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Le triomphe de la vérité

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5ème mandature de la Cour constitutionnelle: Boni Yayi déjoue un complot contre Amos Elègbè


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Boni Yayi

Boni Yayi

Depuis le mardi 12 juin dernier, le processus d’installation des membres de la cinquième mandature de la Cour constitutionnelle est terminé. Ainsi, après leur désignation puis leur prestation de serment, les sept sages ont procédé le mardi dernier à l’élection de leur bureau avec à la présidence le professeur agrégé de droit public, Théodore Holo. Pour de nombreux observateurs, la conduite apaisée du processus de renouvellement et surtout la configuration de l’institution constitutionnelle avec à sa tête Théodore Holo déjouent les nombreux pronostics et mettent surtout fin à la polémique suscitée pour ternir l’image du Chef de l’Etat, Dr Boni Yayi et son Conseiller spécial, le ministre  honoraire Amos Elègbè.

Une vaine campagne d’intoxication

Homme d’expérience et conseiller avisé du Chef de l’Etat, le ministre Amos Elègbè a une nouvelle fois été au cœur de vaines cabales des détracteurs du régime de Boni Yayi. Ainsi, à l’occasion de ce processus de renouvellement du mandat des sages de la Cour constitutionnelle, des informations erronées ont été ventilées à travers les médias pour annoncer l’entrée d’Amos Elègbè au sein de l’institution en qualité de haute personnalité ; une certaine presse a même crevé le plafond de l’ignorance en osant affirmer, au comble de l’intoxication, que Boni YAYI se préparait a faire d’Amos Elègbè le successeur de Me Robert Dossou à la tête de la Cour constitutionnelle. Et malgré la grosse surprise créée par le Chef de l’Etat en portant son choix sur le magistrat Euloge Akpo au détriment d’un cadre expérimenté et émérite résident à l’extérieur du pays et proposé par ses conseillers, les détracteurs du régime en place ne se sont pas avoués vaincus. Ainsi, après ce désaveu, c’est la non-reconduction du président sortant de l’institution constitutionnelle, Me Robert Dossou qui a été au cœur de la polémique. Usant de diverses arguties et thèses incohérentes et décousues pour soutenir leurs manœuvres, les détracteurs du pouvoir se sont ainsi évertués à voir, à travers cette décision de Boni Yayi, en dépit de sa consécration par la constitution du 11 décembre 1990, la mise à nu de ses intentions cachées de procéder à une révision opportuniste de la constitution.

Aussi, la configuration de la Cour avec à sa tête des personnalités dont la technicité ne souffre d’aucun doute, constitue-t-elle un cuisant échec pour les détracteurs du Conseiller spécial du Chef de l’Etat, Amos Elègbè dont la perspicacité et l’immense expérience de la connaissance de la vieille classe politique ont permis de déjouer de sordides projets politiques visant à ébranler le régime de Boni YAYI depuis les cabales de 2007 à ce jour.

Le Président Boni YAYI sait, sans nul doute, que les critiques acerbes qu’essuie très souvent son Conseiller spécial aux affaires politiques ne visent qu’à le séparer d’un collaborateur précieux dont les conseils avisés lui ont permis de remporter bien des victoires politiques sur ses adversaires et leurs affidés de l’ombre. Amos Elègbè reste donc un maillon stratégique que le Chef de l’Etat conserve jalousement dans son dispositif en attendant de le remercier à la hauteur de l’abnégation et de la loyauté d’un haut collaborateur de cette qualité.

Wandji A.

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