle du changement possède trois facteurs clairement exprimés par le Christ en ces termes: “Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il se renie lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive“.

Le Triangle du changement

           Suivre le Christ signifie se sacrifier pour l’humanité, être disposé à donner jusqu’à la dernière goutte de notre sang pour nos semblables, nous immoler sur l’Autel Sacré de l’Amour  Suprême pour tous. Quels sont donc les trois facteurs du triangle du véritable changement, de la résurrection ?

             Le premier facteur est traduit en ces termes par le Christ : “ Mais en vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne naissez pas de nouveau, vous ne pourrez entrer dans le royaume des Cieux“.

             Le deuxième facteur est traduit par ces mots du Christ : “Si le grain ne meurt pas, la plante ne naît pas“

            Le troisième facteur du véritable changement est celui du sacrifice pour l’humanité.

Naître de nouveau

Qu’est-ce à dire Naitre de nouveau ? Pour mieux comprendre ce langage du christ, rappelons-nous de Nicodème. Nicodème était un sage, il connaissait profondément les écritures sacrées et pourtant il s’exprima en ces termes dans la bible : “Comment un vieil homme peut-il naître à nouveau ? Peut-il par hasard entrer une deuxième fois dans le ventre de sa mère et renaître ? Et au grand Kabîr, Jésus de lui répondre en ces termes : “en vérité en vérité je dis que celui qui ne naît pas d’eau et d’esprit ne peut entrer dans le royaume de Dieu “. Et aux Mayas de dire : “il faut unir ce qui est en haut avec ce qui est en bas, au moyen de l’eau et du feu“. Il est clair que ces paroles du grand Kabîr Jésus ne doivent pas êtres interprétées au pied de la lettre. Les versets bibliques ont une double signification voire plusieurs. Il ne faut pas croire qu’avec le baptême, le problème de la seconde renaissance est déjà résolu. La seconde renaissance est une réalité à cent pour cent sexuelle, et ne se réalise que dans la “forge incendiée de vulcain“ (le sexe) afin de travailler avec le feu et l’eau, origine des mondes, bêtes hommes et dieux.

Comme nous le savons, le développement total du corps physique se poursuit à travers les âges de 7 ans, 14 ans et jusqu’à 21 ans. Aussi le corps physique n’est-il complet dans son développement qu’à 21 ans montrant ainsi que tout homme naît incomplet. Et cela, les parents doivent le signifier aux enfants afin que la fornication à laquelle s’adonnent les adolescents avant 21 ans soit interdite. L’activité sexuelle devrait commencer seulement à l’âge de 21  ans. Avant 21 ans, l’énergie sexuelle n’a qu’un seul objectif : parachever le développement  du corps physique. Et seulement à partir de 21 ans, l’énergie sexuelle se trouve libre pour d’autres activités. Et normalement, la principale activité à laquelle elle devrait servir, c’est de fabriquer les corps supérieurs de l’être pour l’avènement de la seconde naissance expliquée par le Kabîr Jésus à Nicodème. La matière sexuelle, l’énergie créatrice qu’est le sperme sacré participe de la puissance du cerveau lorsqu’elle n’est pas gaspillée à travers la masturbation à laquelle s’adonne la jeunesse qu’elle soit masculine ou féminine ruinant ce faisant leur cerveau, flétrissant leurs beaux visages, épuisant leur volonté. Sachons-le, le désir refréné transmute complètement le sperme sacré en énergie créatrice qui n’est autre chose que le mercure des alchimistes et des sages qui seul participe de la création des autres corps ou véhicules que sont les véhicules astral, mental et causal ou solaire. En vérité la seconde naissance, c’est la fabrication des corps solaires, c’est la naissance du fils de l’homme.

 “Si le grain ne meurt pas, la plante ne naît pas“  

              Il est nécessaire de mourir, mais qu’est-ce que nous devons faire avant de mourir en nous : sinon ce qui ne permet pas à notre conscience de s’émanciper, c’est-à-dire notre égo, l’ensemble de nos défauts, nos erreurs psychologiques. Et ce travail d’annihilation de cet égo se fait sur le terrain de la vie pratique, dans la rue, au travail parce que c’est dans nos frottements divers avec nos prochains que nos défauts que nous tenons cachés affleurent de manière spontanée. Aussi, devons-nous vivre en alerte comme la sentinelle en temps de guerre et au moyen de l’auto réflexion évidente de l’être, connaître directement n’importe quel défaut. Ainsi, un défaut découvert doit être immédiatement jugé, soumis immédiatement à l’analyse : naturellement donc, nous devons découvrir le défaut que nous voulons éliminer et seulement ensuite comme seconde exigence, nous devons travailler sur ce défaut, chercher à le comprendre et enfin en troisième position l’éliminer en faisant appel à notre mère divine.

MATHIEU 7-7

              Le troisième facteur de la révolution de la conscience ou triangle du changement véritable, c’est le sacrifice pour l’humanité,  mais un sacrifice qui ne désire pas le fruit de l’action, sans vouloir de récompense : sacrifice désintéressé, pur, sincère, en donnant sa vie pour que d’autres vivent et sans rien demander en récompense. Dire que nous aimons nos semblables en n’accompagnant pas, en ne démontrant pas cet amour par des faits concrets, clairs et définitifs est parole inutile et vaine. Nous devons brandir la torche de la sagesse pour illuminer le chemin des autres. Celui qui veut la félicité doit lutter pour la félicité des autres. Plus nous donnons plus nous recevons ; mais à la personne qui ne donne rien, il lui sera enlevé même ce qu’elle a. Aimer seulement ceux ou celles qui nous aiment ne suffit pas, mais aimer aussi ceux ou celles qui nous haïssent, c’est incarner déjà ici et maintenant le manteau du christ. La haine ne doit pas exister en nous ; ne pas être capable de pardonner, c’est faire montre de notre carence en grâce. Lorsque nous disons “pardonner“ cela implique une élimination des ressentiments, l’effacement de la rancœur, la réduction en poussière cosmique de la vengeance. Le triangle du véritable changement impose un travail, un travail coûteux pour soi- même. Un travail qui exige que nous travaillons sur nous-mêmes, l’élimination en nous des éléments  de la  discorde, de la vengeance, du ressentiment, de la haine…Le changement impose que nous soyons sincères avec nous-mêmes, que nous nous explorions nous-mêmes, que nous fassions des investigations en nous-mêmes pour découvrir les éléments infrahumains qui existent dans notre psyché et qui nous rendent incapables d’aimer. L’Amour ne cherche pas de récompense ; il est un don en lui-même ; il travaille en renonçant aux fruits, il ne cherche rien, sinon le bien d’autrui, même au prix de sa propre félicité. Le sacrifice pour l’humanité demande que nous travaillions à mettre nos prochains sur le chemin avec le maximum de patience en sachant pardonner les défauts des autres. Le chemin du plus grandiose sacrifice, l’imitation du christ, consiste à lever la torche pour illuminer ceux qui vivent dans l’ignorance, ceux qui recherchent la lumière de la connaissance. Aussi, l’important est-il de se sacrifier, chacun en accord avec ses possibilités en imitant les apôtres qui prêchèrent dans tous les coins de la terre en imitant les grands martyrs. Car le sacrifice en soi-même est douloureux, il exige que nous soyons disposés à perdre ce que nous aimons le plus. Ce qui suppose que la nécessité de l’abandon, l’abandon du moi de la peur. Il est le pire obstacle à tout réel et véritable changement. De quoi avons-nous peur souvent sinon de la misère, de la faim, des maladies, de la mort … Une chose est certaine, c’est pour mourir que nous naissons. Et il est indispensable que nous comprenions les mystères de la mort, car ils expliquent ceux de la vie. La paix est jumelle à la mort, c’est ce que fit le divin Rabbi de Galilée ; c’est ce qu’ont fait tous les saints, les martyrs : Saint Etienne, lapidé pour avoir enseigné la parole, Pierre, crucifié la tête en bas et les pieds vers le haut; toute cause attire son effet. Le Karma, notre Karma actuel est l’effet d’une cause qui l’a produit, une cause antérieure. Si l’on veut annuler l’effet, il faut commencer par annuler la cause qui l’a produit. Et déjà en travaillant en faveur des autres nous annulons le vieux Karma, celui qui rend service aux autres, se rend service à lui-même. Celui qui donne reçoit, et s’il donne plus, il reçoit plus : c’est la loi. Il n’est pas nécessaire de nous rendre la vie amère. Il faut faire beaucoup de bien pour payer nos vieilles dettes. Avec le capital de bonnes œuvres, nous pouvons payer le vieux Karma sans avoir besoin de souffrir. Nous devons monter sur l’autel suprême  du grand sacrifice pour tous les êtres humains. Le triangle du changement, du véritable changement n’est rien d’autre que l’audace dans l’honneur à arpenter le chemin de la révolution de la conscience, le sentier du fil de rasoir, ce chemin terriblement difficile et plus amer que le fiel dont la réalisation s’opère à base de terribles et d’épouvantables révolutions intimes.

                                                     Osons combattre

                                                      Osons lutter

                                                       Osons affronter nous-mêmes

Et que les Seigneurs du Karma nous assistent, assistent la nation beninoise. AMEN-AMEN-AMEN-RÂ

                                                                             AMOUSSA RAHIMI

                                                                               METAPHYSICIEN

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