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Pressions politiques en vue de la démission du Superviseur général de la CPS/LEPI
(Le Superviseur général de la Cps-Lepi, Arifari BAKO refuse de lâcher l’affaire)
Après l’échec de son plan B visant à arrêter le processus de réalisation de la Lépi (liste électorale permanente informatisée), l’opposition représentée par l’Union fait la Nation passe à l’offensive. Les membres de cette coalition de partis politiques viennent de décider de mener une guerre sans merci aux partisans indéfectibles de la réalisation de la lépi. Et déjà son plan B est activé avec pour seul objectif la mort du processus. Car pour concrétiser son engagement à asphyxier la lépi, l’opposition a décidé saper les bases du système de réalisation de la lépi en ordonnant à ses délégués de se retirer du processus. Comme si cela ne suffisait pas, les forces de l’opposition viennent de jeter leur dévolu sur le superviseur général de la CPS/LEPI BAKO Arifari à qui ils demandent de démissionner pour sceller le sort de la lépi. Le refus de celui-ci provoque une montée de la tension qui oblige d’ailleurs les membres de l’union à décider de mettre à prix sa tête. Ainsi, depuis quelques jours, l’Union fait la Nation a braqué ses projectiles sur le coordonnateur en titre du G13 qui continue de résister. En effet, le superviseur général de la CPS/Lépi a catégoriquement refusé de remettre sa démission à sa famille politique, ce qui lui vaut des pressions à nulle autre pareille. Et depuis, la tension s’est installée entre lui et ses alliés.
Gérard AGOGNON