Visits: 2
La rumeur devient de plus en plus persistante et suscite déjà des réactions. Il s’agit d’une affaire de trafic d’armes dans laquelle sont supposés impliquées de hautes autorités béninoises. La presse nationale et internationale, en particulier ivoirienne, en a suffisamment fait cas, citant au-delà de la première autorité du pays, son ancien collaborateur Marcel Alain de Souza. Ce dernier, informé de la situation et de sa supposée implication dans le dossier, a apporté sur sa page Facebook un démenti formel. L’honorable député à l’Assemblée nationale s’inscrit en faux et exige les preuves de la transaction financière qui aurait eu lieu entre les autorités ivoiriennes et béninoises. Il estime qu’il s’agit d’un canular et invite ses amis, militants et sympathisants au calme et à la sérénité.
Lire son message
« J’apprends que depuis plusieurs jours, mon nom est cité dans une affaire de trafic d’armes au profit de l’Etat ivoirien. L’on m’accuserait d’avoir bénéficié de quatre ordres de virement d’un montant de 120 millions de dollars US soit 60 milliards Fcfa (j’attends qu’on me montre le bordereau de virement) faits au profit de deux sociétés écran de droit chypriote (quels sont les noms de ces sociétés ?), en contrepartie de l’acquisition extrabudgétaire par le Bénin, d’armes de guerre et de matériels militaires pour le président ivoirien.
Tout en m’inscrivant en faux contre ces allégations, j’aimerais rassurer mes amis, militants et sympathisants, de prendre celles-ci pour ce qu’elles sont : un canular de mauvais goût qui n’a pour seul objectif que de ternir, une fois de plus, mon image et mon honorabilité. Je les invite au calme et à la sérénité, car bien des batailles attendent d’être gagnées. Ne nous laissons pas distraire… »
Excellent weekend à toutes et à tous.
Marcel