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La salle de conférence de Bénin Télécoms SA abrite depuis hier, 19 avril 2012, la revue du 1er trimestre du Plan de travail annuel (PTA) du ministère de la communication et des technologies de l’information et de la communication. Entrant dans le cadre de la reforme budgétaire en vigueur au Bénin et des exigences de la gestion axée sur les résultats, la séance de travail s’achève ce vendredi 20 avril.
Première séance d’échanges entre les cadres du ministère après la validation en janvier du PTA exercice 2012, les travaux visent entre autres à faire le point du chemin parcouru au cours du 1er trimestre 2012 et à analyser les problèmes rencontrés aux fins de procéder aux réajustements qui s’imposent à divers niveaux. Des objectifs qui s’ils sont atteints devront selon El-Hadj Idrissou Djima, le Directeur de la programmation et de la prospective (DPP), permettre au ministère de la communication de réaliser des performances de qualité.
Venu personnellement ouvrir les travaux de la revue, Max Ahouèkè a souligné l’importance de l’exercice auquel sont soumis depuis hier les cadres de son ministère. Le ministre a ainsi rappelé que la bonne exécution du PTA permettra d’exprimer dans le concret « les nobles ambitions » nourries pour le secteur des technologies, de l’information et de la communication, mais également celles de la Poste et des médias. Concrètement selon Max Ahouèkè, il s’agira pour ces cadres d’œuvrer afin de permettre aux populations béninoises de profiter des opportunités qu’offrent ces technologies et leur permettre d’avoir accès à la bonne information.
Invitant les uns et les autres à « examiner sans complaisance les réalisations des projets et des structures du ministère afin d’identifier les goulots susceptibles de freiner la bonne évolution des activités et de proposer les recommandations pertinentes », Max Ahouèkè a souhaité que le PTA, appelé à être actualisé au cours de cette revue, reste toujours focalisé sur les priorités du secteur devant permettre de mettre le Bénin sur le chemin du quartier numérique de l’Afrique.
Flore S. NOBIME
