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Du 14 au 20 août prochain, la capitale économique du Bénin sera le carrefour du maracana africain. Les cinq pays du Conseil de l’Entente seront représentés dans deux catégories, à savoir, les seniors (35 à 44 ans) et les vétérans (45 ans et plus). Toutes les équipes ont confirmé leur arrivée et vont commencer par fouler le sol béninois dès le 14 août prochain.  
Le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger et le Togo sont les cinq pays qualifiés pour jouer la 2ème édition de la Can de Maracana. Après la Côte d’Ivoire l’an dernier, avec le sacre du Togo chez les seniors et de la Côte d’Ivoire chez les vétérans, c’est le Bénin qui a été désigné de façon unanime par toutes les délégations présentes. Les compétitions se dérouleront sur l’esplanade intérieure du stade de l’Amitié de Kouhounou les 16, 17 et 18 août prochain. Les délégations vont commencer par fouler le sol béninois dès le 14 août. Les matches sont linéaires et les quatre premiers sont qualifiés pour le carré d’as puis les vainqueurs vont disputer la finale. Chaque pays présente deux équipes nationales notamment, les seniors et les vétérans. Selon les informations distillées par l’organisation, toutes les délégations seront logées dans le même quartier pour rester dans l’esprit de convivialité que prône le maracana. Le comité local d’organisation est à pied pour que l’hébergement, la restauration, le transport et surtout la sécurité des compétiteurs soient sans accroc.

Les formations béninoises

Les joueurs béninois présélectionnés sont actuellement en plein dans les préparatifs. Dans la semaine, les entraineurs des différentes équipes vont sortir la liste des joueurs qui vont défendre les couleurs nationales dans chaque catégorie. Ces joueurs sont issus du 1er championnat national de maracana dont la phase nationale a pris fin il y a deux semaines. Lors de la première édition jouée à Yamoussoukro, les équipes béninoises ne se sont pas bien comportées. C’est pourquoi, la fédération béninoise de maracana (FEBEMA) met les bouchées doubles pour qu’elles ne fassent pas, une nouvelle fois, piètre figure.

José Mathias COMBOU