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La Loterie nationale du Bénin (LNB) a organisé sur l’esplanade extérieure du Stade de l’Amitié de Kouhounou, une cérémonie de remise de chèques aux 7 heureux gagnants du jeu Paris Mutuel Urbain (PMU) du vendredi 07 août dernier. C’était hier mardi 18 août 2015 en présence du directeur général, Germain Cadja Dodo, des directeurs techniques et du curieux public venu nombreux vivre la tenue, par la LNB, de ses promesses.
« Les lots aux gagnants, les bénéfices à toute la nation ». C’est la devise principale de la Loterie nationale du Bénin qui lui a permis de remettre aux heureux gagnants du PMU leurs différents chèques. Un chèque de 3.480.300 f Cfa, chacun, pour Toumoudagou Codjo et Koukouthècle Atmonche ; 7.420.600f pour Amavi Kouevi Gassou et 11.637.900 f pour le Dr Mounirou Mohamed. En effet, le Pari Mutuel Urbain (PMU) est un concours de pronostics sur des courses de chevaux afin de déterminer les trois premiers pour le Tiercé, les quatre premiers pour le Quarté et les cinq premiers pour le Quinté. Selon les explications du directeur général de la LNB, Germain Cadja Dodo, la mise sur ces différents paris varie entre 200 et 300 f Cfa. « C’est donc un jeu très simple dans son concept et accessible à tous. Et comme tous les jeux de la LNB, le PMU fait gagner beaucoup de millions », a-t-il laissé entendre. Germain Cadja Dodo a remercié les heureux gagnants du jour et demandé à ces derniers d’être les messagers de la loterie nationale du Bénin afin de convaincre ceux qui doutent encore des jeux de hasard et d’encourager ceux qui jouent et qui n’ont pas encore gagné. Quand à Mohamed Mounirou, le gagnant de 11.637.900f Cfa, il a dit sa joie et remercié les responsables de la LNB pour avoir tenu leur promesse. « C’est une très grande joie de miser avec de si petites sommes et de gagner des millions. J’exhorte, ceux qui doutent encore des produits de la LNB à tenter leurs chances et aux amis parieurs qui n’ont pas encore gagné, je les invite à persévérer », a poursuivi l’heureux gagnant. Il a, pour finir, fait la promesse de reprendre le pari avec plus d’engouement.
Yannick SOMALON
