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Le triomphe de la vérité

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Projet d’organisation des ateliers africains de Design à Dak’Art 2014: L’acteur culturel, Gérard Bassalé victime de promesses non tenues


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L’hôte pointée du doigt rencontrantLe centre culturel Ouadada sis à Porto-Novo au quartier Tokpota dans le 5ème arrondissement de Porto-Novo a servi de cadre à une conférence de presse ce jeudi 20 février 2014. Principal orateur de cette sortie médiatique, Gérard Bassalé, acteur culturel et directeur dudit centre. Devant les professionnels des médias, il a dénoncé l’abus de confiance dont il s’estime victime dans le cadre du projet d’organisation des ateliers africains de Design et du focus Arts Plastiques et design à Dak’Art 2014. A cet effet, Gérard Bassalé n’est pas allé par quatre chemins pour dénoncer ce qu’il appelle un marché de dupe savamment orchestré par une  française qu’il a guidée alors même qu’il pensait se donner à fonds pour un projet dont il voulait assurer une portée professionnelle sans faille. Au cours de la conférence, il a rappelé les faits. En effet, sollicité en 2012 par la dame pour participer à l’organisation des Ateliers Africains de Design et du Focus Arts Plastiques et Design à Dak’Art 2014, le directeur du centre culturel Ouadada a organisé pour cette dernière des visites d’ateliers d’artistes à Cotonou, Porto-Novo, Abomey, Bohicon et Dassa afin de la mettre en contact avec les plasticiens béninois et de lui permettre de découvrir leurs œuvres et leur présenter le projet. Il s’agissait de sélectionner des artistes et leurs œuvres pour les exposer en Off à Dakar au mois de mai 2014. Son hôte a ainsi effectué plusieurs séjours au Bénin au cours desquels elle était guidée par Gérard Bassalé en qualité de co-commissaire. C’est également en tant que tel qu’il l’a mise en contact avec d’autres partenaires et amis du Centre Culturel Ouadada, notamment le professeur Joseph Adandé, Dr. Didier Houénoudé, les professeurs Maureen Murphy et Saskia Cousin  de  l’Université Paris 1, Sorbonne qui en tant qu’experts ont accepté de rédiger certains articles pour le catalogue dudit évènement. Gérard Bassalé affirme avoir saisi le ministre en charge de la culture au sujet de la situation. Une façon pour le promoteur culturel de mettre la puce à l’oreille des autorités, mais aussi d’attirer l’attention des artistes qui se laissent facilement emporter dans des promesses sans lendemain en laissant leurs œuvres dans les mains d’acteurs culturels qui n’en garantissent aucune traçabilité et d’assurance fiable en cas de problème. Gérard Bassalé dénonce la dame et attend vivement que justice lui soit rendue.

Emmanuel GBETO

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