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Le triomphe de la vérité

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Secteur des énergies renouvelables au Bénin: L’ESMER formule des outils pour son émergence et son enracinement


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Le Conseil scientifique et pédagogique (Csp) de l’Ecole supérieure des métiers des énergies renouvelables (ESMER) a tenu sa troisième réunion statutaire. C’était, le jeudi 31 Août 2017 dans les locaux de l’école sis dans les environs du quartier Togoudo, dans la commune d’Abomey-Calavi. Première école au Bénin exclusivement destinée à la formation aux métiers des énergies renouvelables, elle a connu la présence effective de tous les membres venus d’Afrique et d’Europe.  A l’ouverture des travaux, c’est le directeur général de l’école, Bertin Codjo Djaïto, qui a situé le contexte et l’objectif de la réunion. A l’en croire, il s’agit de prendre des décisions et de formuler des recommandations pertinentes en vue de l’émergence et de l’enracinement de l’ESMER. « Cette réunion dont les travaux s’ouvrent, ce jour, constitue, non seulement, un pas en avant dans la gouvernance de notre école, tant au plan pédagogique, scientifique qu’ administratif, mais aussi et surtout un pas dans la volonté d’affronter avec succès et perspicacité, les questions liées essentiellement à la pertinence et à la qualité de l’enseignement, au financement des activités de formation et à la coopération interafricaine et internationale », a -t-il précisé, pour partager l’engagement de son école d’être en phase avec son environnement. Pour sa part, le président du Conseil d’administration de l’école, Félix Ebo, nourrit la conviction que l’ESMER réussira le challenge de formation en énergies renouvelables. «  C’est un défi national et international à relever », a-t-il conclu. Dans son mot d’ouverture, le Président du Csp, Yao Azoumah,  a félicité l’équipe, du fait que, chaque année, des défis sont relevés, que ce soit dans la qualité des équipements pédagogiques mis à la disposition des étudiants,  la qualité des enseignements ou encore dans le recrutement des vacataires  et des enseignants-chercheurs. Pour finir, il s’est réjoui de ce que, chaque année, un travail se fait afin de voir si la trajectoire visée n’est pas déviée, que l’équipage à bord de la navire ESMER est de haut niveau et en nombre suffisant, et que l’énergie qui l’alimente est durable et inépuisable. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a invité tous les acteurs à plus d’attention pour la mise en application des résolutions qui seront issues des assises de ce 31 août 2017.

Emmanuel

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