Visits: 1
Le gouvernement défie les mauvaises langues qui s’acharnent contre la campagne cotonnière 2012-2013. Vu la détermination du ministre de l’agriculture, Sabaï Katé et du Chef de l’Etat, Dr Boni Yayi aidant, le spectre de l’année blanche est conjugué au passé et les cotonculteurs peuvent pousser un ouf de soulagement.
Comme promis, le gouvernement a tenu à sa parole. Il a pris les dispositions idoines afin que l’approvisionnement des champs en intrants soit une réalité. De sources dignes de foi, le secteur dispose désormais d’intrants. Les engrais, les pesticides, les insecticides de toutes sortes, les herbicides ont été déployés sur tout le territoire national et le dernier producteur peut s’en procurer. Ainsi, les communes de Parakou, de Gogounou, de N’Dali, de Ouassa-Pehunco, de Cobly, de Bohicon, de Dassa, de Kouandé, de Banikoara, de Kouandé, de Ségbana et celles du Couffo peuvent poursuivre avec la culture du coton dont les revenus restent indispensables pour l’amélioration des finances publiques.
En conséquence, apprend-t-on, le gouvernement rassure tous les acteurs de la filière coton de son engagement à maintenir un dialogue fécond avec les partenaires privés en vue de restaurer progressivement la confiance perdue. Cette disposition vient sans doute apaiser le climat d’inquiétude des producteurs de coton et établir un climat de confiance entre les acteurs de la filière.
Wandji A.
