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C’est désormais un secret de polichinelle de dire que le football béninois est coupé en deux. Ce constat a été visible hier encore au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo. Aucun membre du camp Attolou n’était présent pour accompagner les Ecureuils à la victoire. Au contrario, tous les barons du camp d’en face étaient présents.
C’est le président Anjorin Moucharaf débouté par la justice béninoise mais réhabilité par l’Etat béninois qui était en première loge suivi par le maitre de cérémonie à la fédération, Quentin Didavi, les présidents Oussou Saka, Valère Glèlè, Clément Adéchian, etc… Actuellement, les Ecureuils qui devraient avoir plusieurs parents sont semi-orphelins.
Cet orphelinat n’a pas forcément entamé leur morale. Ils ont balayé les favoris sur papier, les Eléphanteaux par le score de 3-0. Peut-être que si toute la famille du football était autour de ces jeunes valeurs, la note serait plus lourde pour les juniors ivoiriens.
José Mathias COMBOU