Visits: 1
La présidente du parti Union démocratique pour un Bénin nouveau (UDBN) Claudine Prudencio à l’instar de plusieurs autres personnalités était à la cérémonie d’investiture du président de la République, Son Excellence Patrice Talon ce dimanche à Porto-Novo. Dans l’interview accordée à la presse, la seule femme présidente d’une formation politique à l’ère des réformes politique et ayant soutenu le chef de l’Etat pour la présidentielle du 11 avril dernier a souligné que Patrice Talon est le dépositaire d’une espérance. Selon ses explications, le tout nouveau président élu pour un nouveau mandat de 5ans a mis le peuple au cœur de l’action gouvernementale. En effet, selon la présidente de l’UDBN, Claudine Prudencio, « la victoire de l’élection présidentielle n’est pas la victoire d’un Bénin contre un autre, ni d’une idéologie contre une autre, mais c’est la victoire d’un Bénin qui se veut prospère ». « Nous sommes avec le président Patrice Guillaume Athanase Talon et nous l’accompagnons », a-t-elle réaffirmé avant de préciser qu’il a mis le peuple au cœur de son programme de gouvernance 2021-2026. Comme Claudine Prudencio, l’ancien ministre Victor Topanou et les députés Aké Natondé, Abdoulaye Gounou et Gildas Agonkan ont donné leurs avis sur le discours d’investiture du chef de l’Etat sur la Radio nationale. Victor Topanou dit avoir aimé le discours du président de la République. Pour les sceptiques, le président fait-il savoir, a rappelé que c’était « l’ultime mandat ». Il faudra selon lui, oublier les conflits, les différentes crises et faire face désormais face aux œuvres de développement.
Pour Aké Natondé, c’est un jour exceptionnel pour le Bénin. « L’investiture du président élu et de sa vice-présidente », a-t-il rappelé est une première dans l’histoire du pays. Raison pour laquelle il dit exprimer toute sa fierté d’être Béninois. Le programme de développement du président de la République selon Aké Natondé, se retrouve dans cette ligne-là. Pour le député Abdoulaye Gounou, le chef de l’Etat dans son discours a parlé « d’ultime mandat ». C’est la preuve selon lui qu’il veut « rester en lien avec la constitution qui dit clairement qu’il n’est plus possible de faire un troisième mandat ».
Yannick SOMALON
