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Et de sept (7) pour Boni Yayi, pourrait-on dire. Après les éditions 2007, 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012, le Chef de l’Etat a, une nouvelle fois, brillé hier par son absence aux manifestations marquant la célébration du 10 janvier. Ainsi, à l’instar des années antérieures, le Président de la République a une fois encore décidé de se faire représenter par l’un de ses ministres à ce rendez-vous annuel, notamment par le ministre du développement et natif de la localité, Alain Marcel de Souza.
Justifiant cette absence, le représentant du Chef de l’Etat a mis en avant la visite de travail qu’effectue Boni Yayi au Canada depuis le mardi 08 Janvier dernier. Pour nombre de dignitaires présents, cette excuse n’est cependant que le reflet du mépris du premier magistrat pour les religions endogènes. Car, pour ces derniers, la prévisibilité de la cérémonie est un indicateur suffisant pour Boni Yayi dans la planification de ses rendez-vous nationaux et internationaux.
D’ailleurs, font-ils observer, depuis son accession à la magistrature suprême, le Chef de l’Etat n’a jamais pris part physiquement à l’une quelconque des éditions de cette manifestation. Dès lors, son périple canadien ne saurait nullement être évoqué pour expliquer cette énième absence de Boni Yayi à leurs côtés. Surtout, ajoutent-ils, lorsque le Chef de l’Etat ne manque aucune occasion pour s’afficher avec les religions « importées ».
Somme toute, cet énième boycott constitue, aux yeux des adeptes des religions traditionnelles, un mauvais signal de la part du premier citoyen du pays.
Wandji A.
arretez de dire de importe quoi,si j etais a sa place cette fete n aura meme pas lieu.mais attendez il aura quelqu un qui dira non a cette fete.quel prophete est connu sur le vodoun.jesus christianisme mouhammed l islam et part au benin ou cette fete est fetee?bande des profiteur