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Le Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (Fagace) vit des heures bien sombres. Et pour cause, la compétence qui fait la renommée de cette institution depuis plusieurs années est sacrifiée sur l’autel de la méchanceté humaine depuis quelques jours.
En effet, suite à certaines plaintes émanant de certains agents déflatés de Fagace à son encontre, le Directeur de l’institution régionale depuis 2002 a fait l’objet d’une suspension temporaire de un (01) mois de la part du Conseil d’administration pour un traitement impartial des allégations formulées contre le Libasse Samb par ses détracteurs. Mais suite à cette décision conforme aux textes de l’institution, ces derniers et les autres torpilleurs de l’action de dynamisation entreprise par le Directeur Samb depuis sa nomination, intoxiquer l’opinion publique en criant au limogeage de ce cadre aux qualités intrinsèques qui ont contribué à hisser la Fagace à une place de choix au sein des institutions régionales africaines. Unanimement salué en effet pour sa gestion rigoureuse et sa vision prospective au pofit de l’institution, Libass Samb a réussi à faire passer le nombre d’Etats membres de la Fagace de neuf (9) à quatorze (14) avec en prime l’ouverture de la représentation régionale en Afrique Centrale (Douala), le rééquilibrage positif des résultats positifs, la diversification des activités de l’institution, l’augmentation des fonds d’approbation en garantie…
c’est d’ailleurs en raison de ce bilan élogieux qui vaut au Dg Samb de bénéficier de la prorogation de son mandat de quatre (04) années supplémentaires afin de mettre son savoir-faire et son expérience au service du rayonnement de cette institution au sein de laquelle il travaille depuis vingt sept (27) ans. Ainsi, le lynchage médiatique amorcé depuis novembre 2008 par certains agents victimes des mesures de déflations intervenues, sur autorisation du Conseil d’administration, n’aura pas abouti, conformément aux voeux des détracteurs du Dg Samb à son limogeage qui ne peut d’ailleurs être prononcé que par le Conseil des gouverneurs et non le Conseil d’administration. Ce dernier n’aura été ainsi suspendu que pour faire jaillir la vérité et rétablir la sérénité au sein de l’institution. A ce propos d’ailleurs, les premiers résultats de la commission d’enquête mis en place par le Conseil d’administration pour connaître de la véracité des accusations portées contre le Dg Fagace mettent à nu l’acharnement et la mauvaise dont est victime Libasse Samb.
Somme toute, cette suspension de un (01) mois du Dg Samb produit déjà ses effets avec le dévoilement du plan machiavélique et le rétablissement de l’honorabilité de ce haut cadre aux yeux de l’opinion publique ; toute chose qui confirme que, comme le dit l’adage, « Le mensonge court vite mais il fini toujours pas être rattrapé par la vérité ».
Jean-Claude DOSSA
pourquoi c’est la même chose partout en Afrique???? Nous a t on maudits??? Non je ne veux pas croire. Africains resaisinnons nous.